samedi 29 décembre 2007

Tout est dit !

a0257d13180f0986c4d517c1f7281f24.jpg« Il faut que les Français blancs s’y fassent. Bientôt ils ne seront plus majoritaires en France. Il suffit de se promener dans les rues de Paris et de prendre le métro pour s’en rendre compte.»

Ces paroles qui sont, hélas, des vérités ne sont pas, contrairement à ce que n'importe quel quidam pourrait penser, sorties de la bouche d'un Jean-Marie Le Pen, d'un Bruno Gollnisch et encore moins de celles de militants que les journalistes de la presse française, dans sa très profonde justesse et impartialité, décrivent comme des méchants, mais de Stéphane Pocrain, l'ex-écologauchiste qui est passé l'an dernier, avec ses quelques armes et son peu de bagages, chez les socialistes...

En voilà un qui ne s'encombre pas de précautions.

SOURCE : http://synthesenationale.hautetfort.com

De l’inconvénient de Charm el-Cheikh

5d36b48b99bc4a4b7c3a02944e8807cf.jpgCommuniqué de Jean-Marie Le Pen

Après la libération des hôtesses de l’air espagnoles et des journalistes français, Nicolas Sarkozy avait prononcé cette phrase historique : « J’irai chercher ceux qui restent, quoi qu’ils aient fait ».

Mais le transfèrement des Français condamnés au Tchad a eu lieu aujourd’hui, tandis que Nicolas Sarkozy est en vacances à Charm el-Cheikh. Il n’aura donc pas pu réitérer sa médiatique opération libyenne.

Les citoyens français, qui prennent déjà leur part dans la rançon exigée de l’Union européenne pour les infirmières bulgares, se demandent surtout si c’est à eux qu’il revient aussi de payer la rançon de 6,3 millions d’euros exigée par le Tchad. Et combien de rançons ils devront payer à l’avenir dans des opérations de ce type.

On attendrait du ministre des Affaires étrangères, spécialiste des questions humanitaires, une sérieuse réflexion sur l’activité humanitaire dans certains pays où elle devient une monnaie d’échange.

Mais M. Kouchner a été aussi muet dans l’affaire tchadienne qu’il le fut dans l’affaire libyenne.

Si Nicolas Sarkozy a bénéficié d’un jet privé pour se rendre en Egypte, on constate que sur cet important et coûteux sujet il n’y a pas de pilote dans l’avion France.

Cosmopolitisme : Quand Le Monde évoque les réalités de la « France d’en bas » !


"A Grenoble, « Gitans » et « Maghrébins » s’affrontent pour le marché de la drogue.
Cette phrase est le titre d’un article de LA référence en matière de presse et d’information dans notre beau pays de France : Le Monde. De là à croire que, comme beaucoup de ses confrères, ce journal du soir commence timidement à voir la réalité en face et à reconnaître les liens entre bandes ethniques et délinquance, il y a tout de même un monde...
Pourtant, Le Monde parle à juste titre de « guerre des gangs » de Grenoble, malheureuse copie de ce phénomène outre-atlantique, où se mêlent contrôle territorial, trafics divers, et solidarité ethnique. L’article évoque des « Gitans » qui ont imposé leur loi sur le marché de la drogue, qui feraient des « envieux », et explique l’apparition d’une nouvelle bande, celle des « Maghrébins ». Cette « guerre entre racailles », comme le souligne à juste titre Novopress, n’en finit pas d’ensanglanter l’agglomération grenobloise. Deux groupes rivaux semblent ainsi se livrer une lutte à mort depuis un an pour le contrôle de la drogue à Grenoble et dans sa banlieue. Un marché qui doit être lucratif, dans cette ville étudiante, puisque depuis le début de l’année, cette guerre a fait neuf morts et huit blessés par balles. La dernière victime est tombée la veille de Noël, dans la ville de Fontaine. Miloud Hairane, 33 ans, était connu des services de police pour trafic de stupéfiants. Cette expédition peut apparaître comme une réplique à celle de la place des Géants à Grenoble le 31 octobre. En cette soirée d’Halloween, dans cette zone piétonne du quartier de la Villeneuve , un commando fortement armé et portant des gilets pare-balle sous des vestes marquées « Police », avait ouvert le feu touchant mortellement deux hommes.
Cette véritable guerre a déjà fait 8 morts depuis le début de l’année 2007.

Nul doute que la « France d’Après » de Sarko est en bonne voie."

Source: Réseau France Nationaliste.

jeudi 27 décembre 2007

Notre Camenbert est en danger !

Attention : ces fromages ne sont pas des Camenbert !

Le camembert au lait cru n’est plus. En effet, les géants de la fabrication ont décidé que le lait cru était (officiellement) trop dangereux pour la santé. Par conséquent, une écrasante majorité des camembert que vous consommez régulièrement sont maintenant pasteurisés ou thermisés…..bref, c’est tout sauf du camembert.

Voyez donc ce reportage édifiant...




Sachons garder notre patrimoine et nos traditions (culinaires, artistiques, historiques, etc...), garants de notre identité, face aux lois du profit des industries mondialisées et sans racine !

P.C.

