Crimes Soviétiques : jugements Français
Communiqué de Presse de Bruno GOLLNISCH
La Cour d’Appel de Lyon vient de confirmer la condamnation prononcée à mon encontre par le Tribunal de Grande Instance.
J’aurais contesté le jugement de Nuremberg, notamment en affirmant que l’assassinat de milliers d’officiers polonais à Katyn était à mettre sur le compte des soviétiques, qui l’ont depuis reconnu, et non sur celui des Allemands. J’en déduis donc que, pour ne pas risquer de porter atteinte à l’autorité de Nuremberg, il faut continuer à prétendre que les Allemands sont responsables de ce crime.
Je serais également coupable d’avoir demandé que la discussion soit libre sur ces sujets, sur lesquels, selon la Cour, plus aucun débat ne saurait avoir lieu. Je suggère donc le licenciement de tous les historiens qui, sur fonds publics, travaillent encore sur ces questions qui n’en sont pas.
En matière de contestation de jugement, je suis cependant mieux traité que le célèbre écrivain Emile Zola qui fut condamné à un an de prison ferme, pour avoir contesté la condamnation du capitaine Dreyfus. Et j’ai un motif d’espoir: l’histoire a donné raison à Emile Zola, dont beaucoup de rues de France portent le nom, plutôt qu’à ses juges tombés dans l’oubli.
Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN
Bruno Gollnisch est lourdement condamné en appel pour «contestation de crimes contre l’humanité» alors qu’il avait explicitement reconnu la Shoah comme un crime contre l’humanité.
Cette condamnation s’inscrit dans la longue liste de ces verdicts où la justice prétend débusquer des non-dits coupables dans des propos qui ne le sont en aucune manière.
Il ne s’agit pas de justice, mais d’une persécution permanente contre ceux qui déplaisent à Big Brother. Ces jugements mettent la France au rang des Etats totalitaires.
«Malheur à la génération dont les juges méritent d'être jugés», dit le Midrash Rabba.