samedi 27 octobre 2007

Sarkozy (Président de la République française) rompt le jeune du ramadan !

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Source Reconquête n°241 (octobre 2007)

Des fondations pour l'Islam.

Intéressant article de "Valeurs Actuelles" sur l'Islam en France avec un coup de projecteur sur les principaux grands projets de mosquées dans notre pays.

Guillaume Desanges, le 26-10-2007
"Le gouvernement veut favoriser l’émergence d’un islam “officiel” dans l’espoir d’en contrôler les dérives. Un pari délicat. Pas de rupture en matière de politique à l’égard de l’islam. Comment en serait-il autrement ? Le chef de l’État poursuit, s’agissant du culte musulman, les buts qu’il s’était assignés comme ministre de l’Intérieur.
Pour preuve, l’installation, le 16 octobre, de la Fon­dation pour les œuvres de l’islam de France, présidée par le recteur Dalil Boubakeur. Évoquée pour la pre­mière fois en novembre 2004, reconnue d’utilité publique en 2005, cette institution n’avait pas encore été mise en place en raison des dissensions entre les fédérations appelées à siéger à son conseil. C’est chose faite et Nicolas Sarkozy, François Fillon et Michèle Alliot-Marie s’en sont félicités en allant à la Mosquée de Paris rompre le jeûne du ramadan avec les représentants musulmans. « N’en déplaise à quel­ques-uns que je combats, l’islam c’est aussi une partie de la France », a réaffirmé le chef de l’État, le 1er octobre.

Quelles sont les missions de cette fondation ? Le premier ministre les a définies le 18 septembre : « Elle facilitera, avec l’aide de la Caisse des dépôts, la construction et la rénovation des lieux de culte. Elle financera l’indispensable formation des cadres religieux et des aumôniers musulmans. Elle aidera le Conseil français du culte musulman à mieux remplir sa tâche. » Des missions qu’elle accomplira en recueillant « les dons des fidèles et des amis de l’islam de France ». Les moyens ne devraient pas manquer : la construction de mos­quées représente un important marché, que plusieurs entreprises espèrent remporter. « Je souhaite, a précisé Michèle Alliot-Marie le 10 octobre, que soit élaboré un schéma directeur des implantations [des futurs lieux de culte] en étroite concertation avec les élus et notamment les maires, légitimement attentifs à ces questions. »

Nicolas Sarkozy espère ainsi soustraire l’islam aux influences étran­gères et le sortir « des caves et des garages » pour lutter contre les fanatiques qui s’en réclament. Y parviendra-t-il ? Le MPF de Philippe de Villiers juge nécessaire de soumettre la construction de nouvelles mosquées au respect d’une « charte républicaine » : « refus des financements étrangers et de la polygamie, acceptation de la laïcité et de l’égalité entre les hommes et les femmes », résume Guillaume Peltier. Carl Lang (FN) redoute que cette politique ne débouche sur la « communautarisation de la société, comme en ex-Yougoslavie ». À quoi Nicolas Sarkozy répond qu’«améliorer la réalité quotidienne des musulmans croyants de France, c’est priver les extrémistes de l’un de leurs principaux arguments ».

Quoi qu’il en soit, les fidèles musulmans n’ont pas attendu la création de cette fondation pour financer l’édification de nouvelles mosquées. En 2004, le ministère de l’Intérieur dénombrait déjà 1 685 lieux de culte. Il y en avait à peu près cent en 1970. « À travers toute la France, des lieux de culte sont en train de s’ouvrir », soulignait François Fillon le 18 septembre : un par semaine, selon l’Intérieur. Des projets sont en cours à Roubaix, Trappes, Annecy, Vénissieux, Mulhouse, Saint-Étienne… Bon nombre des édifices en construction ont des dimensions importantes, au point que l’on parle, pour certains, de “mos­quées-cathédrales”. Le point dans quelques villes de France. F. M.


