vendredi 18 janvier 2008

A propos de l'indemnisation des voitures brûlées

Communiqué de presse de Wallerand de Saint-Just.

En 2007, il n’y jamais eu autant de voitures brûlées à tel point que le gouvernement a du maquiller les chiffres de la nuit de la saint Sylvestre. Pour mieux cacher son impuissance, il imagine de faire indemniser les malheureux et souvent modestes propriétaires de ces voitures par un fond spécial, c'est-à-dire par le contribuable. Cette loi sur la protection des victimes, en discussion à l’heure actuelle, est pavée de bonnes intentions, mais elle est infernale : elle sera, en vérité, un encouragement à la délinquance.

http://www.frontnational.com/communique_detail.php?id=1564

jeudi 17 janvier 2008

Propagande pour l’avortement : Jusqu’où va-t-on descendre ?

Communiqué de presse de Bruno Gollnisch
Ce vendredi 18 janvier, débute dans les gares et les métros franciliens une sinistre campagne de promotion de l’avortement soutenue par le Conseil régional d’Ile-de-France. Outre le fait que les espaces publicitaires sont payés avec l’argent du contribuable, les documents de propagande associant sexualité, contraception et avortement prouvent une fois de plus la volonté de troubler les esprits quant à la gravité de l’avortement. La perversion des concepteurs de cette propagande de la « culture de mort » est allée jusqu’à exposer sur les affiches une femme enceinte ! Une telle publicité se justifie, selon le planning familial, par le fait que « les lois sur la contraception et l'avortement (…) ne sont pas correctement appliquées ». C’est seulement vrai dans le sens où l’avortement, légalement prévu pour des cas extrêmes, est devenu un simple moyen de contraception aboutissant chaque année à l’élimination d’un enfant à naître sur quatre ! A l’heure où l’hémorragie démographique n’est masquée que par un recours massif à une immigration de peuplement de plus en plus incontrôlable, cette promotion n’est qu’une indécente incitation au suicide collectif.

Ajoutons au communiqué de Bruno Gollnisch l'ignoble propos de Maïté Albagly, secrétaire général du Planning, répondant à l'AFP sur la question "Comment expliquer les difficultés dans l’accès à l’IVG ?" : « Nous sommes dans une société judéo-chrétienne qui transmet une certaine morale et on culpabilise toujours aujourd’hui les femmes de vouloir avorter, elles sont perçues comme des femmes irresponsables ou en situation de détresse. (...) L’avortement doit être quelque chose de normal, banal. »

Ben tiens... il est vrai que la photo ci-dessous démontre bien que l'avortement est normal et banal :

"A trouver que ce n’est rien de tuer un fœtus […] on trouvera que ce n’est rien de tuer un nouveau-né, et puis que ce n’est rien de tuer un vieillard… et l’on finira par une espèce de conception hitlérienne."
Jean Rostand - 1972.

"Légaliser l’avortement, c’est incroyable qu’une société puisse dire ce mot-là."
Françoise Dolto - 30 décembre 1987.

"Le chemin de la libération de la femme passe par les réformes sociales […] il ne passe pas par les cliniques d’avortement."
Maurice Thorez - 1954.

"[…] quelle est la valeur de la vie humaine ? L’avorteur qui remembre les bras et les jambes d’un petit bébé pour s’assurer que tout a été arraché des entrailles de sa mère peut à peine douter qu’il s’agisse d’un être humain."
Ronald Reagan.

Savez vous par ailleurs que le foetus, que l'on peut tuer jusqu'à douze semaines, entend dès ses huit semaines de vie, qu'il peut avoir mal (son système nerveux est fonctionnel), que ses doigts sont formés, que son coeur bat et que son sang peut être d'un groupe différent de celui de sa mère car son réseau sanguin est parfaitement autonome, ET QU'IL RÊVE !!!

Vous avez encore un doute ? Alors visionnez donc cette vidéo d'un avortement...

La pauvreté dans l’Aisne

Communiqué du Front national de l'Aisne :


On parvient à calculer le « taux de pauvreté ». C’est l’INSEE qui s’y emploie. L’Aisne est parmi les trois ou quatre derniers départements, avec les Ardennes, le Pas de Calais et le Nord. Ainsi, la moitié des habitants du département de l’Aisne vivent-ils avec moins de 14 380 € par an, c'est-à-dire 1 198 € par mois, c'est-à-dire 7 860 francs…

Dans l’Aisne, une proportion de 14,7 % des personnes vit sous le seuil de pauvreté contre 12,1 % en France de province.

