dimanche 23 mars 2008

Le coût de l’immigration

Cliquer sur l’image pour vous rendre chez Contribuables associés et télécharger le rapport.

La France compte 6.868.000 immigrés, soit 11% de la population métropolitaine.
L’immigration réduit des deux tiers la croissance du PIB.
Le coût annuel de l’immigration en France est de 71,76 milliards d’euros.
Les recettes annuelles liées à l’immigration en France sont de 45,57 milliards d’euros.
Le déficit annuel dû à l’immigration et supporté par les contribuables est de 26,19 milliards d’euros.
Lorsqu’une personne immigrée ne repart pas dans son pays d’origine à la fin de son contrat de travail, c’est l’Etat (le contribuable) qui prend en charge le coût des prestations sociales.
Les immigrés extra-européens et leurs descendants perçoivent 22% des prestations sociales.
Le coût unitaire des demandes d’asile est de 15.000 euros.
La plupart des dépenses d’immigration ne relèvent pas du ministère de l’Immigration de Brice Hortefeux.
Les dépenses sécuritaires liées à l’immigration s’élèvent annuellement à 5,2 milliards d’euros.
Le travail au noir concerne au minimum 500.000 personnes immigrées et représentent un manque à gagner pour l’Etat de 3,810 milliards d’euros par an.
65 à 90% des prostituées sont étrangères.
Le taux de chômage des immigrés est le double de celui des non immigrés.
Les prestations sociales constituent 14% du revenu moyen des ménages immigrés contre 5% pour les ménages non immigrés.

samedi 22 mars 2008

Istanbul ?


Non. Strasbourg, bientôt. Lire ici.

jeudi 20 mars 2008

L'insécurité au coeur de Soissons

Vendredi 14 mars, un débit de tabac de la rue saint Martin a été dévalisé et les malfaiteurs ont volé pour 35.000 euros de marchandises (et nous ne l’apprenons qu’après le deuxième tour de dimanche dernier …)

De même, ces derniers jours, un bar-pmu situé prés de la gare a été attaqué par deux braqueurs armés d’un pistolet et d’un couteau. Ils ont exigé la caisse et menacé d’égorger une femme. Une centaine de téléphones mobiles a été subtilisée chez France-télécom, boulevard Gambetta.

L’INSECURITE AU CŒUR DE LA VILLE

Que fera Patrick DAY, nouveau maire de Soissons, qui n’est pas du tout favorable à la police municipale ? F. ALLIOT « au nom de la liberté » est, lui, contre le projet de vidéo surveillance. Edith ERRASTI a traité ces 2 dossiers, certes, mais avec mollesse et lenteur. 7 policiers municipaux… c’est peu, trop peu. Quant à la vidéo surveillance, elle n’en était qu’au stade de la promesse électorale.

Tout cela, pendant qu’à Soissons la délinquance augmente.

L’insécurité devient le problème n°1 des commerçants et de leurs clients, clients que nous sommes tous.

Le FRONT NATIONAL a toujours, lui, par l’intermédiaire de Wallerand de Saint-Just, dit la vérité et il aurait agit !!

Rejoignez-nous.

Michèle DALL ARA

Pour adhérer, cliquez ici.

mercredi 19 mars 2008

Les Familles françaises d'abord !

La nouvelle campagne du Front national de l'Aisne :


Cliquez sur l'image pour agrandir le tract.

Pour défendre vos droits, adhérez en cliquant ici.

La vaine inflation des ministres et des intitulés

Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN

Le « gouvernement resserré » qu’avait promis Nicolas Sarkozy est de plus en plus dilaté. Avec la nomination de six nouveaux secrétaires d’Etat, il comprend désormais 38 membres.

Sans doute est-ce pour brouiller la perception de cette inflation que les nominations s’accompagnent d’un savant jeu de chaises musicales et d’une valse des attributions, lesquelles sont également victimes de l’inflation, avec sept nouveaux intitulés.

On aimerait se réjouir de voir la famille faire enfin son apparition dans l’organigramme gouvernemental. Mais confier le poste à Nadine Morano relève de la provocation. Cette personne, qui vient d’être sévèrement rejetée par les électeurs de Toul, n’est pas connue pour défendre la famille, mais pour militer en faveur du mariage homosexuel, de l’adoption par les couples homosexuels, de la procréation assistée pour les homosexuels, et de l’euthanasie.

