
Tentatives de meurtre
Mais, vers 4 heures du matin, à 300 – 400 mètres plus loin, du côté des Promenades, à deux pas des permanences de campagne de Dutreil et d’Hazan, alors qu’un petit groupe de jeunes nationaux rentrait tranquillement chez eux, deux racailles en véhicule ont délibérément foncé sur eux, heurtant de plein fouet Nicolas qui a eu les deux jambes brisées et plusieurs blessures à la tête. A l’évidence les Chances pour la France les attendaient depuis plusieurs heures pour leur régler leur compte. Mais, non contents d’avoir renversé Nicolas, les deux passagers du véhicule sont descendus pour tenter de l’achever. Mohamed, qui accourait pour porter secours à son ami, a alors été violemment pris à partie à son tour, tabassé à coups de bouteille de verre et à l’aide d’un cric de dépannage, presque lynché. Il s’en est sorti de justesse avec plusieurs contusions au crâne.
Thierry Maillard, arrivé sur les lieux quelques minutes après les faits, responsable de la section rémoise du Front National, dénonce une véritable tentative de meurtre au premier degré, en plein centre ville et au coeur d'une campagne électorale cruciale. Cette nuit, des racailles des Quartiers ont tenté de tuer deux jeunes Français, simplement parce qu’ils étaient français et fiers de l’être. Plus rien ne semble arrêter ces Chances pour la France que l'on nous impose depuis trop longtemps au quotidien par démagogie.
Plus jamais çà !
Les deux voyous ont réussi à prendre la fuite très rapidement, en bénéficiant même d’une complicité dans le quartier. Très vite prévenus, police et SMUR n’ont pu que constater les résultats de cette tragique agression : deux blessés, dont un grave, baignant dans leur sang. Patriote convaincu, Nicolas voulait s’engager dans les parachutistes pour y faire carrière. Avec ses deux jambes abîmées, ce sera sans doute plus difficile. Quant à Mohamed, il reste choqué.
Nous attendons maintenant les réactions (s’il y en a…) des trois principales têtes de liste sur Reims : Renaud Dutreil, Adeline Hazan et Catherine Vautrin. Trois têtes de listes qui n’ont pas fait de la sécurité dans notre ville un point essentiel de leurs projets respectifs pour les six années à venir. Pour l’heure, nous faisons confiance en la justice pour donner à cette affaire dramatique toute l’importance qui lui est due. Des dépôts de plainte sont en cours avec constitution de partie civile, et nous souhaitons vivement qu’ils soient rapidement suivis d’effet. La loi des racailles ne passera pas sur Reims ! Dores et déjà, nous entendons multiplier nos actions militantes pour dénoncer, non seulement la vermine qui entend imposer ses quatre volontés aux paisibles habitants de notre ville qui n’aspirent qu’à vivre en paix, mais aussi et surtout pour que tels faits ne se reproduisent plus. Des faits qui ne sont que la conséquence de l’incurie des politiciens veules et égoïstes qui ont eu à gérer la ville ces dernières années, avec les conséquences que l’on voit.