dimanche 2 mars 2008

Insécurité : Marcel Campion menace de créer une milice armée

Dimanche 2 mars 2008.

«SI, DANS QUINZE jours, les pouvoirs publics ne déploient pas davantage de moyens, nous formerons un comité de vigilance armé. » L’avertissement est clair et il est signé Marcel Campion, l’emblématique président des forains de France, responsable entre autres de la Foire du Trône et de la grande roue de la place de la Concorde à Paris. Il fait suite à l’agression dont son frère, André, a été victime dans la nuit de dimanche à lundi à son domicile de Lachapelle-aux-Pots, un petit village près de Beauvais, dans l’Oise.
Cette nuit-là, un commando cagoulé a ligoté et roué de coups le forain retraité pour lui extorquer argent et bijoux. Pour la sixième fois en quelques semaines, un entrepreneur de la région de Beauvais était victime d’un commando de plusieurs hommes qui agissait selon un mode opératoire similaire.

Hier, à Beauvais, une dizaine de victimes étaient réunies pour créer une association et se « donner les moyens d’agir ». Ulcérées par la lenteur de l’enquête, avec l’impression d’être « oubliées », les victimes ont décidé de récompenser financièrement toute personne qui donnera un renseignement susceptible de permettre l’arrestation d’un ou plusieurs membres du commando. Un détective a été engagé pour centraliser les informations et mener l’enquête.


En avril 2007, à quelques jours des élections présidentielles, suite au meurtre d’un policier par une bande de “blacks”,que les médias tentaient de faire passer pour un accident , Marcel Campion avait déjà tenu des propos courageux (bien sur censurés par les médias aux ordres -écoutez bien la réaction de vierge effarouchée du journaliste-)…

vendredi 29 février 2008

Persécution contre Bruno Gollnisch

Crimes Soviétiques : jugements Français

1768897778.jpgCommuniqué de Presse de Bruno GOLLNISCH


La Cour d’Appel de Lyon vient de confirmer la condamnation prononcée à mon encontre par le Tribunal de Grande Instance.

J’aurais contesté le jugement de Nuremberg, notamment en affirmant que l’assassinat de milliers d’officiers polonais à Katyn était à mettre sur le compte des soviétiques, qui l’ont depuis reconnu, et non sur celui des Allemands. J’en déduis donc que, pour ne pas risquer de porter atteinte à l’autorité de Nuremberg, il faut continuer à prétendre que les Allemands sont responsables de ce crime.

Je serais également coupable d’avoir demandé que la discussion soit libre sur ces sujets, sur lesquels, selon la Cour, plus aucun débat ne saurait avoir lieu. Je suggère donc le licenciement de tous les historiens qui, sur fonds publics, travaillent encore sur ces questions qui n’en sont pas.

En matière de contestation de jugement, je suis cependant mieux traité que le célèbre écrivain Emile Zola qui fut condamné à un an de prison ferme, pour avoir contesté la condamnation du capitaine Dreyfus. Et j’ai un motif d’espoir: l’histoire a donné raison à Emile Zola, dont beaucoup de rues de France portent le nom, plutôt qu’à ses juges tombés dans l’oubli.



1097731039.jpgCommuniqué de presse de Jean-Marie LE PEN

Bruno Gollnisch est lourdement condamné en appel pour «contestation de crimes contre l’humanité» alors qu’il avait explicitement reconnu la Shoah comme un crime contre l’humanité.

Cette condamnation s’inscrit dans la longue liste de ces verdicts où la justice prétend débusquer des non-dits coupables dans des propos qui ne le sont en aucune manière.

Il ne s’agit pas de justice, mais d’une persécution permanente contre ceux qui déplaisent à Big Brother. Ces jugements mettent la France au rang des Etats totalitaires.

«Malheur à la génération dont les juges méritent d'être jugés», dit le Midrash Rabba.

jeudi 28 février 2008

Marine Le Pen en visite au Salon de l'Agriculture (28 II 08)

En compagnie de Wallerand de Saint-Just (vice-Président du FN, Secrétaire départemental de l'Aisne, candidat aux municipales de Soissons et à la cantonale de Soissons-Sud)



Quel succès !

La faillite de l'école française

Les enfants de la Shoah en CM2 : c’est enterré

jeudi, 28 février 2008

La « décision » de Nicolas Sarkozy de faire parrainer par des CM2 chaque enfant juif de France victime de la Shoah a subi le lot commun des grandes trouvailles du président : elle a été enterrée.

Interrogée par les journalistes à l’issue de la réunion de la « mission » créée pour la mettre en forme, sa présidente Hélène Waysbord-Loing a tout bonnement répondu : « Il n'en a pas été question ce matin. » Elle a ajouté : « Il ne faut pas faire de la commémoration, du rituel, parce que l'école n'est pas le lieu de cela. L'école est le lieu où l'on construit un savoir, où l'on apprend aux élèves à rechercher, à enquêter. »

La mission fera des propositions d’ici deux mois. « Il n'y a rien de très précis de décidé, mais la volonté de tous d'arriver à améliorer ce qui est déjà très bien fait par les professeurs », a dit Simone Veil.


