samedi 23 février 2008

Les centres de rétention : peut-être dans 15 ans...

samedi 23 fébrier 2008.

5e2b6d8e3bcfd2d04d6248b803ec86cc.jpgCommuniqué de presse de Jean-Marie LE PEN

Une fois de plus, la montagne a accouché d’une souris : après la censure du Conseil constitutionnel, il ne reste quasiment rien du grand projet de Nicolas Sarkozy visant à mettre hors d’état de nuire les plus dangereux récidivistes.

La loi sur la rétention de sûreté devra attendre, pour être appliquée, que le premier criminel dangereux à être jugé à partir de maintenant ait fini de purger sa peine, dans 15 ans peut-être...

D’ici là, la législation aura eu le temps de changer plusieurs fois...

Pour opérer une vraie rupture et résoudre le problème de récidive que posent les plus dangereux criminels, il suffirait de rétablir une véritable échelle des peines, avec au sommet la peine capitale, suivie de la réclusion à perpétuité, qui soit réellement à perpétuité, et non de trente ans.

Tous les bricolages effectués à la lumière glauque du politiquement correct sont voués à l’échec. On vient d’en avoir une nouvelle preuve.

vendredi 22 février 2008

Nos héros de l'Aisne : Emile Driant (1855-1916)

Le lieutenant-colonel Driant est connu pour être tombé à Verdun, le 22 février 1916, au bois des Caures. Mais il mena auparavant une carrière littéraire, sous le nom de Capitaine Danrit, et une carrière politique élu député de la 3e circonscription de Nancy à partir de 1910.

Emile Cyprien Driant est né le 11 septembre 1855 à Neuchâtel (Aisne) où son père était notaire et juge de paix. Elève au lycée de Reims, il obtient le premier prix d'histoire au Concours général. Contrairement au souhait de son père de le voir lui succéder, Emile désire être soldat, marqué par la défaite de 1871 et le passage des troupes prussiennes. Après avoir obtenu une licence ès-lettres et en droit, il intègre Saint-Cyr à vingt ans, en 1875. Sorti quatrième deux ans plus tard, il entame une carrière militaire des plus méritante : "petit, mais solide, santé à toute épreuve, très actif et toujours prêt ; monte fort bien à cheval et a un goût très prononcé pour l'équitation, très intelligent a devant lui le plus bel avenir" écrira un de ses supérieurs. Il sert au 54e régiment d'infanterie de Compiègne puis à Saint-Mihiel.

Promu lieutenant en 1883 au 43e régiment d'infanterie, il est affecté à Tunis où le général Boulanger, alors gouverneur général de la Tunisie, le prend comme officier d'ordonnance - il lui accordera la main de sa fille, Marcelle. Capitaine en 1886, il suit Boulanger à Paris alors nommé ministre de la guerre. Préférant l'action aux intrigues politiques, il retourne en Tunisie au sein du 4e zouaves - l'épisode boulangiste lui vaudra la méfiance de son entourage et son affectation loin de Tunis, à Aïn-Dratam, à la frontière algérienne. Le couple Driant revient à Tunis et s'installe à Carthage où il fréquente le cercle catholique du cardinal Lavigerie, alors primat d'Afrique.
Driant utilise ce moment d'accalmie dans sa carrière pour faire oeuvre d'écrivain sous le pseudonyme de Danrit. Le succès est au rendez-vous, les romans se suivent : La guerre de demain, La guerre de forteresse, La guerre en rase campagne, La guerre souterraine, L'invasion noire, Robinsons sous-marins, L'aviateur du Pacifique, etc. Le Capitaine Danrit est, avec Louis Boussenard et Paul d'Ivoi l'un des principaux auteurs du Journal des voyages. Ses récits de sont inspirés du modèle vernien du roman d'aventures, mais relu à travers la défaite de Sedan et l'expansionnisme colonial français. La découverte du monde et de ses merveilles devient l'évocation de richesses à puiser ou de menaces à circonscrire ; les machines extraordinaires, qui permettaient, chez Verne, de voyager à travers les airs et les mers, sont désormais avant tout des engins de guerre, pour détruire l'adversaire. Son oeuvre est caractéristique du roman d'aventures coloniales de la fin du XIXe siècle à la logique plus spécifique des années précédant la première guerre mondiale. Dans ses écrits, une vaste place est accordée à l'armée. Il affirme son goût des grands hommes et sa méfiance à l'égard des parlementaires. Ils sont le reflet d'une opinion publique obsédée par la menace d'une guerre. Ils accompagnent les discours quotidiens de la presse, toujours attentive aux incidents internationaux (Fachoda en 1898, la crise du Maroc constitue la trame narrative de L'Alerte en 1911), aux risques d'embrasement qu'ils portent en eux et à l'obsession du déclin de la France et de l'Europe. Ainsi, dans L'invasion jaune, ce sont les Américains, capitalistes âpres au gain, qui permettent aux asiatiques de s'armer, en leur vendant fusils et cartouches. Il imagine aussi comment utiliser massivement les armes actuelles dans une situation de guerre mondiale : gaz mortels, aéroplanes, sous-marins, le rôle de chaque invention est considéré dans la perspective d'une vaste offensive. L'officier rejoint le romancier lorsqu il fait oeuvre de pédagogie dans sa trilogie historique destinée à la jeunesse : Histoire d'une famille de soldats (Jean Taupin en 1898, Filleuls de Napoléon en 1900, Petit Marsouin en 1901). Le Capitaine Danrit écrira ainsi près de trente romans en vingt-cinq ans.