La « pauvreté monétaire » est plus élevée en campagne qu’en ville, elle atteint surtout les jeunes de moins de 18 ans et les familles mono parentales. En France le « seuil de pauvreté » est à 681 €.

Toutefois il faut bien savoir que ces chiffres sont de 2004 et 2005. Ils sont cependant tout à fait inacceptables dans la France de 2008.

Rien ne s’est arrangé depuis, le pouvoir d’achat est une préoccupation lancinante de nombre de nos concitoyens.

Que peut faire le maire de Soissons ? Cette ville de Soissons est moins pauvre que d’autres, dans le département. On a vu, par ailleurs, que la pauvreté sévissait surtout à la campagne. Je crois que le maire de la ville de Soissons doit particulièrement veiller à la dépense et être très économe des deniers de ces concitoyens. Il doit par ailleurs tenter de contrôler que les décideurs (ce n’est plus lui – c’est la communauté d’agglomération), prennent des mesures efficaces.

Cette pauvreté, on en parle de plus en plus. Elle doit être couplée avec la question du pouvoir d’achat.

C’est assurément une belle réussite de tous nos politiciens depuis des dizaines d’années que de nous avoir amené à ce résultat… !!

Wallerand de SAINT-JUST
Conseiller municipal
Front national
de Soissons

03 23 97 65 95

OU aisne@fn-picardie.com

Une base française face à l’Iran...

Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN


La France va créer une base interarmées permanente à Abou Dhabi. Sa mission sera d’apporter un « soutien aux éléments français déployés dans la région et en particulier les forces navales qui s’y trouvent en permanence », dit Hervé Morin.

Qui ne voit que cette base se trouvera face à l’Iran, et que l’armée française va jouer les supplétifs de l’armée américaine ?

L’alignement de Nicolas Sarkozy sur les Etats-Unis prend brusquement une tournure extrêmement inquiétante.

http://www.frontnational.com/communique_detail.php?id=1560

Les « unités territoriales de quartier »...

Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN

Le gouvernement invente des « unités territoriales de quartier », utilisant un jargon administratif que personne ne comprend. Il s’agit d’une police de proximité, mais il ne faut pas le dire, parce que Nicolas Sarkozy l’avait supprimée en arrivant au ministère de l’Intérieur.

En fait, il s’agit seulement de la création en Seine-Saint-Denis de trois « unités », composées de 10 policiers chacune, qui constitueront « un laboratoire d’excellence de ce que peut être la police dans ses relations avec la population », selon la définition de Michèle Alliot-Marie.

Mais sur quelle planète vit l’actuel ministre de l’Intérieur ? Il y a un abîme entre de tels propos de salon, relevant de la plus fumeuse utopie, et la réalité dramatique de la situation dans les cités de Seine-Saint-Denis, et dans tant d’autres banlieues.

Quand il y a un incendie, on ne commence pas par construire un laboratoire pour tester d’anciens extincteurs.

http://www.frontnational.com/communique_detail.php?id=1558

Fondation Hamon : un avocat demande l’audition de Dati

Nouveau rebondissement dans l’affaire de la fondation Hamon, du nom de ce musée qui n’a jamais vu le jour mais pour lequel des millions d’euros de subventions semblent s’être volatilisés. Me Guméry, l’avocat du mécène éponyme Jean Hamon, a demandé vendredi dernier au tribunal de grande instance de Versailles l’audition de plusieurs responsables du conseil général des Hauts-de-Seine ayant eu vent du dossier. Parmi eux, Rachida Dati, adjointe du directeur général des services au conseil général en 2004 et 2005. Le juge d’instruction en charge de l’affaire a désormais un mois pour donner suite ou non à cette demande.

Le musée d’art contemporain aurait du voir le jour sur l’Ile-Saint-Germain, à Issy-les-Moulineaux. 192 toiles données au conseil général par le riche promoteur et mécène Jean Hamon devaient y être exposées. Si la création de ce musée n’a finalement jamais eu lieu, quelque 7 millions d’euros de subventions ont, elles, bel et bien été versées par un syndicat mixte, créé fin 2000. La justice s’interroge notamment sur une somme de 750.000 euros versée à Jean Hamon. Mais d’autres sommes astronomiques sont parties en pure perte pour frais d’études et de chantier. La SEM 92 aurait ainsi reçu 3,8 millions d’euros, note le Journal du Dimanche dans sa dernière édition.

suite

Quelques questions en suspens sur les HLM parisiens

17 janvier 2008.


