vendredi 4 juillet 2008

Bigeard : "Nous sommes en guerre"

Vendredi 4 juillet 2008.

A 92 ans, le général Marcel Bigeard, officier le plus décoré de l'armée française, évoque la démission spectaculaire du général Cuche et le malaise des armées :

"Faut le faire ! Les généraux, quand ils ont deux étoiles, ils en veulent trois puis quatre. En principe, on ne démissionne pas comme ça. Je crois qu'il faut un certain courage, d'autant plus qu'il avait un job prévu : gouverneur des Invalides. Je dis : c'est bien. Je salue le panache même si je comprends les deux. Le président de la République a assez de travail, il est débordé, alors une affaire comme ça, ça ne l'arrange pas. A Carcassonne, il est arrivé certainement en colère et leur a dit : « Vous êtes des amateurs. » C'était le mot de trop ! Le général a entendu ça. Il est parti et c'est bien. Mettez-vous à sa place. [...]

Mais, moi, je le dis : nous sommes en guerre. C'est une guerre subversive qui frappe où elle veut, quand elle veut. Ils ont frappé l'Amérique, l'Angleterre, l'Espagne, pourquoi pas demain la France ? L'ennemi, ce sont tous ces mouvements subversifs, dirigés par Al-Qaïda, et qui travaillent dans l'ombre et peuvent décider de descendre Bigeard cette nuit. C'est le terrorisme islamique avec des gens qui ont un idéal et sont prêts à se faire tuer, à tirer sur la foule ou n'importe quoi... [...]

Vous savez, j'en ai vu des réformes au cours de ma vie ! J'ai 92 ans. J'en ai vu des livres blancs et ce ne sera pas le dernier. Quand on a vécu tout ce que j'ai vécu, tout cela fait mal. Je le dirai dans mon nouveau livre : « Mon dernier round face à la vieillesse ». Ce qui me permettra de sortir d'une façon correcte. On dira : il est mort en donnant un dernier coup de plume !"

Michel Janva

Source : Le Salon Beige.

mercredi 2 juillet 2008

Portrait d'un élu FN Picard : Franck Briffaut

Mercredi 2 juillet 2008.

En politique, chaque citoyen peut apporter quelque chose à son niveau.
Responsable de la formation des élus au sein du Front National, Conseiller Régional et Municipal en Picardie, Franck BRIFFAUT revient sur la nécessaire formation des élus et des militants et s'exprime également sur la thématique aménagement du territoire / transports.

Merci Monsieur Sarkozy !

Vous avez commencé par affirmer que c’est une erreur de penser que l’échelon national serait plus performant, et que sur tous les plans nous avons besoin de l’Europe.

Et ensuite, sur TOUS les sujets, vous avez prouvé le contraire. Qu’il s’agisse des prix dans les supermarchés, des marins-pêcheurs, de la fiscalité sur les produits pétroliers, sur les disques ou dans la restauration, de l’énergie, de l’environnement, des négociations à l’OMC, de l’immigration, etc., chaque fois vous avez montré que le gouvernement français ne peut pas agir parce qu’il faut l’accord des 27 et que cet accord est généralement impossible à obtenir. Sans parler de la Banque centrale européenne qui « fait le contraire de ce qu’il faudrait faire », mais qui doit demeurer indépendante…

Grâce à votre intervention de ce soir, les Français ont bien compris qu’il faut sortir de cette Europe-là, et que c’est vraiment devenu urgent, car la France est paralysée par la dictature eurocratique.

Merci, monsieur Sarkozy, d’avoir ainsi appelé les Français à voter, aux prochaines élections européennes, pour les candidats qui diront non à cette Europe-là et réaffirmeront à la face de l’euromondialisme qu’il n’y a pas d’autre protection légitime et efficace que la protection nationale.

Pour saluer le Président polonais

Mercredi 2 juin 2008.


Jean-Marie Le Pen salue la décision du Président polonais Lech Kaczynski de ne pas signer la loi de ratification du traité de Lisbonne, au motif que c’est aujourd’hui « sans objet ».

En effet ce traité est caduc depuis le non irlandais.

C’est aussi ce qu’a déclaré le président tchèque Vaclav Klaus.

La Pologne est ainsi le troisième pays à rejeter le traité, ou plutôt le cinquième, car le peuple français et le peuple néerlandais avaient déjà rejeté ce même texte sous sa forme précédente.

Cette fois, un seul peuple a pu donner son avis. Mais cet avis a entraîné la mort juridique du traité. Les contorsions de Nicolas Sarkozy n’y changeront rien.

lundi 30 juin 2008

Identité et patrimoine : initiation à la musique classique

Lundi 30 juin 2008.

Emission diffusée le samedi 21 juin en direct du théâtre du Châtelet :"La musique classique expliquée aux enfants" présentée par Jean-François Ziegel avec l'Orchestre Philarmonique de Radio France.











Source : François Desouche.