(Cliquez sur l'image pour lire le texte.)
Nous rendons hommage à nos valeureux aïeux les "poilus" et à leur sacrifice pour la mère patrie en vous diffusant ce reportage de Daniel Costelle, tirè d'une ancienne cassette vhs.
Amiens, le 13 décembre 2007
BUDGET PRIMITIF 2008
Intervention de Nathalie FAUVERGUE
Au nom du groupe Front National
Le Pôle 1
Monsieur le Président, Monsieur le Président du CESR, mes chers collègues,
Nous constatons, sur le pôle 1, une forte augmentation qui profite essentiellement à l’action économique.
Je ferai juste un parallèle qui me semble en contradiction avec la réalité.
Vous allez injecter 8 millions d’euros pour aider les porteurs de projet picards, mais EADS, un exemple parmi tant d’autres, a décidé de délocaliser aux Etats-Unis la fabrication des Airbus à cause de la politique de l’euro fort que mènent vos amis à l’Europe. Vous tentez de compenser ce que d’autres, dans d’autres assemblées détruisent, mais apparemment vous n’y arrivez pas.
Comment allez-vous convaincre les futurs candidats à s’installer en Picardie, si les grandes entreprises montrent le mauvais exemple en désertant la Région ?
Nos entreprises, qui supportent un fiscalisme excessif, préfèreraient, sans doute, que vous baissiez les impôts directs au lieu de les augmenter.
En augmentant la taxe professionnelle, vous accélérez les délocalisations.
Vous voulez renforcer les SCOP qui bénéficient, je vous le rappelle, de certains avantages fiscaux sur les bénéfices et surtout l’exonération de la taxe professionnelle. Vous favorisez donc les uns et pas les autres.
Concernant les emplois secrets et solidaires, qui sont en constante augmentation, nous souhaiterions connaître les vraies retombées positives pour l’économie régionale.
Les 22 % d’augmentation du budget pour l’environnement consistent à doubler le personnel et non pas à augmenter les crédits bonifiés qui intéressent directement les Picards.
Vous nous parlez de l’agriculture biologique, du développement de la valeur ajoutée sur les exploitations agricoles, de l’amélioration de la qualité des productions agricoles, etc.… qu’il faut soutenir.
Oui d’accord, mais que faites-vous de la filière sucre en Picardie qui en terme d’emplois et d’exploitations agricoles représentent un énorme potentiel qui, à cause de la politique euromondialiste, va provoquer sa ruine et sa disparition.
Pour conclure, vous tentez d’agir, mais sans aucun résultat concret, et ceci depuis 2004.
Proclamation de la Charte des Droits Fondamentaux à Strasbourg : Et le droit au referendum ?!
La Charte des Droits fondamentaux, ancienne partie II de la défunte Constitution européenne, a été proclamée solennellement ce mercredi 12 décembre à Strasbourg, au Parlement européen, et signée par les Présidents des trois institutions (Parlement, Commission, Conseil). Cette "cérémonie" avait pour but de faire croire à la légitimité d'un texte, simplement publié au journal officiel de l'UE, et qui a pourtant été rejeté par référendum par les deux seuls peuples ayant été consultés par un référendum contraignant en 2005.
Cette proclamation est une parodie de démocratie, symbole de la volonté d'une petite élite ultra-européiste de faire passer en force la défunte Constitution, morcelée et présentée dans un ordre différent mais identique quand au fond, et désormais baptisée traité de Lisbonne.
C'est pourquoi les députés de la coordination Identité, Tradition, Souveraineté ont tenu à manifester à cette occasion le véritable sens, pour eux, des mots "droits", "citoyens" et "démocratie" en réclamant la consultation de tous les peuples européens sur la Constitution bis au cri de "referendum !". Plusieurs dizaines de leurs collègues ont procédé de même.