Depuis l’emballement médiatique de l’affaire Bolufer, la question brûlante des HLM parisiens est repassée au second plan. C’est dommage car des questions essentielles demeurent sans réponse…

Lorsqu’on évoque les remous provoqués par le scanddale Bolufer (ce dircab de Christine Boutin royalement logé pour pas cher dans un immeuble de la Régie immobilière de la Ville de Paris), la municipalité parisienne botte en touche en déclarant qu’il s’agit d’une “queue de comète” des dérives de l’ère Chirac-Tibéri.

C’est un peu léger comme ligne de défense pour des gens qui sont aux responsabilités depuis sept ans maintenant et qui ont claironné très fort qu’ils avaient mis un terme aux pratiques critiquables d’antan…


81d759729f3a076ab99722b15978d9de.jpgLe cas Amara

On aimerait en effet connaître les arguments de la mairie justifiant certaines procédures d’attribution récentes. Celle dont a bénéficié Fadela Amara, par exemple. Car c’est en 2004 que la présidente de Ni Putes Ni Soumises s’est vu remettre les clés d’un appartement de 55 m2 dans le 13ème arrondissement contre un loyer très modéré (500 euros). Outre le prix, on peut en effet être surpris par la nature de l’appartement proposé (un 3-pièces pour une personne seule) ainsi que par la rapidité de la procédure : fraîchement débarquée de Clermont-Ferrand -où elle siège toujours au Conseil municipal-, Fadela Amara a été logée en quelques semaines alors que le délai moyen d’attente sur les listes de demandeurs de HLM est d’environ six ans. De même, l’association Ni Putes Ni Soumises a été relogée par l’OPAC grâce à la municipalité actuelle peu après avoir été condamnée par le tribunal pour non-paiement de loyers à l’association culturelle de gauche qui lui sous-louait un étage alors que la médiatique association engrangeait des subventions mirobolantes venant de toutes parts.

D’autres noms sont sortis dans la presse (voir notamment un article de Valeurs Actuelles paru en 2005 et qu’on peut toujours lire sur le blog de Roger Karoutchi), permettant au citoyen de se poser des questions quant à la réalité de la moralisation des procédures d’attribution et de l’égalité de traitement appliquée aux demandeurs.

Source

mardi 15 janvier 2008

Face aux délires de la subversion sarkozienne, nous faisons FRONT !

Voyez la vidéo, la subversion sarkozienne déclare la guerre à la France et aux Français...


Plus que jamais , seul le Front National incarne la résistance nationale face aux nervis du mondialisme destructeur des peuples et des patries. Aidez-nous à vous sauver, rejoignez-nous en cliquant ici.


Cliquez sur l'image pour agrandir le tract.Français ! Votez et faites voter FRONT NATIONAL, avant qu'il ne soit trop tard...

"Celui qui accepte d'abandonner un pouce du territoire national est un salaud." Charles Péguy.

lundi 14 janvier 2008

"Pierre Bérégovoy a été exécuté"

Suicide ou meurtre ? Un journaliste publie une contre-enquête troublante sur la mort de l’ex-Premier ministre préféré des Français