Rappelé en métropole, l'"idole du soldat" est nommé instructeur à Saint-Cyr en 1892, auréolé de son prestige d'écrivain militaire et de visionnaire : ses écrits annoncent la guerre des tranchées. En décembre 1898, il est nommé chef de bataillon au 69e d'infanterie de Nancy après un retour de quatre ans au 4e zouaves. Après un court séjour dans la cité nancéenne, il réalise son voeu de commander un bataillon de chasseurs. Il reçoit le commandement du 1er bataillon de chasseurs à pied stationné dans la caserne Beurnonville à Troyes. Sa détermination et son courage le conduisent à risquer sa vie le 13 janvier 1901 lorsqu'il intervient pour raisonner le forcené Coquard dans le faubourg de Sainte-Savine. Malgré ses brillants états de services, Driant n'est pas inscrit au tableau d'avancement. Politiquement engagé dans un catholicisme de droite, il subit les contre-coups de l'anticléricalisme ambiant des années de la loi de séparation des églises et de l'Etat, et se voit inculpé dans l'affaire des fiches où les officiers auraient été notés en fonction de leur opinions religieuses. Une campagne de presse lui reproche d'avoir organisé un office en la cathédrale de Troyes à l'occasion de la fête de Sidi-Brahim et d'avoir attenté à la liberté de conscience de ses hommes en les contraignant à assister à l'office. Frappé de quinze jours d'arrêt, il demande sa mise à la retraite et décide d'entrer en politique afin de défendre l'Armée au Parlement ; il a alors cinquante ans.
Battu à Pontoise en 1906 face au libéral Ballu, il met à profit sa collaboration à L'Eclair, dans lequel il publie nombre de diatribes anti-parlementaires, pour effectuer un voyage en Allemagne. A l'issu de ses observations sur les grandes manoeuvres en Silésie, il publie un livre au titre prémonitoire, Vers un nouveau Sedan, dont la conclusion est éloquente : "une guerre qui nous mettrait demain aux prises avec l'Allemagne serait une guerre désastreuse. Nous serions battus comme en 1870, plus complètement qu'en 1870". Ces propos parus dans un premier temps dans sept articles peu avant les élections de 1910 lui valent son élection à Nancy face au radical Grillon.
Assidus aux séances de la Chambre des députés, mêlant le catholicisme social de Mun aux idées de Vogüé et de Lavisse, il intervient pour faire voter les crédits militaires et soutient Barthou lors du vote de la "loi de Salut" qui porte à trois ans le service national, et s'insurge contre le déclassement des places fortes frontalières - il parvient à sauver celle de Lille en 1912 -, et s'intéresse avant guerre à la toute récente aéronautique militaire. Driant s'oppose aux thèses de Briand et de Jaurès, s'appuyant sur des exemples tirés des événements de Russie. L'armée doit jouer un rôle essentiel, avant tout comme instrument d'éducation des classes populaires, et le cas échéant comme instrument contre-révolutionnaire. C'est le concept de l'armée-école et de l'apostolat social, qui s'inscrit alors dans la mouvance des Dragomirov, Art Roë et Lyautey. Il s'intéresse ainsi aux luttes sociales, dans la mesure où elles peuvent compromettre la Défense nationale. Il soutient le syndicalisme indépendant, dit "jaune", fondé par Pierre Biétry avec l'appui de l'industriel Gaston Japy. Ceux-ci prônent l'association entre le capital-travail et le capital-argent. Les textes de Driant défendent le principe de la liberté par la propriété individuelle, au moyen de la participation progressive des ouvriers au capital des entreprises. Parmi les principaux votes du député Driant, durant la législature 1910-1914, figurent des résolutions telles que la journée de dix heures, les retraites, les libertés syndicales, et diverses mesures d'aide sociale.