La réaction de l'Etablissement (envoi d'huissiers, qui n'en pouvaient mais, pour tenter de faire cesser la manifestation, insultes et menaces de sanctions) est elle aussi symbolique : la seule opinion admise dans un Parlement qui prétend pourtant donner des leçons de démocratie au monde entier est la soumission silencieuse et l'acceptation béate de la dictature bureaucratique de l'Union européenne
Le dernier voyage de M. Sarkozy en Algérie a été, une fois de plus, une occasion pour un homme politique français, et cette fois-ci en tant que président de la République française, donc au sommet de l’Etat, de s’essuyer les pieds sur notre drapeau et de cracher sur la mémoire de tous ceux qui sont tombés pour la Patrie, quelles que soient leur race ou leur religion.
Il semble, de plus, que dans l’innombrable « suite royale » qui accompagnait notre Président (aux frais de qui ?), il y ait eu plus d’adeptes de la repentance et du mea culpa éternel que de véritables citoyens las de voir depuis des décennies notre pays insulté de façon de plus en plus grossière et de plus en plus fréquente.
Pour les journalistes, la sélection avait certainement été faite parmi les sourds et les non voyants, car comment la totalité d’entre eux auraient-ils pu rentrer en France avec des reportages proclamant que le peuple Algérien et surtout sa jeunesse, ne cessa pendant trois jours de clamer son courroux contre notre pays et de … demander, d’exiger… des excuses pour le passé de l’infâme colonisation, alors que tous ces gens criaient… Des visas ! Des visas ! pour venir en France chez les affreux colonialistes qui ont massacrés, torturés, méprisés leurs grand-pères, leurs pères et tous leurs ascendants depuis 1830 ? venant ainsi rejoindre les millions de leurs compatriotes qui vivent chez nous dans l’horreur et la misère et que la France, décidément marâtre infâme, empêche de retourner chez eux… au paradis du FLN
M. Bouteflika, quand il n’avait pas la grossièreté de parler arabe devant notre Président, répondait plus spécialement à son peuple et à sa jeunesse (qu’il a fait mitrailler plusieurs fois ces dernières années) en faisant des reproches à « l’élu du lobby juif » et en prenant fait et cause pour tous ceux qui ne pensent qu’à une seule chose : partir, quitter ce pays de rêve !
Donc, doctement, celui qui a fait sien, comme tous les dirigeants FLN, le slogan simpliste mais efficace de « La valise ou le cercueil » qui fait partie des dirigeants qui ont sur les mains le sang de nos harkis, demande à son ami Sarko que les mesures de reconduite à la frontière des immigrés clandestins, pratiquées dans les pays européens, dont la France, « soient plus douces et plus humaines » (sic) !
A cette déclaration s’ajoutait celles qui ne parlaient que des visas… et de l’ouverture qui devait être… béante, des frontières de la France (re-sic).
Et tous nos « envoyés spéciaux » d’en remettre une ou deux couches, toujours autour des mêmes mensonges, des mêmes falsifications de l’histoire, des mêmes erreurs historiques et des mêmes oublis volontaires.
Pas plus les « spécialistes » que les « scribouillards » ne voyaient que l’agressivité rancunière des dirigeants Algériens, adjoints directs du sieur Bouteflika, n’était qu’une « saga FLN », et seulement faite d’esbroufe, avec un réel talent, destinée à cacher la faillite du régime, et l’état actuel de l’Algérie, et ce malgré les milliards de dollars qui dorment dans les caisses de la Banque d’Algérie, grâce au prix actuel du pétrole, notre pétrole… et pour empêcher la population algérienne de demander des comptes pour toutes les tueries, les disparitions qui ont ensanglanté nos anciens départements depuis notre départ, une guerre civile algéro-algérienne de dix ans qui vit couler une mer de sang qui imbibe encore le sol…
M. Sarkozy, devant des étudiants qui ne lui demandaient rien de ce genre, n’a cessé de cracher sur la France, sur la colonisation, entreprise d’asservissement et d’exploitation. La colonisation, un crime contre l’humanité, la colonisation qui a renié les valeurs de la République, etc… etc…
Quelles étaient donc ces valeurs en 1830, et même en 1930 ? A cette époque, à quel âge travaillaient les gosses dans notre belle France, dans les mines, dans les usines ?