Sans doute échappe-t-on à une nouvelle ouverture à la gauche socialiste. Mais c’est une piètre consolation.

Et en définitive ce très modeste remaniement ministériel, sans rapport avec l’ampleur de la crise, est sans importance : ce qui reste de politique française autonome ne se décide pas au gouvernement mais à l’Elysée.

mardi 18 mars 2008

Il y a trente ans, François Duprat, résistant nationaliste, était lâchement assassiné



Mardi 18 mars, ce jour, à 12 h 30, Jean-Marie Le Pen et une délégation du Front national seront au cimetière Montmartre pour rendre hommage à François Duprat, historien et membre du Bureau politique du FN assassiné en 1978.

Le 18 mars 1978, sur la départementale menant à Caudèbec-en-Caux (Seine-Maritime), une explosion retentit et pulvérise la voiture de François Duprat. Il se rendait au collège où il enseignait l'histoire quand une bombe télécommandée, placée sous le siège du conducteur, explosa. Sa femme, Janine, assise à ses côtés, grièvement blessée, échappera miraculeusement à la mort mais est restée lourdement handicapée.

Cet attentat sera immédiatement revendiqué par deux groupes terroristes inconnus des services de police, le « commando du souvenir habiroux » et le « groupe habiroux révolutionnaire ». Revendications qui furent rapidement jugées fantaisistes par les enquêteurs. Trente ans après sa mort, la vérité sur les commanditaires de cet assassinat n'est jamais sortie du puits et toutes sortes d'hypothèses, souvent contradictoires, ont été avancées: une piste proche-orientale du fait notamment de liens tissés par Duprat avec le parti Baas syrien, une piste barbouzarde puisque le frontiste s'apprêtait à publier un livre contenant des révélations fracassantes sur le financement des partis politiques de droite, intitulé Argent et politique. Cet ouvrage n'est finalement jamais paru. D'autres y ont vu la main de l'extrême gauche ...

Né à Ajaccio le 26 octobre 1940, Duprat entra en politique à l'âge de 16 ans. Secrétaire de Maurice Bardèche, - il dirigera sa revue. Défense de l'Occident -, documentaliste de Roland Gaucher pour son ouvrage L'Opposition en URSS 1917-1967, il militera à Jeune Nation en 1958, créera une section GAS à Toulouse -- ce qui lui vaudra quelques mois d'emprisonnement - rejoindra par la suite les rangs d'Occident puis d'Ordre nouveau avant d'adhérer au FN à sa création en 1972 où il anime la tendance national-révolutionnaire avec Alain Renault.

Diplômé d'études supérieures en histoire, grand spécialiste des mouvements nationalistes français et étrangers, historien anticonformiste doué d'une puissante capacité de travail, Jean-Marie Le Pen garde le souvenir d'un Duprat « hirsute, brillant et myope ».

Assassinat jamais élucidé

Le président du FN souligne aussi que la mort de ce dernier est intervenue en pleine campagne des législatives, à une période de grande violence politique - l'appartement du Président du FN, villa Poirier à Paris, avait été soufflé par une bombe deux ans auparavant, là aussi les auteurs n’ont jamais été retrouvés. « Quelques jours avant l'attentat contre Duprat, je m'étais vu interdire de meeting à Assas par des militants du PFN qui arboraient dans le hall de la faculté une effigie de Duprat pendu à un gibet » se souvient-il encore. « La mort de François Duprat fut un choc pour les militants du FN, d'autant que le bilan de cet attentat aurait pu être beaucoup plus lourd puisque François et Janine devaient prendre dans leur voiture ce jour-là une voisine et sa petite fille qui, coup du destin, ne montèrent finalement pas dans le véhicule parce qu'elles n'étaient pas prêtes » ...

« Pourquoi et par qui a-t-il été exécuté ? Peut-être le saura-t-on un jour, il y a maintenant prescription ... Le sacrifice de François Duprat, victime du terrorisme, mérite de ne pas être oublié, il y a aussi une exigence de justice et de vérité » souligne Jean-Marie Le Pen. Le Président du Front national sera aux côtés des militants et dirigeants parisiens de son Mouvement le mardi 18 mars à 12 h 30 au cimetière Montmartre où il prononcera une allocution au pied de l'ultime demeure de l'historien frontiste, qui repose dans le même carré que le grand cinéaste et ex-député FN Claude Autant-Lara.