CERGY

Si les mosquées ne manquent pas dans le Val-d’Oise (Pontoise, Argenteuil, Sarcelles), Cergy (57 000 habitants) ne possède pas de lieu de culte musulman spécifique : les fidèles se réunissent dans des salles prêtées par la commune au gré du calendrier religieux. La municipalité a donc décidé de mettre à disposition de la fédération des musulmans de Cergy un terrain de 11 000 mètres carrés pour un loyer symbolique. Ce bail emphytéotique est-il légal au regard de la jurisprudence ? « Ce n’est pas la première fois qu’une communauté religieuse est accompagnée dans ses projets », répond le maire. Et de citer la construction du temple et de l’église, à la création de la ville nouvelle, dans les années 1970, puis, en 2000, l’édification d’une église dans les Hauts-de-Cergy. À 150 mè­tres de la gare RATP, la future mosquée (2 350 mètres carrés) pourra accueillir 800 personnes. Au lieu de culte, à l’architecture moderne, s’ajoute un institut culturel musulman de 1 000 mètres carrés. Le tout estimé à 4,8 millions d’euros. La ville de Cergy s’engage aussi à garantir les emprunts de la FMC (Fédération musulmane de Cergy) et prend en charge la réalisation d’un “espace dédié aux arts et cultures du monde” adjacent à ce complexe. La fédération, qui a recueilli 360 000 eu­ros, comptait voir affluer les dons lors du ramadan, et plus encore quand la première pierre sera posée. Inauguration prévue à la fin 2008… si les prévisions financières sont tenues.


CLERMONT-FERRAND

C’est à deux pas du chantier de la “grande mosquée de Clermont-Ferrand” que le pape Urbain II prêcha la première croisade en 1095. Le gros œuvre est réalisé, la coupole est construite, ne manque plus que le minaret de 16 mètres. Présent lors de la pose de la première pierre en 2004, l’évêque de la capitale auvergnate, Mgr Simon, salue en l’islam « une contribution à la vie culturelle et religieuse de notre pays ». C’est d’ailleurs l’église catholique qui avait mis à la disposition « de ses frères en humanité » une chapelle de 200 mètres carrés, maintenant trop petite et inadaptée, avec sa forme en croix, au culte islamique. Huit mosquées et salles de prières existent déjà à Clermont-Ferrand. Elles peuvent accueillir près de 3 000 fidèles mais il manquait une “grande mosquée” architecturale. Sur un terrain de 2 700 mètres carrés, elle pourra accueillir un millier de fidèles pour la prière du vendredi, une centaine d’étudiants pour l’initiation à l’arabe et à la culture arabo-musulmane. Un hammam est prévu. Ce qui fait dire à Érik Faurot, responsable local du Front national : « C’est plus qu’une mosquée, c’est un centre coranique. » Silence radio du côté de la mairie socialiste : « C’est un chantier privé. La ville n’a rien à voir dans ce dossier. » En effet, les pouvoirs publics, chose rare, ne sont pas intervenus dans ce projet. D’où viennent les 2,9 millions d’euros nécessaires à la construction du bâtiment ? Dons des fidèles ? Apports étrangers ? Sans doute les deux.


ÉPINAL

Ce sera le premier lieu de culte islamique d’Épinal. « Il y avait bien une salle de prières, mais elle a été rendue inutilisable à la suite d’un sinistre », explique-t-on à la mairie. Un sinistre vraisemblablement d’origine criminelle, les poutres du bâtiment ayant été sciées. Dans ce contexte de rivalités sous-jacentes entre communautés, le maire UMP, Michel Heinrich, insiste pour que « la mosquée soit ouverte à toutes les communautés musulmanes de la ville ». Trois à cinq mille musulmans vivent à Épinal et ses alentours, selon le président de l’Association culturelle musulmane des Vosges, qui porte le projet. Encadré par quatre minarets, le futur complexe cultuel et culturel, d’une superficie de 700 mètres carrés, pourra accueillir 1 000 fidèles en bordure d’Épinal. La municipalité a mis à disposition le terrain par le biais d’un bail emphytéotique. La phase de conception est terminée, le permis de construire est obtenu, les financements commencent à affluer. Le coût global de la construction est estimé à 1,5 million d’euros. « Nous tenons des fichiers avec des reçus qui permettent de “tracer” les financements. Nos comptes et nos actions seront transparents », affirme le président de l’ACMV. Un tiers de la somme est réuni, mais les travaux n’ont pas encore débuté. Pour Taoufik Ferchichi, « les dons se feront plus nombreux une fois la première pierre posée ». Et d’ajouter : « Nos adhérents sont comme saint Thomas, ils attendent de voir pour croire. » Achèvement des travaux d’ici à 2010.