Il est toujours facile de traîner la France dans la boue en mettant en avant les us et coutumes des siècles passés, les comparant avec les lois laxistes et parfois dégradantes d’aujourd’hui… Pas un seul des accompagnateurs du Président n’a émis le moindre doute sur le « baratin vomitif » et la « diarrhée verbale » du plus grand bonimenteur que la France ait connu. Aucun de ces « messieurs-dames » de la diplomatie, aucun journaliste, mâle ou femelle, aucun « gamellard » de la suite n’émit la question de savoir comment la France arrivée en Algérie en 1830, pour en repartir en 1962, donc pendant 132 ans de malheur, de spoliation, et même, d’après certains ministres algériens,… de génocide humain, identitaire et culturel (excusez du peu), oui, comment se fait-il qu’à notre arrivée en 1830, il y avait dans cette possession ottomane, repaire de corsaires esclavagistes, moins d’un million d’habitants et, surtout, pas de peuple Algérien ; et, qu’à notre départ, en 1962, il y avait plus de neuf millions d’Algériens et un pays riche, en état de marche, qui faisait l’admiration des dirigeants arabes modérés.
C’est vrai, j’oubliais ! Il y avait aussi les « colons » qui avaient accaparé toutes les bonnes terres… comme la Mitidja, par exemple, cloaque infâme noyé dans l’eau saumâtre, nid de toutes les maladies, dont la malaria, et où mouraient, la pelle et la pioche à la main, de nombreux Alsaciens-Lorrains chassés de chez eux par les Prussiens.
Ces fameux colons, ces fameux gros colons qui, selon les légendes que nourrissent les propagandes antifrançaises, sont responsables de tout, d’absolument tout !
Il faut déjà savoir quand même, qu’entre un propriétaire chrétien et un propriétaire musulman, l’ouvrier agricole Algérien n’hésitait pas une seconde et choisissait le premier. Il faut surtout savoir aussi, comme le constatait la communiste Germaine Tillon, à l’époque, « il y a en Algérie 19 400 colons, 7 432 possèdent moins de 10 hectares, 1 200 ont de véritables grandes propriétés, 3 000 sont riches, une dizaine très riches. » Il est donc facile pour les gens honnêtes, y compris les « spécialistes », de constater que sur plus d’un million d’Européens, cela ne représente même pas la « norme métropolitaine » et que la majorité du million de « blancs » était constituée d’ouvriers, de travailleurs qui, pour un grand nombre, votaient « à gauche » avant les évènements, comme à Bab el-Oued, qui deviendra un bastion de l’Algérie française.
Comme il fallait s’y attendre, nombre d’envoyés spéciaux, à leur retour, surtout les plus ignares, ressortirent dans leurs papiers ce qu’ils avaient appris à l’école de journalisme de M. « Mohamed » Bourges, à savoir que l’armée française avait perdu la guerre d’Algérie.
M. Laurent Joffrin, dans Libération du 5 décembre 2007, explique la chose à sa façon… La France ne veut pas réellement se repentir… « car il est difficile à une nation de s’excuser quand elle a perdu une guerre… » (sic).
Le drame, c’est que ce colossal mensonge dure depuis 50 ans ; qu’il est bien entretenu et que tous ceux qui ne connaissent rien à la guerre d’Algérie et ceux qui ont toujours soutenu le FLN, (et ça fait du monde), avec l’aide des médias radiophoniques télévisuels et presque la quasi-totalité de la presse écrite, entretiennent constamment le mensonge.