A la déclaration de guerre, il demande à reprendre du service et est affecté à l'état-major du gouverneur de Verdun au service du général Coutenceau. Il sollicite et obtient le commandement des 56e et 59e bataillons de chasseurs à pied de la 72e division d'infanterie, formés de réservistes du Nord et de l'Est, soit 2200 hommes. Il commande dans l'Argonne et dans la Woëvre. Eprouvés par les combats de Gercourt, village de la Meuse repris par Driant aux Allemands, ses troupes ne prennent pas part à la première bataille de la Marne et sont chargées de la défense du secteur de Louvemont. Ils reprennent le secteur du bois des Caures et le fortifient. "Père Driant", il sait écouter ses chasseurs, gratifie les meilleurs de cigarettes et de cigares, assiste en personne aux obsèques de ses héros au cimetière de Vacherauville. Membre de la Commission de l'Armée, il est le rapporteur de la loi portant création de la Croix de Guerre au printemps 1915. Il est surtout celui qui annonce l'imminence de l'offensive allemande sur Verdun et le manque de moyens humains et matériels dès le 22 août 1915 dans une lettre adressée au président de la Chambre, Paul Deschanel : "nous pensons ici que le coup de bélier sera donné sur la ligne Verdun-Nancy... Si les Allemands y mettent le prix, et ils ont prouvé qu'ils savaient sacrifier 50000 hommes pour emporter une place, ils peuvent passer". Malgré une visite de parlementaires, une inspection de Castelnau, en décembre 1915, et une question de Galliéni, ministre de la guerre, à Joffre, rien n'est fait.
Pourtant, le 21 février 1916, alors que l'armée du Reich concentre son action sur le secteur de Verdun, seuls les 1200 hommes de Driant et 14 batteries font face à l'attaque de 10 000 soldats allemands et 40 batteries. Les Chasseurs résistent héroïquement pendant plus de 24 heures et subissent de lourdes pertes, permettant aux renforts d'arriver et de maintenir la ligne de front. La position du bois des Caures, tenue par Driant et ses hommes, est pilonnée pendant deux jours par des canons de 150, 210 et 300 mm. Le 22 février, à midi, les Allemands se lancent à l'assaut des positions des chasseurs. Les grenades et les lance-flammes viennent à bout de la résistance française. Driant donne l'ordre de repli sur Beaumont. Touché à la tempe, Driant meurt à soixante et un ans.
Au soir du 22 février 1916, on ne compte que 110 rescapés parmi les chasseurs de 56e et 59e régiments. L'annonce du désastre suscite une grande émotion. Alphonse XIII d'Espagne, un admirateur d'Emile Driant charge son ambassadeur à Berlin d'enquêter sur sa disparition. On se plaît à le croire blessé, prisonnier ou évadé à l'étranger. Une lettre de la baronne Schrotter, mère d'un officier allemand ayant pris part aux combats des Caures, à son épouse mettra fin aux rumeurs : "M. Driant a été enterré avec tout respect, tous soins, et ses camarades ennemis lui ont creusé et orné un beau tombeau ; de sorte que vous le trouverez aux jours de paix" (16 mars 1916).
Son sacrifice est récupéré par la presse et les publications de la guerre, pour galvaniser les troupes. La Chambre des députés annonce officiellement sa mort, son éloge funèbre est prononcé le 7 avril par Paul Deschanel, le 28 juin, la Ligue des patriotes de Maurice Barrès fait célébrer un service solennel à Notre-Dame (Paris) présidé par le cardinal Amette. Le militaire rejoint alors le romancier ...
Il est inhumé par les Allemands à proximité des lieux de son trépas, alors que ses effets sont retournés à sa veuve via la Suisse.
En octobre 1922, le corps de Driant est exhumé. Un mausolée, décidé par d'anciens combattants dont Castelnau y est érigé. Chaque année, une cérémonie y est célébrée le 21 février, en souvenir du colonel Driant et de ses chasseurs tombés pour la défense de Verdun.