Dossier réalisé par Isabelle Horlans, le lundi 14 janvier 2008 à 04:01

Depuis le 1er mai 1993, le débat passionne dès qu’il est porté : l’ancien Premier ministre Bérégovoy s’est-il vraiment suicidé ? Pour en finir avec cette lancinante question, le journaliste Eric Raynaud a enquêté cinq ans. Sa réponse est non.
Même si un point d’interrogation atténue la portée de son titre – Un crime d’Etat ? La mort étrange de Pierre Bérégovoy (*) –, le livre conclut au meurtre. Inexorablement. Eric Raynaud, 49 ans, père de famille tout en rondeurs établi dans la Nièvre, n’est pas homme à voir des complots partout. Par hasard, lors des commémorations du dixième anniversaire de la mort de Pierre Bérégovoy en 2003, son regard s’est arrêté net sur la photo parue le 3 mai 1993 dans Le Journal du Centre. L’auteur du cliché, tétanisé par la scène, a cependant réussi à la fixer : « On constate nettement un trou sur le sommet du crâne, explique le journaliste. Rien à voir avec une balle tirée dans la tempe. Je me suis alors dit : il y a eu deux balles. Donc une de trop… » Ainsi débute son enquête.
Durant cinq ans, il rencontre les protagonistes du drame, les proches de Béré, comme les Français surnomment familièrement cet homme politique hors du commun, et des policiers. Parmi eux, le sulfureux commissaire Marty-Vrayance, révoqué en 2006. Un enquêteur brillant, homme de confiance du grand patron des RG, qui a été pour partie victime de sa curiosité. « Quand j’ai lu le rapport de Marty, confie Eric Raynaud, j’ai été convaincu qu’il s’agissait d’un assassinat. Partant de là, j’ai tout vérifié. »

Des investigations à risques

Dans son document qui se dévore en une nuit, comme un polar, Eric Raynaud égrène chacune des incohérences de cette affaire sensible : l’emploi du temps le 1er mai, les deux détonations, la trajectoire de la balle, la position du corps, les contradictions des témoins, la mise sous écoutes téléphoniques du député maire de Nevers, la disparition de l’agenda Hermès qu’il avait rangé dans sa poche comme l’attestent les images de France 3, la peur de son entourage, les cambriolages qui ont précédé sa mort, le refus opposé à Gilberte Bérégovoy qui jusqu’à son dernier souffle demanda un exemplaire du rapport d’autopsie… « Ce ne fut pas facile, mais beaucoup de gens ont accepté de se confier, » précise l’auteur qui, à son tour, a subi des pressions au point de plusieurs fois faire intervenir la police de Nevers.
Par objectivité, il remet en perspective la thèse d’un Bérégovoy « livré aux chiens », les journalistes qui avaient révélé l’existence du prêt amical d’un million de francs par Roger-Patrice Pelat, soupçonné de délit d’initiés dans le scandale Pechiney. Mais il bat la thèse en brèche. D’où le trouble qui s’empare du lecteur…

(*) Un crime d’Etat ? La mort étrange de Pierre Bérégovoy, Eric Raynaud, éd. Alphée Jean-Paul Bertrand, 254 p., 19,90 euros.


Source : France Soir.

Face au Réseau Educations Sans frontières, la réplique du Collectif Expulsion sans Frontières !

14 janvier 2008.


Interview de Novopress :

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NP : Vous lancez lundi 6 janvier le Collectif Expulsion Sans Frontières, de quoi s’agit-il exactement ?

Tout est dans le titre ! Notre sol est occupé actuellement par un nombre indéfini d’immigrés clandestins, mais que les estimations les plus basses fixent à 300 000. Selon les jours, ce sont des centaines ou des milliers de clandestins qui violent nos frontières.
Face à cela, les différents gouvernements ont jusqu’alors fait preuve du plus grand laxisme, puisqu’on expulse chaque année moins d’immigrés clandestins qu’il n’en est rentré durant le même laps de temps.
Notre Collectif, le CESF, se fixe donc un premier objectif lequel est, dans le cadre de la loi, de soutenir toutes les actions, toutes les procédures, toutes les enquêtes, permettant d’expulser un immigré clandestin.

Mais nous n’entendons pas nous en tenir là. En effet, pour combattre efficacement l’immigration clandestine, il faut agir sur deux autres fronts.
Le premier n’est pas de notre ressort. Il s’agit des mafias qui moyennant finances font entrer chez nous ces clandestins. Il s’agit là d’un travail de police.
Le second, en revanche, relève de tous les citoyens. Il s’agit des groupes de soutien à l’immigration clandestine. Au premier rang de ceux-ci, on trouve le Réseau Education Sans Frontières. Ce groupuscule viole les lois de la République française et notamment l’article L622-1 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile qui stipule : “Toute personne qui aura, par aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l’entrée, la circulation ou le séjour irréguliers, d’un étranger en France sera punie d’un emprisonnement de cinq ans et d’une amende de 30 000 euros.” Nous entendons donc mener une campagne d’information auprès du plus large public et notamment des parlementaires, pour obtenir la dissolution de ce groupe et, le cas échéant, la condamnation de ses membres ou de ses sympathisants qui auraient contrevenu aux lois.