La vérité, la seule vérité, c’est que l’armée française a gagné… la bataille d’Alger contre le terrorisme… et la guerre d’Algérie contre la guérilla. A la fin de la guerre, avant les accords d’Evian, le FLN sur le territoire algérien, était out ! et ne représentait plus rien, sinon des résidus de bandes… qui se terraient ! C’est De Gaulle, et lui seul, qui a bradé les trois départements et le Sahara, pour sa politique personnelle, ayant décidé de prendre la tête des non alignés et d’être ainsi le patron de la troisième force mondiale, entre Moscou et ses vassaux, Washington et ses obligés.
M. Joffrin, qui décidemment a réponse à tout, sauf à la vérité, écrit aussi… que la France, en Algérie, a commis un crime « en enfermant dans un statut inférieur des millions d’hommes et de femmes… »
Le crime, M. Joffrin, et s’en est un, s’appelle le Décret Crémieux, et vous vous gardez bien d’en parler, de même que tous vos confrères présents lors du voyage, car là, le bât blesse sérieusement. En effet, ce fameux décret, qui ne donnait la nationalité française qu’aux arabes juifs d’Algérie, est la cause majeure et continue de tous nos problèmes en Algérie.
Isaac Crémieux, né à Nîmes en 1796, fut avocat avant de devenir député de Chinon. Intelligent, très travailleur, frère franc-maçon au Grand Orient, puis au Rite écossais naissant, mais bientôt très puissant, il devint bien vite le champion de la cause israélite en France. Il participa, durant des années, à différents gouvernements, et, par la suite, Président de l’Alliance Israélite Universelle, entra comme ministre de la Justice dans le gouvernement qui succéda à l’Empire. C’est durant l’exode de ce gouvernement, présidé par le général Trochu, qu’à Tours, le 24 octobre 1870, il fit signer son décret qui accordait automatiquement la nationalité française aux juifs d’Algérie.
Cela amena immédiatement un soulèvement des musulmans, dont certains venaient de se battre courageusement contre les Prussiens. Beaucoup de hauts fonctionnaires de l’époque, au contact des populations du bled, ainsi que de nombreux militaires, firent campagne pour l’extension du décret aux musulmans, qui n’étaient alors qu’un million. Rien n’y fit. On connaît la suite !
On comprend que le silence est nécessaire pour certains, et que le mensonge, voire la chape de plomb mise sur cette triste histoire, arrange beaucoup d’«historiens de pacotille » et de « spécialistes » aveugles, sourds et muets, quand cela les arrange !
Je reviendrai bientôt… longuement, sur cette triste affaire et sur la façon exacte dont De Gaulle brada l’Algérie et le Sahara !
Roger HOLEINDRE
Vice Président du Front National
Voici venir une nouvelle fois un énième rapport sur la prétendue montée de l'extrémisme en Europe. Conseil, Commission, groupes politiques, ils sont venus, ils sont tous là !
Comme d'habitude, cette rhétorique est nulle intellectuellement, scandaleuse politiquement, perverse moralement. Intellectuellement nulle, parce que toutes les idées nouvelles en religion : le christianisme, dont certains d'entre vous osent se réclamer, en politique le libéralisme ou le socialisme, en science des idées aujourd'hui aussi évidentes que la rotondité de la terre ou sa rotation autour du soleil ont d'abord été considérées comme extrémistes, hérétiques, subversives, inadmissibles.
Il ne suffit pas de diaboliser une opinion pour la discréditer. Il faut dire en quoi elle est fausse. Le scandale politique, c'est vous qui le suscitez, vous qui êtes au pouvoir et qui, au lieu de résoudre les problèmes, affichez un programme de combat de l'opposition.
Vous révélez ainsi votre incapacité à résoudre le problème de l'immigration-invasion dont vous êtes, délibérément ou par lâcheté, les visqueux collaborateurs.
Vous avouez ici votre échec économique, votre échec social, votre échec culturel, votre échec moral, votre échec éducatif. Et au lieu de changer votre catastrophique politique, vous ne songez qu'à l'élimination de ceux qui protestent ou qui vous critiquent.