MARSEILLE

C’est sans doute le plus imposant projet actuel : une mosquée de 5 000 places au nord de la cité phocéenne. « Il y a ici 20 000 musulmans pratiquants et seulement 65 lieux de culte pour une capacité d’accueil de 7 000 places », explique-t-on à la mairie de Marseille. La construction d’une “grande mosquée” sur les anciens abattoirs municipaux du quartier Saint-Louis a été retardée en avril, après des recours engagés par le MNR, le MPF et le FN, qui considéraient le loyer de 300 euros demandé par la mairie à l’association La Mosquée de Marseille comme une subvention déguisée. Le tribunal administratif leur a donné raison. Depuis, « nous avons réévalué le bail, explique une source proche du cabinet de Jean-Claude Gaudin. Le loyer s’élève désormais à 24 000 euros par an et durera 50 ans et non plus 99 ans. Si le bail est à nouveau cassé, nous ferons appel de cette décision ». Mais la mairie veut rassurer : « Le projet est religieux et non pas culturel afin d’éviter toute dérive. Le premier problème, c’est l’argent et son utilisation et il n’y a, en l’occurrence, aucune possibilité de réaliser une activité commerciale. » Sans doute, mais où “l’islam de France” ira-t-il chercher les 8 millions d’euros nécessaires à ce chantier ? Le Maroc et l’Algérie se sont portés volontaires pour mettre la main à la poche. L’Arabie Saoudite réfléchit. Un compromis difficile a été trouvé entre les communautés de l’islam local. Au départ, des mosquées de proximité ont été proposées mais les imams qui, pour beaucoup, vivent de leur fonction n’ont pas voulu lâcher leur salle de prières. Et les radicaux préfèrent la discrétion des petites structures à une grande mosquée exposée et ouverte. Si la situation se dégradait, la mairie prévient : « S’il y a des prêches incendiaires, la préfecture a le pouvoir de fermer la mosquée. Et si les règles de sécurité ne sont pas respectées ou si une activité commerciale s’établit, la mairie pourra résilier le bail. »


STRASBOURG

Concordat oblige, la situation à Strasbourg est très particulière. La loi de 1905 ne s’appliquant pas en Alsace et en Moselle, les collectivités publiques peuvent subventionner les différents cultes. Seule contrainte, l’existence d’un intérêt communal. En plus d’un bail très avantageux, la ville finance le projet à hauteur de 10 %. La région et le département prennent chacun en charge 8 % du coût total. Soit une subvention publique globale de 26 %. L’édifice sera doté d’une coupole de 20 mètres de haut, d’une salle de prières de 1 000 mètres carrés pouvant accueillir 1 500 fidèles. En juillet, les fondations étaient achevées, le gros œuvre entamé. « La première pierre a été posée à l’automne 2004, mais les travaux n’ont commencé qu’en 2006. Ce retard s’explique par les problèmes de financement qui obligent à des pauses dans la construction. Souvent les travaux doivent patienter jusqu’au mois du ramadan, période où les fidèles sont particulièrement généreux », constate-t-on à la mairie. Le coût de la mosquée était à l’origine estimé à plus de 18 millions d’euros. La municipalité UMP, qui a hérité du dossier en 2001, a revu à la baisse ce projet pharaonique pour ne garder que la salle de prières et la partie administrative, soit 6,1 millions d’euros. Fin juin, la rue adjacente à la mosquée a été rebaptisée rue Averroès.