Source : Les chemins de la mémoire.

A lire : l'article sur le pc du colonel Driant.

A voir : le reportage photographique sur la tombe du colonel Driant.

A voir : le documentaire sur la bataille de Verdun.

jeudi 21 février 2008

La franc-Maçonnerie et le gouvernement

Jeudi 21 février 2008

COMMUNIQUE

Ainsi, Xavier Bertrand, ministre important et haut responsable politique du département de l’Aisne, a-t-il été contraint d’authentifier son appartenance à la franc-maçonnerie révélée par la presse. En confirmant, il dit : « un ministre ne peut mentir », quelle hypocrisie : il ment alors depuis 1995, moment de son « initiation » ! En outre, X. Bertrand n’est pas membre de n’importe quelle loge,mais du Grand-Orient, l’obédience la plus à gauche, la plus sectaire aussi. Comment X. Bertrand concilie-t-il cette affiliation, son appartenance à l’UMP et ses « convictions religieuses » ? C’est du grand écart. Cet incident démontre que de très nombreux hauts responsables politiques appartiennent secrètement à des mouvements dont l’influence occulte est grande et qui servent souvent, de manière critiquable, on le sait, des intérêts très personnels. Ceci est néfaste et antidémocratique.


Wallerand de SAINT JUST

Vice-président du Front national

Secrétaire de la fédération de l’Aisne

A quoi sert la redevance audivisuelle ?

A ça !



Franchement, vu ce que nos gouvernants font de cette taxe, on aimerait mieux un peu plus de publicité et moins de redevance pour le service public...

mercredi 20 février 2008

Mémoire de la République

La mémoire de ces enfants-là ne sera portée par aucun élève de l'école de la République.

Marie-Modeste AIRIAU, 5 ans et 7mois
Thomas AIRIAU, 10 mois,
Joseph ARCHAMBAUD, 20 mois
Agathe ARNAUD, 4 ans et demi
Etienne BERIAU,15 jours,
Marie-Madeleine BERIAU, 2 ans et 11 mois
Jeanne BERIAU, 4 ans
Marie BERNARD, 3 ans
Céleste BOISSELEAU, 6 ans

Pierre BOISSELEAU, 6ans et demi
François BOSSIS, 7 mois
Joseph BOSSIS, son frère, 23 mois
Louis BOSSIS, autre frère, 5 ans
Pierre BOUET, 27 mois
Louis BOURON, 3 mois
Madeleine BOURON, sa cousine, 3 ans
Marie CHARUAU, 2 ans
Marie-Madeleine CHARUAU, sa sœur, 4ans et 3 mois
Jean CHARRIER, 3 ans
Marie DAVIAUD, 1 mois
Pierre DAVIAUD, son frère, 5 ans et 8 mois

Jeanne DAVIAUD, 2 ans et 11 mois
Pierre DAVIAUD, son frère, 4 ans et 10 mois
Louis EPIARD, 5 ans et 10 mois
Jean-François ERCEAU, 27 mois
Pierre FETIVEAU, 27 mois
N…FETIVEAU, son frère, 3 mois
Jeanne FEVRE, 5 ans et demi
Suzanne FORGEAU,20 mois
Rose-Aimée FORT, 31 mois
Pierre-René FORT, son frère, 5 ans et 9 mois

Marie-Anne FOURNIER, 30 mois
Jacques FOURNIER, son frère, 5 ans et 5 mois
Marie GARREAU, 7 ans
Marie-Anne GAUTRET,7 ans
Pierre GEAI, 25 mois
Jean GIRARD, 1 an
Marie-Jeanne GIRARD, sa sœur, 4 ans et 2 mois
Pierre GIRARD, leur frère, 6 ans et 4 mois
Pierre GOUIN, 1 an

Louis GRALEPOIS, 13 mois
Jeanne GRALEPOIS, 5 ans
Pierre GRATON, 3 ans et 4 mois
Jeanne GRIS, 5 mois
Pierre GRIS, son frère, 5 ans
Lubin GUILLET, 6 ans
Marie GUITET, 4 ans et demi
Marie HERMOUET, 5 mois
Louis HIOU, 2 ans et 11 mois
Marie-Anne JOLI, 27 mois