Serge OMARA

National Hebdo du 13 au 19 mars 2008


Les résultats des cantonales pour le FN dans l'Aisne en images


Fichier pdf

La réaction de Jean-Marie Le Pen aux élections cantonales et municipales

Jean-Marie Le Pen dans les coulisses de TF1 :



La réaction de Jean-Marie Le Pen en direct sur TF1 :

Un « pôle » présidentiel de propagande

Communiqué de Jean-Marie Le Pen

Face à sa défaite aux élections municipales et cantonales, que fait Nicolas Sarkozy ?

Il limoge son porte-parole David Martinon et le remplace par un « pôle politique » de propagande, composé de cinq personnes, chargé d’« expliquer les réformes ».

Le président de la République croit donc que c’est par la magie du verbe qu’il pourra reconquérir les électeurs déçus.

Mais les mots ne remplaceront pas les réformes qui n’existent pas.

Multiplier les caisses de résonnance des effets d’annonce n’aboutira qu’à montrer davantage que ceux-ci ne sont pas suivis d’effet.

Les Français n’attendent pas des mots, ils attendent une politique concrète, et cette politique ne peut être que celle de la défense de la nation face au mondialisme, à l’européisme, aux torrents migratoires.

lundi 17 mars 2008

Le peuple tibétain a le droit à la liberté

Communiqué de presse du Front National.

Les Jeux Olympiques qui symbolisent la paix et la liberté seront organisés dans quelques mois dans l’une des dernières dictatures communistes de la planète qui depuis plusieurs jours rétablit dans le sang l’ordre rouge au Tibet. Pays occupé depuis 1950 par l’armée chinoise et annexé par la Chine communiste, le Tibet paye au prix fort sa soif de liberté. Le Front National dénonce cette politique de la violence menée par le régime communiste à l’encontre du peuple tibétain qui a déjà fait plusieurs dizaines de morts et condamne la lâcheté des autorités françaises qui pour des raisons mercantiles, ferment les yeux sur ces violations des droits de l’homme. Le peuple tibétain qui n’est chinois ni par la langue ni par la culture ni par la spiritualité a droit au respect de son identité nationale millénaire et de sa liberté.

Le premier sang

A l'heure où la France honore le dernier de nos "poilus" en un hommage posthume (voir ici), qui se souvient encore du tout premier Français tué à l'ennemi de la première guerre mondiale ?

Le samedi 1er août 1914, à 16 heures était décrétée la mobilisation générale. Afin de prévenir tout conflit qui aurait pu servir de prétexte à l’Allemagne pour déclarer la guerre l’ordre avait été donné à nos troupes de rester à dix kilomètres en arrière de la frontière.

Le dimanche 2 août, le caporal Jules-André Peugeot, avec quatre hommes, se trouvait à Joncherey, petit village à une vingtaine de kilomètres de Belfort. Vers dix heures du matin, en patrouille, il aperçut des cavaliers allemands entre deux champs de blé.

La guerre n’étant pas déclarée, le caporal Peugeot s’avance pour lui signifier la violation de la frontière. Mais, l’Allemand, le lieutenant Mayer du Vème chasseur à cheval en garnison à Mulhouse, saisit son revolver et tire à trois reprises sur le caporal français. Un des balles devait atteindre notre soldat, qui, malgrè tout, ajuste quand même son fusil et abat l’agresseur allemand.

Jules-André Peugeot, fait encore quelques pas et s’effondre à son tour sans une parole. Il fut porté à l’ordre de son régiment « pour avoir arrêté et dispersé la première patrouille allemande qui violait le territoire français. »

Jules-André Peugeot était originaire du Doubs, il était né à Etupes le 11 juin 1893. Sa mère était l’institutrice du village, lui-même avait embrassé cette carrière.

Il fut inhumé le 4 août à 14 heures ; au même moment, le Président du Conseil, Monsieur Viviani, se trouvait à la chambre des députés pour annoncer que l’ambassadeur d’Allemagne lui avait remis, la veille, la déclaration de guerre de son gouvernement.

Un monument au mort fut érigé à l’endroit même où le caporal Peugeot tomba ; celui-ci devait être détruit par les Allemands en 1940 et reconstruit en 1959.

Honneur à lui.

(source : L’Album de la guerre 1914/1919 de L’illustration -1922-.)