VILLENEUVE-D’ASCQ

Une fois achevé, le “complexe spirituel” islamique de Villeneuve-d’Ascq devrait être le plus important de l’agglomération lilloise, qui compte déjà 25 mosquées de 100 à 1 000 places, un lycée musulman et un institut de formation des imams. Querelles intestines et difficultés de collecte des fonds ont retardé le dossier. Le terrain est un parking situé rue Baudouin-IX et cédé par la communauté urbaine pour 378 000 euros. La première pierre du bâtiment de 2 000 mètres carrés, flanqué d’un minaret de 18 mètres, a été posée fin 2005. La salle de prières, qui accueillera 1 000 fidèles, jouxtera des salles de cours, une bibliothèque et un musée de la Culture musulmane en France. Objectif de la mosquée : « Amener les jeunes à l’éducation pour les tirer de leurs cages d’escalier. » Le coût de cette “université de la foi” s’élève à près de 1,5 million d’euros. « Les fonds viennent essentiellement des fidèles villeneuvois et de quelques donateurs de passages », assure l’association chargée du projet. Pourtant, le maire (PS), Jean-Michel Stievenard, ne peut que constater « n’avoir reçu que des engagements oraux ». Le gros œuvre a débuté au mois de mars. Fin des travaux : d’ici à un an."

vendredi 26 octobre 2007

Non à la Turquie en Europe !




Signer la pétition en ligne (cliquez ici) !

Marine Le Pen présente la pétition contre l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne.

Marine Le Pen nous présente la pétition contre l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne, qui grâce (entre autres) à Sarkozy est, hélas, toujours d'actualité (24 septembre 07).

Plus un point sur l'aggression par arme à feu dont Marine a été victime à Henin-Beaumont en septembre.


Marine LE PEN le 24 septembre 2007 - Turquie
Vidéo envoyée par lvd83140

jeudi 25 octobre 2007

Sarkozy sait se "Môquet" du monde

L'on croyait le jeune Guy Môquet résistant, à voir...

Il se trouve que l'Etat le considère officiellement, et depuis la libération, comme un interné politique et non un résistant.

De plus, Ce jeune homme a en effet été fusillé en 1941 à l’âge de 17 ans pour avoir distribué des tracts du Parti communiste, organisation certes interdite, mais qui alors s’opposait à la guerre, sur fond de pacte germano-soviétique de non-agression.

Mais ce n'est pas tout : écoutons donc Roger Holeindre (vice-Président du Front National ; Président du Cercle National des Combattants et résistant lui-même
[dès l'âge de 14 ans !]) nous en dire plus (Radio Courtoisie le 22 octobre dernier).


Roger Holeindre
Vidéo envoyée par Militant-FN

Premier de cordée

Premier de cordée de Frison-Roche (1941 - Arthaud).

L'ouvrage nous raconte l'histoire de deux jeunes alpinistes, Pierre et Georges, qui suite à un accident de cordée (subvenu alors qu'ils essayaient de récupérer le corps du père de Pierre foudroyé en pleine montagne) sont écarté des sommets avec des handicaps physiques et internes importants.

Nous assistons à leur lutte contre leurs blessures et contre eux-même, pour vaincre la montagne et leurs propres faiblesses.

Y arriveront-ils ?

Quoi qu'il en soit l'auteur en tire des principes de vie sains et vrais : "Il y avait bien une solution : traverser horizontalement jusqu'à l'éperon rocheux de la rive gauche du couloir ; c'est bien tentant ! Une heure de taille tout au plus, et il pourrait se reposer sur des rochers solides, et ensuite frayer sa route aisément vers la cime ; mais c'est un procédé peu honnête que celui qui consiste à tourner la difficulté. Ils ont décidé en partant de remonter le couloir ; il faut aller jusqu'au bout, et lui qui tremblait par anticipation à l'idée d'avoir à tailler sur une pente à soixante-dix degrés se complaît maintenant à examiner la difficulté.

[...]

La vie doit être une lutte continuelle. Malheur à ceux qui ne combattent pas ! qui se laissent aller aux choses faciles ! J'ai bien failli devenir un de ceux-là, Oncle ! Quand je songe au bourbier dans lequel je m'enfonçais, j'en frissonne de dégoût.

[...]

Notre vie ne nous appartient pas, nous n'avons pas le droit d'en disposer, ce qui revient à dire que pas plus que nous ne pouvons nous suicider, nous ne devons hésiter à la risquer, lorsqu'on la réclame pour accomplir les destinées de la providence.

