dimanche 31 mai 2009

Vendredi soir à Fourmies, à 5km au nord d'Hirson, nous étions, militants de l'Aisne, venus soutenir Marine invitée à un débat organisé par la "Maison de l'Europe". Une poignée de communistes a tenté de perturber la réunion et insultait Marine. Notre détermination, notre vigueur et les décibels de notre Marseillaise les ont fait fuir honteusement. Qui s'y frotte, s'y pique. A noter, en outre, l'attitude inadmissible du journaliste de la "Voix du Nord" prenant fait et cause pour les bolchéviques et nous invectivant. Mais, lui aussi, a du partir... Enfin, l'Union de Reims a été contrainte de briser le boycott institué par J. Tillier et de rendre compte de cette réunion. Merci pour cela aux communistes de Fourmies et honneur aux militants axonais.

Wallerand de SAINT JUST

Voici une relation plus détaillée et, surtout, une réponse aux mensonges journalistiques.

Ce matin, La Voix du Nord, dans son édition régionale, indique que Marine Le Pen s’est invitée au débat consacré aux élections européennes organisé à Fourmies. Cette information est totalement fausse, Marine Le Pen ayant été officiellement invitée par la Maison de l’Europe par courriel à deux reprises et depuis de nombreuses semaines. Aussitôt arrivée sur place, Marine Le Pen a été prise à partie par des militants communistes et d’extrême gauche qui l’ont insultée. Au cours du débat, ces mêmes militants ont tenté de l’empêcher de s’exprimer. Les militants du FN, toujours pacifiques, ont alors répliqué en chantant la Marseillaise. Une très grande majorité de la salle a condamné, sans la moindre équivoque, le comportement scandaleux de ces provocateurs communistes ce qui les a obligé à quitter la salle de manière déshonorante. Dès lors, Marine Le Pen a pu débattre durant plus de deux heures et demi dans le calme et l’échange avec la salle, ce que s’abstient bien de préciser La Voix du Nord tout comme elle s’abstient dans ce même article où elle donne la parole à la directrice de l’écomusée de préciser que cette dernière n’est autre qu’une conseillère régionale socialiste. Enfin, La Voix du Nord ne prend pas la peine de s’interroger sur le comportement de son journaliste qui s’est revendiqué lui même comme un homme de gauche et n’a pas caché sa haine du FN devant des dizaines de témoins. Un simple débat, certes vif mais démocratique, s’est engagé lorsque le journaliste a pris en gros plan des militants du FN en photo en les provoquant et sans leur demander leur autorisation conformément aux règles légales. A la demande d’un responsable du FN qui lui intimait de cesser de prendre des photos de lui en gros plan, le journaliste lui a répondu : « je t’emmerde ». Ce comportement agressif et ouvertement partisan est en totale contradiction avec les règles déontologiques qui régissent la profession. Non seulement, les militants du FN ne l’ont pas agressé physiquement mais il a fallu qu’un confrère retienne le journaliste de La Voix du Nord de ne pas frapper un responsable du FN. Là encore, des dizaines de témoins (et certains extérieurs au FN) confirmeront puisque nous portons plainte. Le journaliste en question n’a d’ailleurs pas assisté à la suite du débat puisqu’il est resté une heure au milieu du groupe des militants communistes qui avaient quitté la salle pour se regrouper à l’extérieur de l’écomusée. Dès vendredi soir, Marine Le Pen a tenté de joindre la réaction régionale de La Voix du Nord pour s’étonner du comportement de leur journaliste. Non seulement, la rédaction régionale n’a pas jugé utile de la rappeler mais a écrit un article diffamant le FN sur le simple témoignage du journaliste mis en cause. L’enquête nous donnera raison. Cela n’est pas sans rappeler l’affaire de l’agression de Marine Le Pen où, là encore, la parole des militants du FN avait été mise en doute. Une partie des journalistes régionaux s’était alors fait manipuler par Me Dupont-Moretti qui voyait là un formidable coup de pub. Un an après, l’enquête confirmait l’existence d’une arme à feu et le procureur réclamait alors un an de prison à l’égard de l’agresseur de Marine Le Pen. Me Dupont-Moretti avait, lui, disparu.


jeudi 28 mai 2009

Goodyear à Amiens : c’était reculer pour mieux sauter !

Communiqué de presse de Marine LE PEN et Michel GUINIOT

L’annonce faite aujourd‘hui par le groupe américain confirme et amplifie malheureusement ce que la direction de la multinationale avait tenté de mettre en place il y a un an, en mai 2008. Le plan social qui prévoyait à cette époque environ 400 licenciements, avait été annulé en novembre dernier par le tribunal de Nanterre, puis finalement autorisé par la cour d’appel de Versailles. Aujourd’hui, ce sont donc 820 salariés, sur 1.400, du site d’Amiens Nord qui sont concernés par la procédure de licenciement. La multinationale qui prévoit 5.000 suppressions d’emplois dans le monde en 2009, évoque « des coûts non compétitifs de l’usine ». Au-delà de cette énième nouvelle catastrophique pour l’emploi en Picardie, on peut s’interroger sur la responsabilité de la CGT, majoritaire, qui avait refusé une réorganisation du travail en 4 équipes au lieu de 5, fournissant ainsi un prétexte à la direction pour une réduction de la production de ce site, qui a contraint les salariés au chômage partiel une semaine par mois depuis 6 mois. Les Picards, touchés par ce nouveau drame social, doivent se défendre contre ceux qui sont responsables de la perte de leur emploi en votant le 7 juin prochain pour ceux qui veulent protéger l’emploi des Français d’abord !

mercredi 27 mai 2009

CARAVANE DES PLAGES LE 24 MAI : DETENTE AVEC NICOLAS BAY (l'organisateur) DIDIER PETITJEAN, WALLERAND de SAINT JUST

BOITAGE A ITANCOURT LE 23 MAI

SUR LE MARCHE DE CHAUNY VENDREDI 22 MAI