Mais c'est moralement que votre attitude est la plus répugnante. Vous assimilez frauduleusement les actions violentes ou terroristes à la légitime réaction des peuples d'Europe contre la destruction de leur identité. Tartuffe que vous êtes, vous voulez les priver de parole et de représentation politique !
Vous êtes les pharisiens de la démocratie. Comme le dit l'Ecriture : Sépulcres blanchis ! Tout n'est que peinture blanche à l'extérieur : vous parlez des droits de l'homme, de la liberté d'expression, des valeurs de l'Europe, de la tolérance. Mais tout n'est que cadavre et pourriture à l'intérieur. Ces droits dont vous avez plein la bouche, vous les refusez à ceux qui ne pensent pas comme vous.
Démocrates en peau de lapin, vous avez peur des peuples auxquels vous refusez de se prononcer par referendum. Ce seul mot, cette seule réclamation vous terrorise, et l'on voit ceux dont les pères défilaient dans la Hitler Jugend proposer aujourd'hui de supprimer les droits de ceux qui défendent leurs libertés nationales, parlementaires, politiques et civiques.
Tout cela serait odieux, si cela n'était pas grotesque. Les générations futures vous jugeront comme elles ont jugé ceux qui ont livré Rome aux Barbares. Puissent-ils, ces barbares, vous traiter un jour comme vous méritez de l'être. Dans le désastre actuel, ce sera notre consolation et notre ultime éclat de rire.
Après la polémique sur l'augmentation de salaire du président de la République, voici que le Canard Enchaîné nous apprend que Nicolas Sarkozy cumule en ce moment son salaire de président de la République et celui de ministre de l'Intérieur. L’information est sure puisqu’elle a été confirmée par l'Elysée. C'est du jamais vu. Décryptage.
Dans son édition du mercredi 12 décembre 2007, le Canard Enchaîné publie une brève explosive. On sait que Nicolas Sarkozy a obtenu une augmentation de salaire de 172% il y a quelques semaines en demandant l'alignement de sa rémunération sur celle du Premier ministre. Ainsi, le chef de l'Etat percevra un salaire mensuel de 19 331 euros net. Mais cette augmentation ne sera effective que le 1er janvier 2008. D'ici là, le chef de l'Etat est censé percevoir le même salaire que celui de son prédécesseur, soit 7 500 euros net. Or, Nicolas Sarkozy a demandé à continuer de percevoir son salaire de ministre l'Intérieur jusqu'au 31 décembre 2007, soit 11 500 euros net.
Pour permettre à un ministre qui vient de quitter le gouvernement de retrouver un emploi, ce dernier perçoit son traitement intégral pendant les six mois qui suivent son départ du gouvernement. Nicolas Sarkozy a démissionné de son poste de ministre de l'Intérieur fin mars, pendant la campagne présidentielle. Il a donc perçu son salaire de ministre jusqu'en septembre dernier. Mais il a demandé que soit prolongé ce versement jusqu'en décembre 2007, avant l'entrée en vigueur de son augmentation de salaire au 1er janvier 2008.
Résumons : au nom de l'équité et de la transparence, le chef de l'Etat a demandé à ce que son salaire soit aligné sur celui du Premier ministre. Dont acte. A partir du 1er janvier 2008, le président de la République percevra un salaire mensuel de 19 331 euros net.
Mais en demandant de continuer à percevoir son salaire de ministre de l'Intérieur en plus de son salaire de président de la République, Nicolas Sarkozy a réussi à anticiper sa hausse de salaire... dès le 6 mai 2007. Entre le 6 mai 2007, jour de son élection, et le 31 décembre 2007, Nicolas Sarkozy aura donc perçu un total de 19 000 euros net... au lieu des 7 500 euros prévus.
.
*** Source
- "La double augmentation de Sarko", Le Canard Enchaîné
, mercredi 12 décembre 2007, page 2
Le Nouvel Observateur s’est procuré un listing retraçant l’évolution des prix, dans un hyper, de plus de 250 produits de grandes marques parmi les plus vendus dans les grandes surfaces. Il en ressort une hausse moyenne de 11,5% sur trois ans, deux fois plus que l’inflation. Nouvelobs.com en publie la liste intégrale.