Marie MALARD, 4 ans
Jean MALIDIN, 18 mois
Marie MALIDIN, sa sœur, 3 ans et 11 mois
Jeanne MALIDIN, 3 ans
Rose MALIDIN, sa sœur, 6 ans et 2 mois
Joseph MANDIN, 23 mois
Louis MANDIN, son frère, 5 ans et 9 mois
Véronique MARTIN, 1 an
Marie-Françoise MARTIN, 2 ans

Louise MARTIN, sa sœur, 5 ans et 4 mois
Rosalie MARTIN, 2 ans et 10 mois
Louise MARTIN, sa sœur, 5 ans et 3 mois
Rosalie MARTINEAU, 2 ans et 11 mois
Jean MIGNEN, 1 an
Louise MINAUD, 15 jours
Louise-Marie MINAUD, sa sœur, 15 mois
Jean MINAUD, leur frère, 5 ans et 3 mois
Pierre MINAUD, autre frère, 6 ans et 11 mois

Jeanne MINAUD, 15 mois
André MINAUD, son frère, 4 ans et 2 mois
Véronique MINAUD, leur sœur, 6 ans et 8 mois
Pierre MINAUD, leur cousin, 4 ans
Louise MINAUD, 33 mois
Marie-Anne MINAUD, sa sœur, 6 ans et 11 mois
Anne MORILLEAU, 2 ans
Céleste MORILLEAU, sa sœur, 6 ans et 5 mois

Jean PERROCHEAU, 5 ans et 3 mois
Pierre POGU, 22 mois
Jean POGU, son frère, 5 ans
Rose PREVIT, 10 mois
Marie PREVIT, sa sœur, 6 ans
Rose REMAUD, 4 ans et 11 mois
Marie REMAUD, 4 ans et demi
Pierre RENAUD, 18 mois
Catherine RENAUD, sa sœur, 3 ans et demi

Jeanne RENAUD, leur cousine, 4 ans
Marie-Anne RENAUD, 4 ans
Pierre RENAUD, son frère, 6 ans et demi
Marie RICOULEAU, 22 mois
Jeanne ROBIN, 5 ans
Marie-Anne RORTAIS, 4 ans
Jeanne ROUSSEAU, 23 mois
Jean ROUSSEAU, son frère, 3 ans et 11 mois
Louis ROUSSEAU, autre frère, 7 ans
Victoire ROUSSEAU, cousine, 11 mois
Jeanne ROUSSEAU, sa sœur, 4 ans

Jeanne SAVARIAU, 5 ans et 10 mois
Pierre SIMONEAU, 6 mois
Jean SIMONEAU, son frère, 4 ans et 10 mois
Jacques SIMONEAU, 18 mois
Joseph, SIMONEAU, cousine, 8 mois
Henri SORET, 2 ans
Jacques SORIN, 5 mois
Jean SORIN, son frère, 3 ans et 3 mois

Madeleine TENET, 7 ans
Louis VRIGNAUD, 23 mois
Marie-Jeanne VRIGNAUD, 3 ans
Jean-Baptiste VRIGNAUD, son frère, 4 ans et 5 mois

Chapelain, porte-parole des valeurs de la République, aux Lucs-sur-Boulogne, le 28 février 1794 :

«Aujourd'hui journée fatigante, mais fructueuse. Pas de résistance. Nous avons pu décalotter, à peu de frais, toute une nichée de calottins qui brandissaient leurs insignes du fanatisme. Nos colonnes ont progressé normalement.»

Par un décret du 1er octobre 1793, la jeune république française lance ses « colonnes infernales » à travers la Vendée : « Il sera envoyé en Vendée des matières combustibles de toutes sortes pour incendier les bois, les taillis et les genêts. Les forêts seront abattues, les repaires des rebelles anéantis, les récoltes coupées et les bestiaux saisis. La race rebelle sera exterminée, la Vendée détruite.

Au Lucs-sur-Boulogne, la population est enfermée dans l’église du village et 564 personnes, femmes, enfants, vieillards seront brûlés vifs au nom de la République.

Quand un député UMP touche les Assedic et joue les vierges effarouchées une fois prit la main dans le sac.

Mis en cause par Le Canard Enchaîné, le député-maire d’Aulnay-sous-Bois, Gérard Gaudron (UMP) incrimine l’assurance chômage, à qui il a demandé d’arrêter les versements mensuels.