NP : Faire la chasse aux immigrés clandestins, pour reprendre une terminologie gauchiste, est-ce une priorité pour la mouvance identitaire ou nationale ?

Pour nous, ce qui est prioritaire est de prendre toujours et encore l’offensive. De ne plus subir. Notre initiative est née à Beaune, en novembre dernier, lors de la Convention Identitaire. Deux personnes dans la salle se sont émues de l’action des gauchistes du RESF. Depuis des années, la presse de droite, nationale ou pas, pleurniche de longs articles à ce sujet. La grande presse consacre d’importants reportages ou articles à leurs actions qui souvent ne rassemblent pas 500 personnes. Nous, nous avons décidé d’agir, avec nos moyens. Nous sommes persuadés que le Collectif peut avoir un écho immense dans le pays. Qu’on soit Identitaire, FN, MNR, MPF ou UMP, ou qu’on ne soit encarté nulle part, il y a un ras le bol général de l’immigration clandestine et un dégout profond envers les groupes comme le Réseau Education sans Frontières qui violent les lois. Nous allons offrir, cas après cas, la possibilité à ces gens d’agir de manière concertée. A chacun alors de se mobiliser en conscience. Les militants du RESF essaient de pourrir la vie des policiers, des employés des préfectures, des douanes. Nous apporterons notre soutien à ces fonctionnaires et nous ferons savoir aux gens du RESF ce que les Français pensent d’eux…

NP : Quelles sont les motivations du RESF, selon vous ?

On y trouve de tout et, en fait, pas tant de monde que ça. Du vieux gauchiste à poil dur comme des lycéens manipulés, sans oublier des artistes qui jouent à la charité. La Comtesse de Ségur avait ses pauvres, les Carole Bouquet et autres Emmanuel Béart ont leurs immigrés clandestins. Mais derrière cette fausse charité, cet humanisme de pacotille, on trouve quatre choses. D’abord, la haine de notre identité nationale. Dans ce contexte, pour certains de ces gens là, il faut toujours et encore plus d’immigrés clandestins. Ensuite, une sorte de pathologie politique qui se traduit par l’emploi d’un vocabulaire complètement fou : pour certains, la police de Sarkozy conduirait des rafles dignes de Vichy ! Puis, l’incapacité pour tous ces gens de se rendre compte que la misère existe en France, qu’elle touche souvent des Français de souche, et qu’ajouter de la misère à la misère, relève d’une grave irresponsabilité. Enfin, la plupart de ces gens qui se disent de gauche ne veulent pas voir que les premiers satisfaits de l’arrivée de clandestins sont les patrons voyous avides à la fois d’une main d’œuvre exploitable au noir mais aussi d’une main d’œuvre régularisable capable de faire pression à la baisse sur les salaires.

NP : Un vœu pour cette année qui commence ?

Oui, un maximum d’expulsions et l’interdiction des groupes gauchistes de soutien.

NP : Pour en savoir plus sur vous ?

Il suffit d’aller sur notre site web : http://www.expulsionsansfrontieres.org/

Attali, toujours plus loin dans l'ignoble

Déjà que Jacques Attali veut continuer la submersion immigratoire dont est victime notre France d'une manière extrêmement massive et organisée par l'Etat (voir ici.)

Mais voici que Novopress nous apprends qu'en plus il veut assassiner massivement les personnes de plus de "60/65 ans", sauf si elles deviennent "solvables".

Quel sera la prochaine étape dans l'ignoble des sbires de la subversion sarkozienne ?

Extraits de son livre L’Homme Nomade , Ed. Le Livre de Poche, 2005 :

"Dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte alors cher à la société ; il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement, plutôt qu’elle ne se détériore progressivement."

"On pourrait accepter l’idée d’allongement de l’espérance de vie à condition de rendre les vieux solvables et de créer ainsi un marché."

"
Je crois que dans la logique même du système industriel dans lequel nous nous trouvons, l’allongement de la durée de la vie n’est plus un objectif souhaité par la logique du pouvoir."

"L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figure. Dans une logique socialiste, pour commencer, le problème se pose comme suit : la logique socialiste c’est la liberté, et la liberté fondamentale c’est le suicide ; en conséquence, le droit au suicide direct ou indirect est donc une valeur absolue dans ce type de société."