Les steaks hachés (+ 42%), les coquillettes (+ 32%). Les filets de maquereau (+ 35%) L’eau de Volvic (+26%)… En trois ans, la hausse moyenne de ce “super Caddie” s’établit à 11,5 %, une valse des étiquettes deux fois supérieure au taux d’inflation calculé par l’Insee pour la période. Plus spectaculaire encore : depuis 2000 (passage à l’Euro !), le grand panier de l’Obs s’est renchéri, en moyenne, à 29%.
Voir le listing (pdf)
Pour l’Agence France Presse, la Turquie fait partie intégrante de l’Europe :
http://www.afp.com/francais/afp/world/?region=europe
Rien d’étonnant, quand on sait que les forces cosmopolites poussent à la roue pour qu’un jour le croissant turc se superpose à la couronne d’étoiles d’or sur fond azur – symbole sans doute un peu trop marial à leur goût… – Il ne s’agit que de préparer les esprits et de conditionner les peuples. L’« agence de presse » est donc ici dans son rôle.
Dans la foulée, la même AFP place au sein de l’Europe quatre des cinq républiques turcophones d’Asie centrale : le Kazakhstan, le Kirghizstan, l’Ouzbékistan et le Turkménistan. Ce qui fait que, par ses frontières orientales, cette « Europe »-là jouxte la Chine et la Mongolie… Etourderie de la part de notre agence ? Pas le moins du monde : chaque citoyen de ces républiques peut en effet devenir citoyen turc en un tourne main, une simple carte d’identité lui suffit. La Turquie et les républiques turcophones – soit un ensemble d’un poids démographique comparable à celui de la France et de l’Allemagne réunies : 135 millions d’habitants contre 145 – font partie d’une même entité linguistique, culturelle, religieuse, voire politique. Là encore, l’agence est dans son rôle.
Si l’agence hésite curieusement au sujet de la cinquième république turcophone, l’Azerbaïdjan (la carte du Moyen-Orient l’y place incontestablement :
http://www.afp.com/francais/afp/world/?region=moyor
alors que celle de l’Europe semble la couper en deux, le nord en Europe, le sud au Moyen-Orient, la « ligne de démarcation » passant par Bakou), aucune hésitation en revanche pour les deux voisins occidentaux de l’Azerbaïdjan, l’Arménie et la Géorgie, exclus de la classe européenne. Ce qui introduit une curieuse solution de continuité dans la carte de l’Europe à la mode AFP, la Turquie y apparaissant comme une grosse île. Le fait que l’Azerbaïdjan est musulman alors que la Géorgie et l’Arménie sont chrétiennes ne saurait évidemment rentrer en ligne de compte pour expliquer le choix de l’agence…
Autre sujet d’étonnement : notre agence place d’autorité le Tadjikistan au sein de l’Europe, alors qu’elle met l’Iran dans la carte du Moyen-Orient. Or le Tadjikistan est non seulement musulman comme l’Iran, mais également iranophone, et – accessoirement – encore plus oriental que l’Iran. Pourquoi refuser un ticket européen aux Iraniens, si on le donne aux Tadjiks ? Sans doute parce qu’il est difficile d’inviter à la table européenne un pays qui pense aussi « mal » sur certains sujets particulièrement sensibles…
Henri Dubost pour Novopress
SOURCE : http://fr.novopress.info
Communiqué de presse de David Rachline, porte parole des « Jeunes avec Le Pen »
Une enquête du CREDOC (Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie) publiée hier observe que la situation générale des classes moyennes se rapproche dangereusement de celle des bas revenus.