La réaction de Marine Le Pen

Interrogée par l’AFP à son arrivée au salon de l’agriculture, Marine Le Pen a répondu : « La maman de jeunes enfants de bientôt 10 et 9 ans se réjouit de cette décision. Je regrette que Nicolas Sarkozy lance des idées dont plusieurs sont éminemment néfastes, sans aucune concertation, en écoutant des conseillers qui n'ont aucune qualité particulière, comme Mme Mignon, en créant une espèce de sentiment anxiogène. J'espère qu'il en tirera des conséquences et cessera ce comportement impulsif et négatif. »

Elle a suggéré qu’en revanche « chaque classe de CM2 parraine un héros de l'histoire de France, qu'il soit célèbre ou anonyme », afin de « recréer une fierté à l'égard de la France ». Il pourrait s'agir de « héros connus ou inconnus comme les Justes », a-t-elle précisé.

Alors qu'on lui demandait s'il fallait améliorer le travail de mémoire sur la Shoah (ce qui reste l’objectif de la mission), elle a mis en garde contre « une compétition entre les mémoires, au moment où il faut appuyer plus sur ce qui nous unit ».

Yves Daoudal

mercredi 27 février 2008

Marine Le Pen dans les 4 Vérités (France 2 le 25 II 08)

Des colleurs d'affiches du Front national ont été agressés hier à Nice.

Des colleurs d'affiches du Front national ont été agressés hier à Nice par des voyous d'un groupuscule identitaires.

Parmi eux le n°2 de la liste, Gilbert Pigli, conseiller municipal sortant de Nice de 64 ans, remplaçant de Marie-France Stirbois après son décès (alors même que les identitaires prétendent qu'aucun conseiller ne se représente).

Les militants du FN circulaient à bord du véhicule de campagne portant les couleurs du Front.


Ces faits font suite à de nombreuses actions aussi variées que des menaces de mort ou des pressions en tout genre proférés par les voyous identitaires.

1533636962.jpgLe président du Front national viendra soutenir la liste FN aux municipales à Nice lors d'un meeting à Acropolis le jeudi 28 février à 20 heures.

mardi 26 février 2008

Jean-Marie Le Pen au Grand-Jury RTL/Le Monde (24 II 08)

L’immigration « choisie », c’est l’immigration massive

Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN

Brice Hortefeux vient de montrer concrètement que la prétendue immigration « choisie » de Nicolas Sarkozy n’est rien d’autre que la promotion d’une immigration massive.

L’accord conclu avec le Sénégal ouvre les vannes en grand. Pas moins de 108 métiers sont ouverts à l’immigration sénégalaise, et il est précisé que cela recouvre aussi bien les emplois non qualifiés que les emplois qualifiés.

Les chômeurs français apprécieront de voir ainsi les emplois pris par des immigrés peu regardants sur les salaires et les conditions de travail.

Brice Hortefeux a souligné que le Sénégal devient ainsi le premier pays non européen bénéficiaire d’une ouverture du marché du travail français sur une telle échelle.

D’autres suivront.

C’est la destruction de l’identité française qui est programmée.

http://www.frontnational.com/communique_detail.php?id=1608

Présentation du programme de Wallerand de Saint-Just pour les élections municipales de Soissons


Liste "SOISSONS D'ABORD"


Comment faire votre choix parmi les listes présentées à ces élections municipales ?

► Examinez d’abord le bilan de chacun :

- Celui de la « droite », de l’UMP et de ses représentants : en premier lieu Edith Errasti, en second lieu Elie Fenianos. Le symbole de l’échec de cette « droite », c’est la baisse démographique. Soissons ne compte plus que 28 500 habitants et ne cesse d’en perdre depuis 20 ans !! Cette perte de substance est très grave. Elle est évidemment le résultat d’une mauvaise politique car cette ville possède de grands atouts.

- Celui de la « gauche », du parti socialiste et des ses alliés. Le symbole de l’échec de cette « gauche », c’est le quartier de Chevreux. Avoir construit ainsi il y a 20 ans ce quartier fut proprement criminel et ils recommenceraient s’ils étaient élus. D’ailleurs, ce qui a été construit à Saint Waast, à Saint Crépin, à Presles est tout aussi désastreux. Mais Chevreux dépasse tout. On a plongé les familles dans un climat insupportable. Maintenant il faut que le contribuable dépense 55 millions d’euros pour réhabiliter ce quartier. J’avais proposé que l’on fasse payer cette somme aux responsables politiques et aux architectes de l’époque. C’est évidemment impossible, mais cela vous donne la mesure de l’incapacité de ces politiciens.

