jeudi 26 février 2009

Billet d'humeur

LA SALSA DE NOS DIRIGEANTS : La Picardie, et principalement l’Aisne notre département, est mise à mal par un certain Monsieur BALLADUR. Je n’oublie pas que notre président, le sieur SARKOZY, fut en son temps le dauphin politique et l’homme à tout faire de cet ex Premier Ministre. Que veulent-ils ? Sinon une fois de plus nous faire perdre notre identité de terroir et voir chuter par un autre procédé électoral le nombre des conseillers régionaux du FN, voire les supprimer.

SARKO de plus en plus à gauche : M. LANG se voit confier une mission pour CUBA, M. BESSON intègre le gouvernement, M. KOUCHNER très très appuyé et soutenu. A quand un appel du pied à la belle Ségolène ou à BESANCENOT. Madame AUBRY je la pense à l’abri, entre la mairie de Lille et la rue Solférino, où pourrait-elle nuire davantage à la France ?

BARNIER, ministre de l’Agriculture et de la Pauvreté négociée de nos paysans : Les céréaliers et agriculteurs de l’Aisne doivent le remercier : après maintes négociations européennes en 2010, près de 25000 Millions d’euros en moins – certains d’entre eux ne vivent qu’avec 400 euros mensuels. De plus ce triste sire sème une belle zizanie entre agriculteurs et éleveurs. Va-t-on enfin l’arrêter ?

TOUT VA MAL… le commerce, l’agriculture, l’élevage, l’emploi, la sécurité, la santé, l’éducation. Je résume en un seul mot NOTRE VIE de tous les jours. Mais l’espoir est là, nous conservons notre confiance et nous mettons entre les mains de la plus haute IDEE que l’on puisse se faire de la politique et du changement : l’espoir que des élus du FRONT NATIONAL nous protègent enfin de tous ces requins… Michèle DALL’ARA

COMMUNIQUE de Franck BRIFFAUT

Conseiller régional – Front national

Sur le rapport du comité Balladur

La rapidité avec laquelle la commission Balladur a accouché de son rapport alors que les collectivités territoriales concernées n’ont même pas été consultées, témoigne du peu d’intérêt que l’Etat porte à celles-ci.

L’annonce de la réduction du nombre des Régions et notamment du dépeçage de la Picardie, intervient avant même que soit précisés les nouveaux périmètres de compétence de l’institution régionale, ce qui est inadmissible !

En termes d’aménagement du territoire, la région Picardie est indispensable : elle constitue un espace d’équilibre à dominante rurale entre les deux régions à vocation essentiellement urbaine que sont l’Ile-de-France et le Nord-Pas-de-Calais. La proposition de faire disparaître la Picardie illustre le fait que depuis déjà bien longtemps l’Etat n’a plus aucune politique cohérente d’aménagement du territoire.


mardi 24 février 2009

L'ÉDITO de Jean-Claude Roussel dans l'UNION de ce jour (24.02.09).
Les charognards :

Les vautours que l'on voit perchés sur un fil télégraphique dans de nombreux épisodes de Lucky Luke ont quelque chose de sympathique. Idem pour ceux du Livre de la jungle. Mais les charognards que l'on pouvait croiser hier soir à la Guadeloupe inspiraient plutôt de l'écœurement. Certes, on ne vit pas sur la planète des Bisounours et en matière politique, tout est bon pour mettre l'adversaire en difficulté. Mais de là à sauter dans un avion pour aller parader devant un cercueil à l'autre bout de la planète, l'air contrit mais en prenant bien soin d'offrir son meilleur profil aux photographes… L'exercice auquel se sont livrés Ségolène Royal, Olivier Besancenot et José Bové relève plus du domaine de la nécrophilie que de celui de la simple récupération politicienne. Et il a fallu à la Jeanne d'Arc du Poitou une dose certaine de cynisme pour oser répliquer « Ayez un peu de respect ! » aux journalistes qui se permettaient de la questionner sur sa présence. Les ronds de jambe de ce trio macabre autour du cercueil de Jacques Bino, le syndicaliste guadeloupéen tué par balle dans la nuit de mardi à mercredi, auraient peut-être pu se concevoir si ses membres s'étaient fait entendre en temps et en heure sur la crise qui secoue les Antilles. Mais tel n'a pas été le cas. A leur décharge, ces trois sinistres personnages n'ont pas été les seuls à sauter dans le train en marche. Il aura fallu de longues semaines à notre personnel politique, ainsi qu'aux médias, pour prendre la mesure de l'événement. Parfait exemple de la cécité de nos élites, ou du moins de nos élus, Christiane Taubira. Inexistante depuis le début de la crise, la députée PRG de Guyane est subitement devenue incontournable à la télé comme à la radio, où ses interventions percutantes mais réfléchies permettent de prendre du recul tout en restant en prise avec l'actualité. Bref, elle a des choses à dire et n'a pas besoin de monter à califourchon sur un corbillard pour être entendue, elle.
(nous sommes rarement d'accord avec le journal l'Union qui ne nous traite pas toujours correctement, pour ne pas saluer la pertinence et le courage de cet éditorial. Wallerand de Saint Just)

dimanche 22 février 2009

Connectez-vous sur le nouveau site de campagne de Marine Le Pen : marinelepen.com, Marine qui était à Soissons en janvier avec, de gauche à droite, Bruno Bilde, Steeve Briois,
Wallerand de Saint Just, Franck Briffaut
(photo Courrier Picard)