samedi 29 mars 2008
Pendant ce temps certains ne conprennent rien...
Source .
“Là est le secret de la différence profonde, bien plus profonde encore qu’on ne croit, entre Etats chrétiens et Etats musulmans. L’Islam apporte non seulement une religion, mais un droit, une politique, dont on chercherait vainement l’équivalent dans l’Evangile. Encore cette façon de parler est-elle inexacte : droits, coutumes, usages mêmes, tout est indiscernable de la religion. Impossible de toucher à quoi que ce soit sans rencontrer, sans risquer d’offenser le dogme. Et comme droit, politique, usages, sont rudimentaires, constitués pour une société peu évoluée, c’est une tâche surhumaine d’adapter une société musulmane à la vie moderne. Ici la religion ne se laisse pas réduire à la portion congrue. Il est vain de chercher à la mettre à sa place, car sa place est partout ou nulle part.”
Ferdinand Lot, La Fin du monde antique et le début du Moyen Âge, Ed . Albin Michel, coll. «L’Evolution de l’humanité», 1927, p.64.“La religion musulmane ne peut exister que comme religion officielle; quand on le réduira à l’état de religion libre et individuelle, il périra. L’islamisme n’est pas seulement une religion d’État, comme l’a été le catholicisme en France, sous Louis XIV, comme il l’est encore en Espagne, c’est la religion excluant l’État… Là est la guerre éternelle, la guerre qui ne cessera que quand le dernier fils d’Ismaël sera mort de misère ou aura été relégué par la terreur au fond du désert. L’Islam est la plus complète négation de l’Europe ; l’Islam est le fanatisme, comme l’Espagne du temps de Philippe II et l’Italie du temps de Pie V l’ont à peine connu ; L’Islam est le dédain de la science, la suppression de la société civile; c’est l’épouvantable simplicité de l’esprit sémitique, rétrécissant le cerveau humain, le fermant à toute idée délicate, à tout sentiment fin, à tout recherche rationnelle, pour le mettre en face d’une éternelle tautologie : Dieu est Dieu…”
Ernest Renan, discours au Collège de France “De la part des peuples sémitiques dans l’Histoire de la civilisation”, en 1862.jeudi 27 mars 2008
FITNA de Geert Wilders (député néerlandais)
Chat avec Marine LE PEN sur lemonde.fr
Marine Le Pen a participé un "chat" avec les internautes sur lemonde.fr.
Cliquez ici pour lire l'intégralité de cette rencontre internet.
Une offense à la Nation
Nicolas Sarkozy annonce au Parlement britannique que la France va encore renforcer sa présence militaire en Afghanistan.
Le peuple français apprend cette nouvelle, qui concerne son armée, lors d’une visite du chef de l’Etat à l’étranger.
Il en est de même pour le Parlement français.
Cette désinvolture dans l’empressement à jouer les supplétifs des Anglo-américains est une offense à la Nation.
En outre, la France n’a rien à faire en Afghanistan. Nos soldats n’ont pas à risquer leur vie pour les manèges géopolitiques de l’Oncle Sam.
mercredi 26 mars 2008
Affaire Bruno Guigue
Affaire Bruno Guigue : un fonctionnaire a le droit de publier, en dehors de ses strictes fonctions, des analyses politiques. Beaucoup ne s’en privent pas, on songe aux magistrats animant le très gauchiste Syndicat de la magistrature ; la tolérance est alors très grande. Sauf si ce fonctionnaire critique la politique de l’état d’Israël. Alors, les dénonciations et les foudres ministérielles s’abattent sur lui en extrême urgence. Le Front National proteste contre la servilité et la brutalité de Mme Alliot Marie.
Le profit des banques contre les travailleurs
La fédération du Front national de l’Aisne soutient l’agriculteur désespéré de Montigny le Franc qui, jeudi dernier, a égorgé deux de ses animaux dans l’entrée de la banque qui venait de lui signifier la fin de tout concours. Ce geste, d’un homme normalement réfléchi, est un appel au secours devant les difficultés extrêmes de la profession d’éleveur et devant l’attitude brutale de banques qui ne raisonnent qu’en termes de profit. La fédération du Front national tient à manifester sa solidarité avec ce professionnel.
Wallerand de Saint-Just
Secrétaire départemental.
L’Union : 22 mars 20028.
Laon / Geste désespéré Il égorge ses chèvres sous les yeux des banquiers
Les chèvres et chevreaux survivants ont été confiés à la Société protectrice des animaux.
C'est un désespoir immense qui a conduit un homme à commettre un acte incroyable. Jeudi, il est environ 13 h 45 quand il s'arrête avec sa voiture près du Crédit Mutuel situé au 10 rue Eugène-Leduc à Laon (Aisne).Un à un, il descend les animaux, des chèvres et des chevreaux, et pénètre dans le local des distributeurs automatiques.
Une discussion s'engage avec le directeur de la banque qui lui refuse l'accès. Il faut dire que la personne est munie d'un couteau particulièrement impressionnant, un cran d'arrêt. Un témoin raconte qu'il était très énervé. « Il m'a dit « vous n'entrez pas, ça va saigner » », affirme-t-il.
