

Source Reconquête n°241 (octobre 2007)
Rachida Dati (Sipa)
Rachida Dati, ministre de la justice, a été reçue à l’Ecole de la Magistrature en présentant un dossier falsifié, peut-on lire cette semaine dans le magazine L’Express. Un scoop retentissant, puisque, comme l’expliquent nos confrères, une "rumeur" courrait Paris depuis cet été: "la Garde des Sceaux aurait usurpé ses diplômes. L’affaire est devenue tellement sensible que le ministère de l’Intérieur a fini par s’en émouvoir". Quelques lignes plus loin, arrive la réponse de l’Express : "Son dossier (pour intégrer l’école de la magistrature, ndlr) fait état de deux maîtrises, de cours suivis à l’Isa et -curieusement- de l’obtention d’un 'MBA européen du groupe HEC-ISA'", détaille l’hebdomadaire. "Or, rappelons-le, selon la grande école, elle n’a jamais obtenu le diplôme…".
On va donc résumer : la garde des Sceaux a certainement été choisie à ce poste, pour avoir été magistrate. Or, elle a intégré l’ENM sur la base d’un dossier dont un des principaux éléments se révèle faux. Comme dirait la ministre, elle-même: "Quand on veut, on peut".Lors d’une lecture publique à New york, l’auteur a levé le secret sur la sexualité d’un magicien de la saga.
Les associations Gay au Royaume-Uni se sont évidemment immédiatement réjouies de cette grande et passionante nouvelle, mais estiment nénamoins que l’auteur aurait du “explicitement évoquer cette sexualité dans les livres” (avec des images techniques peut-être en plus?).
La rumeur circulait depuis des années parmi les fans, mais aucune preuve tangible n’avait jusqu’à présent été apportée. C’est au cours d’une lecture publique du dernier tome d’Harry Potter à New York que l’auteur J.K. Rowling a révélé l’homosexualité du personnage de Albus Dumbledore. “Oui, Dumbledore est Gay”, a-t-elle répondu à l’un de ses fans.
Cette pathétique soumission à l’air du temps ne serait que risible si “l’oeuvre” de l’écrivain industriel JK Rowling ne touchait pas des millions de jeunes adolescents qui, une fois encore, se voient confrontés à la promotion de l’homosexualité et à la disparition des frontières entre normalité et déviance.
Outre la médiocrité littéraire de cette “saga”, voilà en tout cas une nouvelle raison de boycotter l’insupportable Harry Potter et sa créatrice milliardaire.
SOURCE : http://fr.novopress.info
Ces chiffres sont ceux qu’Eric Zemmour a cité dans son droit de réponse, publié dans « Le Monde », à Dominique Sopo, le président de SOS racisme, qui l’avait traité de “réactionnaire” (le nouveau mot à la mode remplaçant « raciste ») suite à ses délcaratiosn favorables aux fameux « tests adn ».
Zemmour cite donc des chiffres du ministère des affaires étrangères, et d’autres ministères :
30 à 80% des actes civils en Afrique sont frauduleux.
30 % des mariages de l’état civil français sont entre un Français et un étranger, dont 50 % célébrés à l’étranger.
Le nombre de mariages de « français » au Maghreb et en Turquie a augmenté de 731 % en dix ans.
On peut citer en conclusion un paragraphe d’ Eric Zemmour : l’antiracisme fut le rideau de fumée qui occulta la soumission socialiste aux forces libérales. Les antiracistes ont avec la finance un point commun essentiel : le refus des frontières. Avec les progressistes de tout poil, ils ont détruit les derniers obstacles à la toute puissance du marché : famille traditionnelle, Nation, Etat. Les premiers servent les intérêts de la seconde. Idiots utiles du capitalisme.
A méditer.
SOURCE : http://fr.novopress.info
Marc Laffineur, vice-président de l’Assemblée nationale, a présenté hier la création du « groupe des Européens ». Ce groupe constitué de 61 députés UMP a « vocation à être le fer de lance de la politique européenne du président de la République » et à « expliquer le nouveau traité »... Bernard Deflesselles, autre vice-président de l’Assemblée, souligne qu’il faut que la France soit le premier pays à ratifier le traité européen, par un Congrès à Versailles, avant le 9 février 2008, date de la suspension des travaux à l’Assemblée nationale pour la campagne des municipales.