«C’est pas possible, c’est ma faute, je ne sais pas quoi vous dire… j’ai été négligent ! Mais pourquoi j’ai fait ça !? Je vais tout rembourser…» C’est le véritable cri du cœur arraché au député-maire d’Aulnay-sous-Bois (UMP) Gérard Gaudron, par le Canard Enchaîné, qui l’interrogeait sur les raisons pour lesquelles il perçoit les Assedic. «Maire d’Aulnay depuis 2003, Gaudron a commencé à toucher les Assedic en août 2005, après avoir travaillé comme hydrogéologue durant de longues années», écrit l’hebdomadaire satirique.

Mais d'où viennent ces prestations chômage ? Ce député est indemnisé par les Assedic après avoir accompli l'ensemble de sa carrière chez Géotherma, société spécialisée dans l'installation de chauffages à énergies renouvelables, géothermie, aérothermie, solaire et biomasse. Dans un premier temps, l'agence d'Aulnay-sous-Bois de l'ANPE semble avoir oublié de radier l'élu qui ne s'était pas présenté à une convocation en mai 2007. Le versement de son allocation fut suspendu plus tard... le 7 août de la même année. Cependant, écrit Le Canard Enchaîné, le 7 octobre, "à la demande expresse du directeur départemental du travail et de l'emploi, l'exclusion est annulée et l'argent du chômage atterrit de nouveau, chaque mois, sur le compte en banque de Gaudron".

suite

mardi 19 février 2008

Intervention de Jean-Marie LE PEN sur le futur de l'Europe (Traité constitutionnel)


aebf06b0b8eaf4046cf9db66d9c442c4.jpgStrasbourg, le 19 février 2008

"M. Le Président, Mesdames, Messieurs;

La trahison française est consommée. Le Congrès de la honte s'est réuni à Versailles, le 4 février pour adopter la révision constitutionnelle, nécessaire pour l'adoption du Traité dit Constitutionnel. Versailles est devenue le haut lieu de l'abdication de la souveraineté française après qu'y fut proclamé l'Empire allemand.


Au nom des 26 Etats membres qui ne seront pas consultés par referendum, l'Irlande devient, de facto, le porte-parole de ces millions d'Européens qui ont voté NON en 2005 et qui ne veulent pas d'un super Etat européen.


Lorsque l'on prive les peuples du droit légitime de s'exprimer sur leur avenir, ils se vengent. Ne vous inquiétez pas, Mesdames, Messieurs, ils prendront leur revanche, et quelle revanche, aux élections européennes de l'année prochaine.


A la vérité, un certain nombre de dirigeants européens savait que leur peuple rejetterait cette constitution déguisée, Monsieur Sarkozy l'a crûment avoué devant la Conférence des Présidents de cette Assemblée en citant notamment le gouvernement du Royaume-Uni.


Il s'est fait le monsieur-bons-offices de ce tour de passe-passe scandaleux. Or, il était le dernier à avoir le droit de faire adopter la Constitution-Bis par voie parlementaire. Mais que ne ferait-on pas pour briller et apparaitre comme le maître d'oeuvre de cette opération de prestidigitation.


Des nations millénaires et illustres sont ainsi liquidées au bénéfice d'une utopie constructiviste qui les livre pieds et poings liés aux conséquences maléfiques du Mondialisme et du libéralisme sauvage : l'immigration massive, l'insécurité, la ruine économique, le désastre social. La décadence morale et culturelle.


L'avenir de l'Europe ne passe pas par ce super Etat aux visées totalitaires, comme on le voit aujourd'hui au Kosovo, ce qui devrait vous servir d'avertissement mais par une coopération librement consentie des Nations et des peuples européens, d'ailleurs étendue aux Nations Slaves.


Il n'y a, en tout cas, aucun doute sur le fait que deux peuples consultés dont les gouvernements ont été tous deux fondateurs de l'Union, ont clairement refusé la Constitution proposée par référendum.


Dès lors, ce texte étant illégitime, toutes ses conséquences sont illégitimes et nul ne saurait être tenu d'en respecter les termes.


La résistance nationale devient dès lors légitime. Pour les citoyens un droit, pour les patriotes un devoir. Caveant Consules !"

Kosovo: la réponse du berger à la bergère...