Ce dernier explique qu'il aurait alors alerté la police, avant de tenter de calmer le forcené. Rapidement, celui-ci a néanmoins utilisé son couteau pour égorger une chèvre dans le sas entre l'agence proprement dite et le local des distributeurs automatiques.
Dans la foulée, il s'en est pris à un second animal, qui a été blessé. Il est ensuite reparti en laissant le petit cheptel dans une mare de sang.
Les témoins et les employés ont été très choqués. « Je débute, mais je ne sais pas si je vais continuer », témoignait à chaud une employée. Le directeur de l'agence, Philippe Godart, s'est lui refuser à tout commentaire.
Les pompiers sont intervenus, notamment pour nettoyer les lieux. Ils ont pris en charge les chèvres survivantes qu'ils ont conduites au refuge laonnois de la Société protectrice des animaux. Les chèvres blessées ont été amenées à un vétérinaire local, où l'une d'entre elles serait morte.
Pendant ce temps, la police a vite donné l'alerte, aux gendarmes notamment, sachant que l'éleveur était résidant de la commune de Montigny-le-Franc, dans le canton de Marle. Finalement, ce dernier s'est constitué prisonnier à la brigade de Marle où les policiers sont allés le chercher.
Entendu au commissariat, l'homme de 42 ans, très abattu, aurait expliqué aux fonctionnaires qu'il connaissait des ennuis financiers. Il se serait rendu le matin à la banque, mais n'aurait pu obtenir ce qu'il cherchait. En outre, des problèmes personnels seraient encore évoqués.
L'homme devait être laissé libre à l'issue de sa garde à vue. Il sera convoqué le 23 juin devant le tribunal de police pour destruction d'animaux. Il risque une amende. La réponse de la justice aurait pu être beaucoup plus ferme à son encontre. Mais plusieurs témoignages confirment le grand désarroi de ce producteur de fromage, âgé de 42 ans, engagé depuis quatre ans dans un élevage traditionnel. Il aurait, selon ses proches, été hospitalisé à Prémontré.
mardi 25 mars 2008
Grande-Bretagne : lignes de fracture islam/occident
Selon un rapport publié en Grande-Bretagne, Bradford, une petite ville du Yorkshire, est en passe de devenir la ligne de fracture entre islam et Occident. La ville a lentement glissé dans un vide politique où tout débat sur la cohésion sociale est muselé. Le rapport indique que la ville est devenue un pachwork de rivalités ethnico-féodales, et l’un des endroits clé de l’Europe concernant “la future co-existence des populations musulmanes et non-musulmanes, pour le meilleur ou pour le pire.”
Le rapporteur évoque “la fuite des populations blanches” du centre ville et la ségrégation de plus en plus marquée qui s’opère à Bradford. 20% de la population était musulmane en 2001, le chiffre passera à 28% en 2011, et les projections prévoient une proportion de 38% de musulmans en 2030.
“Au lieu de devenir une société multiculturelle, la ville est devenue bi-culturelle”, précise le rapport [Quel étonnement… ! ndlr]. En raison du désir de la communauté pakistanaise de créer des “colonies ethniques“, il n’y est plus question d’intégration mais “d’accommodement l’un à l’autre”. Bradford est également marquée par la popularité croissante des groupements islamistes radicaux violents. La conséquence de cette situation est le décollage électoral du BNP, British Nationalist Party, classé à l’ «extrême-droite». (source)
“Colonies ethniques” : remarquer comment tranquillement ces choses là sont dites, comment désormais il semble “aller de soi” d’évoquer la création sur le sol européen d’entités ethniques séparées… Plus que jamais l’immigration, et prioritairement celle en provenance des pays musulmans, doit être stoppée.
L’islam, première religion à Bruxelles dans vingt ans
Pour le président du Parti des Jeunes Musulmans : « C’est désormais à la Belgique de s’adapter ! »
« Il faut relativiser ces chiffres, insiste Mahfoud Romdhani, député socialiste et vice-président du Parlement francophone bruxellois. Les immigrés de pays musulmans ne sont pas tous musulmans ! Moi-même, je suis de culture musulmane, mais agnostique. » Olivier Servais se veut d’ailleurs prudent sur les projections à long terme, Bruxelles subissant des flux de population importants en tant que capitale de l’Union européenne.