Une mort doit toujours servir à quelques choses. Les grands savants, les explorateurs, les soldats, les marins, les guides qui sont tombés pour une cause juste ou pour une oeuvre utile aux autres, ont droit à notre respect et à notre souvenir. C'est pour cela qu'il ne faut pas craindre la mort et qu'on doit tirer le maximum de la vie, le maximum en bien comme de juste
."

A lire absolument.


Plus que le sommet, il s'agit de se vaincre soi-même...

L'affaire du faux diplôme de Rachida Dati

NOUVELOBS.COM | 25.10.2007 | 16:51

La ministre de la Justice aurait été reçue à l'Ecole de la Magistrature en présentant un dossier mentionnant un diplôme qu'elle n'a en fait jamais eu.

Rachida Dati

Rachida Dati (Sipa)

Rachida Dati, ministre de la justice, a été reçue à l’Ecole de la Magistrature en présentant un dossier falsifié, peut-on lire cette semaine dans le magazine L’Express. Un scoop retentissant, puisque, comme l’expliquent nos confrères, une "rumeur" courrait Paris depuis cet été: "la Garde des Sceaux aurait usurpé ses diplômes. L’affaire est devenue tellement sensible que le ministère de l’Intérieur a fini par s’en émouvoir". Quelques lignes plus loin, arrive la réponse de l’Express : "Son dossier (pour intégrer l’école de la magistrature, ndlr) fait état de deux maîtrises, de cours suivis à l’Isa et -curieusement- de l’obtention d’un 'MBA européen du groupe HEC-ISA'", détaille l’hebdomadaire. "Or, rappelons-le, selon la grande école, elle n’a jamais obtenu le diplôme…".

On va donc résumer : la garde des Sceaux a certainement été choisie à ce poste, pour avoir été magistrate. Or, elle a intégré l’ENM sur la base d’un dossier dont un des principaux éléments se révèle faux. Comme dirait la ministre, elle-même: "Quand on veut, on peut".

Une grève préventive et politique donc illégale

Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN


6-jean-marie-le-pen.jpg Une fois de plus, les syndicats de l’archéosocialisme paralysent le pays par une grève préventive et politique.

Personne ne souligne que cette grève, une fois de plus, est illégale. Toute grève engagée contre des décisions politiques est illicite, puisque la grève est un conflit entre des salariés et leur employeur, et que l’employeur n’a aucun pouvoir sur les décisions politiques.

Et il ne s’agit même pas d’une décision politique, mais d’un simple document d’orientation sur les régimes spéciaux de retraite, qui n’a fait l’objet d’aucune discussion puisqu’il a été publié il y a une semaine.

D’autre part, il ne sert à rien de regretter que la loi sur le service minimum ne soit pas encore en application. En réalité cette loi est une publicité mensongère, elle ne servira à rien.

Le fossé que l’on constate entre la promesse du candidat Sarkozy et sa réalisation en la matière ne peut que laisser planer un doute quant à la détermination du président de la République sur la question des régimes spéciaux de retraite. Et cela renforce, a contrario, la détermination des syndicats.

Il fallait d’emblée un signe fort, qui n’est pas venu. L’affaire est donc mal engagée.

par Thomas Joly

Harry Potter et l'homofolie


Homofolie et air du temps: J.K. Rowling révèle l’homosexualité d’un personnage d’Harry Potter

Lors d’une lecture publique à New york, l’auteur a levé le secret sur la sexualité d’un magicien de la saga.
Les associations Gay au Royaume-Uni se sont évidemment immédiatement réjouies de cette grande et passionante nouvelle, mais estiment nénamoins que l’auteur aurait du “explicitement évoquer cette sexualité dans les livres” (avec des images techniques peut-être en plus?).

La rumeur circulait depuis des années parmi les fans, mais aucune preuve tangible n’avait jusqu’à présent été apportée. C’est au cours d’une lecture publique du dernier tome d’Harry Potter à New York que l’auteur J.K. Rowling a révélé l’homosexualité du personnage de Albus Dumbledore. “Oui, Dumbledore est Gay”, a-t-elle répondu à l’un de ses fans.