Le président de la commission des Affaires étrangères, Axel Poniatowski, fait également partie de ce groupe, qui est donc un lobby parlementaire officiel chargé de faire en sorte que le traité soit ratifié le plus vite possible selon le vœu du président de la République.
SOURCE : http://yvesdaoudal.hautetfort.com
La notion de financement par la Commission est ambiguë, tout comme le slogan « l’Europe s’engage en France ». Il faut en effet rappeler que ces subventions ne représentent qu’une partie des impôts versés à l’Europe par les contribuables français. Les nations européennes ont perdu beaucoup de leurs compétences et toute réduction complémentaire de celles-ci est à proscrire.
La région, en devenant organisme intermédiaire pour les fonds répartis par la Commission de Bruxelles s’inscrit dans ce contexte de destruction des Etats-nations, et du renforcement de la bureaucratie mondialiste de la Commission !
Or c’est bien ce risque qui détermine la position du groupe FN, à savoir contre votre proposition. Bien sur, si les gouvernements français avaient respecté le NON massif exprimé par les Français le 29 mai 2005, leur refus de l’euro-mondialisme, leur attachement à l’Etat Nation, notre position aurait pu être différente. Rassurés sur le respect de la souveraineté de la France , nous aurions pu avancer plus hardiment vers des compétences régionales élargies. Malheureusement que ce soit sur l’entrée de la Turquie ou sur le nouveau traité, le gouvernement de Sarkozy se prépare à trahir une fois de plus, la volonté du peuple français et même à trahir ses promesses. […] Aujourd’hui est un jour de deuil ! Le sommet de Lisbonne atteste que l’on peut être en République sans être en démocratie et que les manipulations des lois électorales permettent d’aller contre la volonté du peuple.
Deux ans et demi après le rejet de la Constitution européenne par les Français et les Néerlandais, le Conseil européen a adopté le 19 octobre à Lisbonne le Traité simplifié et modificatif, bien mal nommé, car il a été complexifié et ne modifie la Constitution rejetée qu'à la marge.
Bref, on veut nous faire prendre des vessies pour des lanternes et nous convaincre que ce texte n'a rien à voir avec le précédent pour éviter d'affronter les peuples européens par referendum.
La chose est trop sérieuse, semblez-vous dire, pour être confiée aux peuples. Et bien, nous pensons exactement le contraire. Dans la mesure où ce texte est un copié-collé de la Constitution européenne, il mérite que chaque pays organise un referendum de ratification, à commencer par la France et la Hollande. Seul un referendum peut annuler ce qu'un autre à décidé !
Je lance dès ce jour, sans esprit partisan, une grande pétition dans mon propre pays pour que le Président de la République française, initiateur du mini-traité européen, revienne sur sa position en proposant un referendum.
Il y va, en effet, de l'avenir de nos Nations respectives, de leur souveraineté, de leur indépendance, de leur identité et de leurs libertés.
Nous ne pouvons confier, par exemple, à un Haut Représentant le soin de nous représenter à l'étranger pas plus que nous ne pouvons voir remettre en cause notre siège au Conseil de Sécurité des Nations-Unies au nom de la personnalité juridique de l'Union ou encore laisser notre corpus juridique et législatif démantelé par les juges de Luxembourg.
Les complices d'un tel déni de démocratie porteraient une lourde responsabilité devant l'Histoire.
Selon ce qui filtre dans la presse, la commission Balladur sur les institutions va proposer de remplacer le système des parrainages pour l’élection présidentielle par un vote des élus locaux, et de faire élire 30 députés à la proportionnelle.
Un vote des élus locaux « serait contraire au principe de l’élection du président de la République au suffrage direct », réagit Jean-Marie Le Pen, interrogé par l’AFP. Un tel vote aurait une dimension politique, dépassant la simple vérification du sérieux de la candidature telle qu’elle a été définie par le législateur.
D’autre part, Jean-Marie Le Pen juge « dérisoire » la proposition de permettre l’élection de 30 députés à la proportionnelle. « C’est une rigolade ! Cela n’aurait de sens qu’à partir de 100 députés... Ils devraient proposer que 5 députés seulement soient élus à la proportionnelle, comme ça ils seraient sûrs qu’ils seront UMP ou PS... »
La commission Balladur, a-t-il ajouté, « c’est une colline qui accouche d’un moustique ».
Yves Daoudal