Reste, constate La Libre Belgique, que « si leurs parents n’étaient guère pratiquants », pour faciliter l’intégration dans leur pays d’accueil, « les jeunes marquent un retour important vers le fait religieux ». Quelque 75 % des musulmans s’estiment aujourd’hui pratiquants. Auteur d’Infiltrée parmi les islamistes radicaux, la journaliste flamande Hind Fraihi va plus loin : « Les jeunes sont de plus en plus radicalisés, affirme-t-elle. Ils rejettent les valeurs occidentales, même leurs parents s’en inquiètent. À Bruxelles, il existe des îlots, comme Molenbeek, où l’on a parfois du mal à se croire en Belgique… »
Du bazar Tafoukte à la bijouterie Mohammed, les musiques du Maghreb envoûtent le passant. Encombrée de seaux en plastique multicolores, de chaussures de sport et de caftans chatoyants, la ruelle piétonnière du Prado conduit à la mairie de Molenbeek, le quartier marocain de Bruxelles. Presque toutes les femmes sont voilées et les commerçants parlent arabe. « On se sent mieux, ici, qu’en France ou en Espagne, assure Akim, gérant d’un magasin de vêtements. Peut-être parce qu’on est une grande communauté. C’est comme au pays ! »
« Gestes de respect »
Il y a quelques années, raconte Philippe Moureaux, le bourgmestre PS de Molenbeek, « des musulmans sont venus me trouver : ils voulaient que je sois le “président” de leur nouvelle mosquée… ». C’est dire si cet ancien ministre, pourtant agnostique, est bien vu par le « gros tiers » de musulmans parmi ses 83 000 administrés. Création d’un Conseil consultatif des mosquées doté d’allocations de la mairie, ouverture d’un abattoir municipal pendant la fête du sacrifice, présentation d’une liste électorale comprenant une majorité de musulmans… « Ce sont des gestes de respect qui m’ont valu la confiance de cette communauté, explique le bourgmestre. On a été très loin, certains disent trop loin. Mais pour moi, la seule solution, c’est l’ouverture. »
Selon Alain Escada, président de l’association Belgique et chrétienté, « on va d’abandon en abandon ». « De plus en plus de cantines introduisent des menus halal aux dépens des chrétiens, déplore-t-il. Les autorités ne font plus leur travail : les politiques, qui, avec une vision à court terme, sont prêts à tout pour séduire un nouvel électorat, mais aussi le clergé, qui met les musulmans et les chrétiens sur un pied d’égalité, alors que c’est loin d’être réciproque : voyez cet archevêque assassiné récemment en Irak ! »
Pour l’instant, « l’essentiel de l’islam belge est paisible et familial, souligne Olivier Servais, mais un jour il y aura peut-être une revendication claire d’islam. Je n’exclus pas des explosions sociales. » Des partis communautaristes, redoute-t-il, pourraient capitaliser sur le taux de chômage très élevé à Bruxelles (plus de 20 % de la population), qui frappe notamment la population musulmane.
Jean-François Bastin, un Belge de 65 ans coiffé d’un turban à carreaux et la barbe teinte au henné, s’appelle aujourd’hui Abdullah Abu Abdulaziz Bastin. Converti à l’islam, il a fondé en 2004 le Parti des jeunes musulmans. Abdullah ne serre pas la main des femmes. « C’est tromper Allah, lâche-t-il. C’est aussi tromper celle à qui l’on donne la main, en lui faisant croire que vous êtes égaux. Mais je vous fais un grand sourire ! » s’empresse-t-il d’ajouter.
« Instrumentalisation »
Lui-même clame que les sourires, que certains politiques font aux musulmans ne sont qu’une « instrumentalisation grossière : Il y en a assez de cette sorte de néocolonialisme, s’emporte-t-il. Ils prétendent qu’ils vont nous défendre, et ensuite ils interdisent le foulard à l’école ! ». Aux dernières élections municipales, le PJM, qui ne se présentait que dans deux quartiers de Bruxelles, a rassemblé moins de 5 000 voix. « Nous pourrions prendre appui sur cette étude pour exiger plus de mosquées visibles, des appels à la prière, des cimetières, des écoles, des maisons de retraite…, s’emballe le converti. Moi je dis aux musulmans : “Perdez cet esprit de colonisé ! Les colons se sont fait bouter hors d’Algérie, c’est peut-être ce qui se passera ici.” » Les immigrés, conclut-il, en ont assez fait, et « même trop » pour s’intégrer : « c’est désormais à la Belgique de s’adapter. »
Stéphane Kovacs
dimanche 23 mars 2008
Le coût de l’immigration
La France compte 6.868.000 immigrés, soit 11% de la population métropolitaine.
L’immigration réduit des deux tiers la croissance du PIB.
Le coût annuel de l’immigration en France est de 71,76 milliards d’euros.
Les recettes annuelles liées à l’immigration en France sont de 45,57 milliards d’euros.
Le déficit annuel dû à l’immigration et supporté par les contribuables est de 26,19 milliards d’euros.
Lorsqu’une personne immigrée ne repart pas dans son pays d’origine à la fin de son contrat de travail, c’est l’Etat (le contribuable) qui prend en charge le coût des prestations sociales.
Les immigrés extra-européens et leurs descendants perçoivent 22% des prestations sociales.
Le coût unitaire des demandes d’asile est de 15.000 euros.
La plupart des dépenses d’immigration ne relèvent pas du ministère de l’Immigration de Brice Hortefeux.
Les dépenses sécuritaires liées à l’immigration s’élèvent annuellement à 5,2 milliards d’euros.
Le travail au noir concerne au minimum 500.000 personnes immigrées et représentent un manque à gagner pour l’Etat de 3,810 milliards d’euros par an.
65 à 90% des prostituées sont étrangères.
Le taux de chômage des immigrés est le double de celui des non immigrés.
Les prestations sociales constituent 14% du revenu moyen des ménages immigrés contre 5% pour les ménages non immigrés.