Cette pathétique soumission à l’air du temps ne serait que risible si “l’oeuvre” de l’écrivain industriel JK Rowling ne touchait pas des millions de jeunes adolescents qui, une fois encore, se voient confrontés à la promotion de l’homosexualité et à la disparition des frontières entre normalité et déviance.

Outre la médiocrité littéraire de cette “saga”, voilà en tout cas une nouvelle raison de boycotter l’insupportable Harry Potter et sa créatrice milliardaire.

SOURCE : http://fr.novopress.info

Quelques chiffres

Jeudi 25 octobre 2007

Ces chiffres sont ceux qu’Eric Zemmour a cité dans son droit de réponse, publié dans « Le Monde », à Dominique Sopo, le président de SOS racisme, qui l’avait traité de “réactionnaire” (le nouveau mot à la mode remplaçant « raciste ») suite à ses délcaratiosn favorables aux fameux « tests adn ».
Zemmour cite donc des chiffres du ministère des affaires étrangères, et d’autres ministères :
30 à 80% des actes civils en Afrique sont frauduleux.
30 % des mariages de l’état civil français sont entre un Français et un étranger, dont 50 % célébrés à l’étranger.
Le nombre de mariages de « français » au Maghreb et en Turquie a augmenté de 731 % en dix ans.

On peut citer en conclusion un paragraphe d’ Eric Zemmour : l’antiracisme fut le rideau de fumée qui occulta la soumission socialiste aux forces libérales. Les antiracistes ont avec la finance un point commun essentiel : le refus des frontières. Avec les progressistes de tout poil, ils ont détruit les derniers obstacles à la toute puissance du marché : famille traditionnelle, Nation, Etat. Les premiers servent les intérêts de la seconde. Idiots utiles du capitalisme.

A méditer.

SOURCE : http://fr.novopress.info

61 traitres

Marc Laffineur, vice-président de l’Assemblée nationale, a présenté hier la création du « groupe des Européens ». Ce groupe constitué de 61 députés UMP a « vocation à être le fer de lance de la politique européenne du président de la République » et à « expliquer le nouveau traité »... Bernard Deflesselles, autre vice-président de l’Assemblée, souligne qu’il faut que la France soit le premier pays à ratifier le traité européen, par un Congrès à Versailles, avant le 9 février 2008, date de la suspension des travaux à l’Assemblée nationale pour la campagne des municipales.

Le président de la commission des Affaires étrangères, Axel Poniatowski, fait également partie de ce groupe, qui est donc un lobby parlementaire officiel chargé de faire en sorte que le traité soit ratifié le plus vite possible selon le vœu du président de la République.

SOURCE : http://yvesdaoudal.hautetfort.com

QUAND LA REGION DEFAIT LA NATION

jeudi, 25 octobre 2007

3abecc128a7929f9debecdeb6fa61856.jpgIntervention de Christian Baeckeroot au Conseil régional Nord/Pas-de-Calais



La notion de financement par la Commission est ambiguë, tout comme le slogan « l’Europe s’engage en France ». Il faut en effet rappeler que ces subventions ne représentent qu’une partie des impôts versés à l’Europe par les contribuables français. Les nations européennes ont perdu beaucoup de leurs compétences et toute réduction complémentaire de celles-ci est à proscrire.

La région, en devenant organisme intermédiaire pour les fonds répartis par la Commission de Bruxelles s’inscrit dans ce contexte de destruction des Etats-nations, et du renforcement de la bureaucratie mondialiste de la Commission !

Or c’est bien ce risque qui détermine la position du groupe FN, à savoir contre votre proposition. Bien sur, si les gouvernements français avaient respecté le NON massif exprimé par les Français le 29 mai 2005, leur refus de l’euro-mondialisme, leur attachement à l’Etat Nation, notre position aurait pu être différente. Rassurés sur le respect de la souveraineté de la France , nous aurions pu avancer plus hardiment vers des compétences régionales élargies. Malheureusement que ce soit sur l’entrée de la Turquie ou sur le nouveau traité, le gouvernement de Sarkozy se prépare à trahir une fois de plus, la volonté du peuple français et même à trahir ses promesses. […] Aujourd’hui est un jour de deuil ! Le sommet de Lisbonne atteste que l’on peut être en République sans être en démocratie et que les manipulations des lois électorales permettent d’aller contre la volonté du peuple.