Le Premier ministre serbe Vojislav Kostunica a annoncé que Belgrade avait ordonné à son ambassadeur à Washington de quitter les Etats-Unis. La même mesure a été prise contre tous les pays qui ont reconnu le Kosovo. Les ambassadeurs français et turc à Belgrade ont été priés de quitter la capitale serbe sous 48 heures.

Le Parlement serbe a "annulé" par un vote à l'unanimité la déclaration unilatérale d'indépendance du Kosovo, déclarant qu'elle violait l'intégrité et la souveraineté de la Serbie.

LA SUITE

Source: AFP

Comparez...

16 Février, l’Algérie envoie des imams en France

L’Algérie va envoyer en France 29 imams et deux prédicatrices pour encadrer des mosquées en application d’un accord entre le ministère algérien des Affaires religieuses et l’Association de la mosquée de Paris. (source)

11 Février, Algérie : un prêtre catholique condamné pour avoir prié

Un prêtre catholique a été condamné par le tribunal d’Oran à un an de prison avec sursis pour avoir «célébré un rite dans un lieu non reconnu par le gouvernement». Le Père Wallez, français, est sanctionné en vertu de la nouvelle loi sur «l’exercice des pratiques du culte non-musulman». (source)

L’ «Union méditerranéenne», ça fait envie, non ?

Source : François Desouche

lundi 18 février 2008

Le Kosovo « indépendant » ?

Lundi 18 février 2008.

1acc758a06a3cb20100801da9f3b14ab.jpgCommuniqué de presse de Jean-Marie LE PEN

Avec la bénédiction de l’Union européenne sous influence américaine, les dirigeants du Kosovo ont proclamé l’indépendance de cette province serbe, en violation du droit international.

En dehors de l’injustice majeure que représente cette décision illégale et illégitime, tout le monde sait que le Kosovo indépendant n’est pas viable.

Ce « pays » ne peut survivre qu’en mendiant de la main droite des subsides à l’Union européenne, et en récoltant de la main gauche les profits des trafics mafieux dont il est une importante plaque tournante.

Le Kosovo indépendant sera un sanctuaire du crime organisé, au cœur de l’Europe, et en outre une base (al Qaïda, en arabe) pour l’islamisation du continent. Le tout subventionné par les citoyens européens.

Toute reconnaissance de cette indépendance sera une faute historique aux conséquences incommensurables.

Loin des caricatures que les médias et autres politicards donnent du Front National

Alain Griotteray apporte son soutien à Louis Aliot

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Alain GRIOTTERAY
Grand Officier de la légion d'Honneur
Médaillé de la Résistance
Ancien Député

apporte son soutien à

Louis ALIOT

Tête de liste FN aux élections municipales de Perpignan


Communiqué d’Alain Griotteray :


Alain Griotteray, parce qu'il se fait une certaine idée de la France et de l’Europe apporte son soutien à Louis ALIOT, candidat tête de liste à la mairie de Perpignan.

Contrairement au maire de Perpignan qui se considère comme « l’homme le plus à gauche du département » et qui vante son passé « trotskyste », la droite se doit d'apporter ses suffrages à un candidat dont les convictions répondent à la volonté de rénovation nationale exprimée par les Français et les Perpignanais.

A Perpignan, les électeurs de droite ne peuvent que souhaiter être représentés à la mairie par un élu, ardent défenseur de l'Europe des patries et des valeurs traditionnelles et républicaines qui ont fondé la France.

Manifestation hier (17 / II / 08), devant l'ambassade américaine à Belgrade



Suivit d'un clip reprenant la chanson du groupe In Memoriam, Paris-Belgrade, sortie lors de la première agression occidentale contre la Serbie en 1999 pour favoriser l'occupation albanaise du Kosovo-malachie (ce qui signifie "la terre des monastères).

dimanche 17 février 2008

Les occupants Albanais proclament l'indépendance du Kosovo serbe...

... C'est un peu comme si la Picardie, après que les musulmans y soient devenus majoritaire suite à des dizaines années d'immigration sauvage, déclarait son indépendance. Mais les Serbes n'acceptent pas ce diktat !

Contrairement à la guerre contre la Croatie, en ce qui concerne le Kosovo les Serbes ont raison.

En Russie, Président Poutine a dit cette semaine qu'il avait une riposte toute prête si les occupants Albanais proclamaient l'indépendance de cette province historiquement serbe. Espérons qu'elle sera de taille.

Voici l'hymne national Serbe ; hymne d'un peuple fier, libre et souverain !



P.C.