- Et le mien de bilan ? Depuis 1995, je suis un conseiller municipal d’opposition sans concession, sans sectarisme, mais actif et sur tous les fronts. Vous savez aussi que quand vous m’avez demandé une intervention, j’ai toujours été disponible. Surtout, depuis douze ans, c’est grâce à moi si les maires successifs ont du faire preuve d’une certaine retenue notamment quant aux impôts. Oh, ce n’était l’envie qui leur manquait de vous pressurer, mais, j’étais là et ils ont du en rabattre.

Cliquez ici pour lire la suite.

Pour consulter la liste SOISSONS D'ABORD, cliquez ici.

Programme de Wallerand de Saint-Just, candidat aux élections cantonales à Soissons

Je suis candidat dans le canton de Soissons Sud, d’abord pour dénoncer le bilan ou plutôt l’absence de bilan de Pascal TORDEUX, ensuite pour mettre en œuvre les mesures suivantes :

- Redistribuer à nos compatriotes les aides sociales gaspillées au profit de l’immigration,

- Protéger les personnes âgées et les handicapés dont le pouvoir d’achat ne cesse de baisser,

- Faire de la lutte contre l’insécurité une priorité, notamment dans les collèges,

- Baisser les impôts locaux qui ont excessivement augmenté au conseil général de l’Aisne et mettre fin aux gaspillages publics,

- Assurer le développement économique du canton en attirant les entreprises et en protégeant les commerçants des quartiers et des villages,

- Défendre les services publics de proximité pour garantir une véritable égalité entre les citoyens,

- En partenariat avec l’Etat, les collectivités et les professionnels de santé, revoir l’ensemble de la répartition de l’offre de soin (médecine de ville, pharmacies…),

- Etablir un programme cohérent de modernisation des routes départementales et participation très énergique à la mise à deux fois deux voies de la RN2,

- Mettre en œuvre un véritable projet intercommunal afin d’éviter les doublons et l’augmentation inutile de la pression fiscale locale,

- Préserver le cadre naturel et le caractère de notre canton tout en développant un véritable projet touristique,

- Consulter la population par des référendums locaux.

Je suis âgé de 57 ans et père de 4 enfants et avocat de profession. je suis Conseiller municipal de Soissons depuis 1995 et j’ai été Conseiller régional de Picardie pendant deux mandatures. Ma suppléante est Florence Moinet, 35 ans, mariée, restauratrice.

Pour voir les dates des réunions publiques de Wallerand de Saint-Just (candidat à Soissons Sud) et Michèle Dall'Arra (candidate à Soissons Nord), cliquez ici.

lundi 25 février 2008

Elections cantonales des 9 et 16 mars 2008

Communiqué de Franck BRIFFAUT

Candidat du FRONT NATIONAL

49 ans – 2 enfants, conducteur de travaux dans le Génie militaire, Conseiller municipal de Villers-Cotterêts depuis 1995, Conseiller régional de Picardie depuis 1998

Suppléante : Madame Annette DELAITRE, 55 ans - mariée - 2 enfants, domiciliée à Vivières

Implanté à Villers-Cotterêts depuis 1988, c’est la quatrième foi que je me présente aux élections cantonales et ma démarche s’inscrit dans la continuité de ma candidature aux élections municipales de Villers-Cotterêts.

A ce titre, la baisse de la pression fiscale locale constituera un de mes objectifs prioritaires car le poids des prélèvements obligatoires a atteint les limites du supportable pour une grande partie des habitants du canton et de l’ensemble du département de l’Aisne.

Ces derniers doivent en effet financer les communes,

le département, la région, et comme si cela ne suffisait pas,

la communauté de commune dont l’efficacité reste à prouver

à moins que ce ne soit celle de son président par ailleurs

Conseiller général sortant.

Dans le canton comme sur tout le territoire de notre département, les problèmes d’insécurité demeurent, y compris dans les collèges et aussi de plus en plus en milieu rural. Dans ce domaine comme dans bien d’autre, mes adversaires de gauche et d’ailleurs croient trop souvent qu’il suffit de casser le thermomètre pour faire baisser la fièvre.

Je réclamerai pour le département de l’Aisne la mise en œuvre d’une véritable politique familiale locale en favorisant les investissements consacrés aux logements, à la petite enfance ainsi qu’aux personnes âgées.

La mise en valeur du canton sur le plan touristique et économique passe par l’amélioration des voies de communications entre Villers-Cotterêts et toutes les communes, sans oublier la RN 2 pour laquelle le département de l’Aisne est dorénavant au moins aussi compétent que la région Picardie, même si certain ne l’on pas encore compris…

Dans tous les cas, un conseiller général supplémentaire issu des rangs de la gauche ou de la droite courbe n’apportera rien de plus, alors qu’un représentant du Front national qui osera dire ce qu’il pense et faire ce qu’il dit sera bien plus utile.

Franck Briffaut

Pour lire le tract de campagne de Franck Briffaut cliquez ici.

Manifestation le 2 mars contre la sécession du Kosovo