La France n’a rien à faire en Afghanistan

Jeudi 25 octobre 2007

Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN

Au lendemain de la très médiatique mais nébuleuse incantation de Nicolas Sarkozy sur l’Union méditerranéenne, son ministre de la Défense a discrètement mais concrètement promis à l’OTAN des renforts pour l’Afghanistan, répondant ainsi aux exigences formulées par le secrétaire américain à la Défense Robert Gates.

Confirmant les informations qui avaient filtré, Hervé Morin ajoute que cet « effort » de la France est « clairement destiné à indiquer aux 37 pays membres de l’Isaf que ce n’est pas le moment de baisser les bras ».

Hervé Morin se fait le perroquet de Robert Gates. Le gouvernement de Nicolas Sarkozy se met ouvertement au service des Etats-Unis.

Mais la France n’a rien à faire en Afghanistan. Surtout si c’est pour y manifester son alignement sur le gouvernement de George W. Bush.

mercredi 24 octobre 2007

Intervention de Jean-Marie Le Pen sur le Traité modificatif de Lisbonne

mardi, 23 octobre 2007

e01fa1884043e36503a93fefbbe3fca6.jpgDeux ans et demi après le rejet de la Constitution européenne par les Français et les Néerlandais, le Conseil européen a adopté le 19 octobre à Lisbonne le Traité simplifié et modificatif, bien mal nommé, car il a été complexifié et ne modifie la Constitution rejetée qu'à la marge.

Bref, on veut nous faire prendre des vessies pour des lanternes et nous convaincre que ce texte n'a rien à voir avec le précédent pour éviter d'affronter les peuples européens par referendum.

La chose est trop sérieuse, semblez-vous dire, pour être confiée aux peuples. Et bien, nous pensons exactement le contraire. Dans la mesure où ce texte est un copié-collé de la Constitution européenne, il mérite que chaque pays organise un referendum de ratification, à commencer par la France et la Hollande. Seul un referendum peut annuler ce qu'un autre à décidé !

Je lance dès ce jour, sans esprit partisan, une grande pétition dans mon propre pays pour que le Président de la République française, initiateur du mini-traité européen, revienne sur sa position en proposant un referendum.

Il y va, en effet, de l'avenir de nos Nations respectives, de leur souveraineté, de leur indépendance, de leur identité et de leurs libertés.

Nous ne pouvons confier, par exemple, à un Haut Représentant le soin de nous représenter à l'étranger pas plus que nous ne pouvons voir remettre en cause notre siège au Conseil de Sécurité des Nations-Unies au nom de la personnalité juridique de l'Union ou encore laisser notre corpus juridique et législatif démantelé par les juges de Luxembourg.

Les complices d'un tel déni de démocratie porteraient une lourde responsabilité devant l'Histoire.

Le Pen et la commission Balladur

mercredi, 24 octobre 2007

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Selon ce qui filtre dans la presse, la commission Balladur sur les institutions va proposer de remplacer le système des parrainages pour l’élection présidentielle par un vote des élus locaux, et de faire élire 30 députés à la proportionnelle.

Un vote des élus locaux « serait contraire au principe de l’élection du président de la République au suffrage direct », réagit Jean-Marie Le Pen, interrogé par l’AFP. Un tel vote aurait une dimension politique, dépassant la simple vérification du sérieux de la candidature telle qu’elle a été définie par le législateur.

D’autre part, Jean-Marie Le Pen juge « dérisoire » la proposition de permettre l’élection de 30 députés à la proportionnelle. « C’est une rigolade ! Cela n’aurait de sens qu’à partir de 100 députés... Ils devraient proposer que 5 députés seulement soient élus à la proportionnelle, comme ça ils seraient sûrs qu’ils seront UMP ou PS... »

La commission Balladur, a-t-il ajouté, « c’est une colline qui accouche d’un moustique ».

Yves Daoudal