L'origine du Camembert:

Pendant la Révolution, un prêtre de la région de Meaux, l'abbé Gobert, en route vers l'Angleterre (et peut-être vers le Canada) trouva refuge chez une cousine de son évêque, Marie, née à Camembert, et vivant, non loin de là à Vimoutiers, avec son mari, nommé Harel. L'abbé Gobert avait observé ses paroissiens fabriquant le brie de Meaux. Estimant le fromage de son hôtesse un peu grossier, il l'aida à l'améliorer. Le nouveau fromage de Marie eut beaucoup de succès sur le marché local de Vimoutiers. C'est Marie Harel qui après ses premiers succès, décida d'utiliser des moules plus larges; c'est donc elle qui donna sa dimension définitive au camembert: 11 centimètres. On dit que la première fois que Napoléon goûta le fromage de Marie en Normandie, il embrassa la serveuse qui le lui avait présenté. Marie Harel transmit son savoir-faire à l'une de ses filles également appelée Marie qui s'installa avec un certain Hayrel, dans le village de sa mère: Camembert. Et ils firent beaucoup de bons fromages. Quand, en 1863, Napoléon III vint inaugurer le chemin de fer de Granville, Marie Hayrel lui présenta un de ses rejetons. L'empereur, comme font tous les amateurs, demanda d'où venait l'excellent fromage qu'il venait de goûter. De Camembert, lui répondit-on. Eh bien! décréta-t-il, il s'appellera désormais camembert!

Source: Jacques Dufresne, Le fromage, baromètre de la civilisation, 1996.

Banlieues pourries : à qui la faute ?

L'assassinat de Bébazir Bhutto : un avertissement de plus au monde

A deux semaines des législatives, Benazir Bhutto, l'ancien Premier ministre pakistanais, 54 ans, est morte jeudi après-midi dans un attentat suicide commis à la sortie de l'un de ses meetings à Rawalpindi, près d'Islamabad.

Alors qu'elle quittait les lieux à bord de sa voiture, elle a été touchée d'une balle à la tête tirée par un kamikaze qui s'est ensuite fait exploser avec sa bombe. Grièvement blessée, Benazi Bhutto est ensuite décédée peu après à l'hôpital. "Elle est morte en martyre", a déclaré Rehman Malik, un responsable de sa formation, le Parti du peuple pakistanais (PPP). Au total, une quinzaine de spectateurs ont également été tués dans l'attentat.

"Etat d'alerte"

Deux heures après l'annonce de l'attentat, le président pakistanais, Pervez Musharraf, a organisé une réunion d'urgence. Il a appelé "à la paix" dans le pays et demandé à ses concitoyens de rester calmes pour "que les desseins diaboliques des terroristes soient mis en échec". Il a également décrété trois jours de deuil national.

Malgré tout, face aux manifestations qui ont lieu après l'attentat dans tout le pays (cliquez ici pour lire notre article), les forces de sécurité -troupes paramilitaires et police- ont été placées en "état d'alerte".

Premier attentat le 18 octobre

Le 18 octobre dernier, deux kamikazes avaient tué plus de 130 personnes dans un gigantesque défilé de sympathisants qui célébraient, à Karachi, la grande ville du sud, le retour de Benazir Bhutto après huit années d'exil. Celle-ci avait échappé aux kamikazes parce qu'elle se trouvait à l'intérieur d'un camion blindé en tête du défilé. Depuis, elle avait accusé à plusieurs reprises des "hauts responsables" proches du pouvoir et des membres des services de renseignements d'être à l'origine de cette attaque, sans jamais le prouver.

Source : Alice/TF1



A propos de l’assassinat de Benazir BHUTTO

Communiqué de presse de Jean-Marie Le Pen

L’assassinat de Benazir BHUTTO, l’un des seuls dirigeants féminins d’un pays islamique, est évidemment condamné sans réserve par tous les responsables politiques dignes de ce nom.

Il constitue en outre un avertissement solennel à tous ceux qui se bercent d’illusions pacifistes sur la réalité de la menace islamiste dans le Monde.

http://www.frontnational.com/communique_detail.php?id=1551

On repasse les plats électoraux à Soissons

COMMUNIQUE DE LA FEDERATION DU FRONT NATIONAL DE L'AISNE

Ainsi, Isabelle LETRILLART, la candidate du parti de M. de Villiers, le MPF, à la dernière législative, sera-t-elle la candidate de l’UMP dans le canton de Soissons Nord en mars prochain ! Il faudra que Madame Letrillart explique aux électeurs comment elle accepte d’être soutenue par un parti dont certaines options (notamment sur l’Europe) sont radicalement contraires à celles du MPF. Les ralliements vont vite. Philippe de Villiers doit une caisse de champagne à Bruno Gollnisch qui avait parié que le leader du MPF mettrait une semaine à se soumettre à N. Sarkozy ; en réalité, il a mis quarante huit heures. On repasse les plats de lentilles.

Wallerand de SAINT JUST

Secrétaire départemental

lundi 24 décembre 2007

mercredi 26 décembre 2007

Grâce à l’A.M.E., les clandestins sont mieux soignés que les français

18d2220360b8287b50a66f5a2bb513c6.jpgSelon un rapport de l’IGAS (Mission d’audit, mai 2007), l’AME (Aide Médicale d’État destinée aux clandestins) ne comptait pas moins de 191 000 bénéficiaires en 2006, pour un coût estimé à 445 millions d’euros, sans compter les dettes, d’un montant de 800 millions d’euros au 30 septembre 2006.

L’IGAS pointe aussi le coût particulièrement élevé des bénéficiaires de l’AME, dont la prestation moyenne par bénéficiaire s’élève à 2 500 euros, contre 1 500 euros en moyenne pour un assuré du régime général.

En 2003, le rapporteur spécial de l’Assemblée nationale avait constaté des coûts moyens pouvant aller jusqu’à 8 000 euros dans la région parisienne.