"L’euthanasie deviendra un instrument essentiel de gouvernement."

Cela fait peur quant à notre avenir... Et cela nous rappel les heures les plus sombres de notre histoire, n'est-il pas...

A noter que le sieur Jacques Attali a présentement 64 ans, mais nul doute que lui se considère solvable et qu'il n'appliquera pas sur lui-même ses propres principes d'euthanasie...



dimanche 13 janvier 2008

Le monde en 2008: une année à haut risque (Forum économique mondial)

79fc3a0e8e998681f517a4f87ed31541.jpgMOSCOU, 10 janvier - RIA Novosti. Le monde traversera en 2008 la plus forte période de risque économique et politique des dix dernières années, lit-on dans un rapport du Forum économique mondial (FEM), commenté par le quotidien russe Vedomosti.

Le rapport intitulé Global Risks 2008 a été rédigé par le FEM en collaboration avec Citigroup, Marsh & McLennan Companies (MMC), Swiss Re, Wharton School Risk Center et Zurich Financial Services.

Les thèmes principaux du rapport seront débattus lors de la réunion annuelle du Forum qui se tiendra à Davos du 23 au 27 janvier, poursuit le quotidien.

Les risques sont évalués sur la base d'un questionnaire soumis à une centaine d'hommes d'affaires, d'hommes politiques et de scientifiques, a annoncé Charles Emerson, l'auteur du rapport. Les conséquences éventuelles des risques encourus et leur probabilité sont évaluées sur une échelle de cinq points et sont divisées en plusieurs catégories: les risques économiques, géopolitiques, naturels, sociaux et technologiques.

Le principal risque, auquel le monde est d'ores et déjà confronté, est lié à la crise du système financier qui engendre une hausse des prix alimentaires, une vulnérabilité des canaux de livraisons globaux et un enchérissement des ressources énergétiques, rapporte Vedomosti.

Le possible effondrement des prix de l'immobilier aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et en Europe, susceptible de provoquer une chute de la consommation et la récession, obtient 4,5 points. Les dommages envisageables recueillent quant à eux 5 points.

Le risque d'un ralentissement de la croissance chinoise qui pourrait tomber à moins de 6% en 2008, et pourrait coûter à l'économie mondiale entre 250 et 1.000 milliards de dollars, est estimé 3,5 points sur 5, tout comme une possible chute du dollar, qui aurait des conséquences de grande envergure sur le système financier.

C'est la Grande-Bretagne qui en Europe souffrirait le plus de la crise financière en raison de son rôle de centre financier.

Selon les auteurs du rapport, les éventuels problèmes de l'économie américaine se répercuteraient également sur la Russie, en influant sur les prix des matières premières. Les besoins en pétrole de la Chine continuant à augmenter, un ralentissement de la croissance du géant asiatique aurait peu d'impact sur la Russie.

Ioulia Tseplaïeva de la banque d'investissement américaine Merrill Lynch estime que les risques sont actuellement à leur plus haut niveau et place la menace des récessions américaine et européenne au premier rang des préoccupations.

Selon Evegueni Gavrilenkov, économiste de Troïka Dialog, les scénarios du FEM sont exagérément pessimistes, de nombreux économistes estimant que les Etats-Unis parviendront à éviter la récession.

L'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a considéré en décembre que malgré une chute de la croissance de 30 de ses membres de 2,7% à 2,4%, les Etats-Unis seraient capables de surmonter le risque de récession.

La croissance chinoise s'appuyant de plus en plus sur la demande intérieure, M. Gavrilenkov estime qu'il est peu probable qu'elle chute à 6%.

Le risque de voir flamber les prix du pétrole et du gaz en raison d'une baisse de la production est quant à lui estimé à 4 points.

La question d'un manque sérieux de nourriture pour les populations les plus pauvres en 2008 atteint 3 points, alors qu'elle n'était pas évoquée dans les prévisions pour 2007. Selon les experts, un million de personnes pourraient mourir de faim en 2008, ce fléau pouvant devenir le risque principal du XXIe siècle.

L'augmentation de la population mondiale et de son niveau de vie, ainsi que les changements climatiques, pourraient augmenter les risques de famine. La production de biocarburant, en forte hausse, influe en outre sur la production et le prix des huiles végétales.

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