En réalité, qu’il s’agisse de l’état du chômage, du pouvoir d’achat ou du logement, l’enquête révèle que les indicateurs sont au rouge et ce depuis plusieurs années. Les inégalités se creusent entre les Français pour l’accès à la propriété dont on sait que seuls les hauts revenus peuvent accéder à celle-ci tellement les prix de l’immobilier sont hauts. Difficilement accessible pour un ménage moyen, la propriété est aujourd’hui hors de portée d’un jeune ménage.
Au lendemain de cette enquête accablante pour nos dirigeants, Nicolas Sarkozy, dans son discours consacré au logement annonce que les situations des ménages occupant des HLM seraient réexaminées tous les trois ans pour réévaluer le bien fondé de leurs situations.
Les Jeunes avec Le Pen dénoncent cette mesure qui ne manquera pas d’accélérer la paupérisation de nos compatriotes et plus particulièrement des classes moyennes, et qui, compte tenu des modes d’attribution des logements sociaux, ne bénéficiera qu’aux populations immigrées, au détriment des Français. En effet, la France compte 1,5 million de ménages inscrits sur les listes d’attente pour accéder aux logements sociaux. Les Français doivent savoir que les logements sociaux, de même que de nombreuses aides sociales ne sont attribués que sur des critères sociaux. Chacun l’aura compris, c’est la préférence étrangère qui règne en la matière puisque plusieurs centaines de milliers d’immigrés entrent chaque année sur le territoire français et bénéficient de nombreuses aides sociales mais aussi de logements sociaux, attribués prioritairement aux familles nombreuses, sans considération pour la nationalité. Ces attributions se font au détriment des Français les plus modestes, ce qui est proprement scandaleux.
Les Jeunes avec Le Pen réclament l’instauration immédiate de l’indispensable préférence nationale en matière de logements, d’aides sociales, mais aussi d’emploi. Sans cette mesure de salut public, mise en oeuvre en son temps par le gouvernement du front Populaire, les bas et moyens revenus continueront de s’engluer dans les difficultés sociales et financières. Seuls le Front National et Jean-Marie Le Pen exigent ces mesures de bon sens pour la défense des Français d’abord.
SaphirNews.com est un site dont l'objectif est de proposer "une information thématique centrée sur les musulmans et leurs préoccupations" et dont " les journalistes bénévoles vont à la rencontre des individus, des associations, des mosquées pour comprendre les réalités et les enjeux de la communauté musulmane" en Europe.
Nous y apprenons que le Washington Post (article complet) a interviewé le maire PS de Créteil, Laurent Cathala, à propos de la construction de la mosquée dans sa ville du Val-de-Marne :
"Nous voulions que la mosquée soit construite là où tout le monde pourrait la voir. Nous ne voulions pas qu'elle soit cachée. La mettre juste sous la fenêtre du maire et de la police est la meilleure manière de supprimer les lieux clandestins et l'extrémisme. Cette nouvelle mosquée fait partie de l'évolution démographique de notre ville. Si vous êtes pour la justice sociale, vous ne pouvez pas reconnaître une partie de la population et pas l'autre partie, notamment en ce qui concerne sa religion."
Mais nous apprenons également que "la construction, qui devrait être terminée d'ici 2008, comprendra un minaret atteignant 25 mètres et un dôme, et pourra accueillir plus de 2500 fidèles. Avec un coût s'élevant à 7,4 millions d'euros (...) et que "la ville a contribué au projet à hauteur de 1,5 millions d'euros, et la mosquée très prochainement achevée fera partie d'un grand complexe comprenant un centre culturel, un café, un centre d'exposition, un hammam, une librairie, une bibliothèque et une salle d'étude".
" Les juifs payent pour leurs synagogues, les catholiques payent pour leurs églises. Pourquoi les musulmans devraient être aidés par les contribuables de Créteil ? "
Contribuables, l'Islam à la française voulu par Sarkozy c'est ça !
Source : Le Salon Beige.Le Nouvel Observateur revient sur Abdelkader Arbi, "guide spirituel de la communauté musulmane" au sein des armées françaises et répond à la question que nous nous posions. Des soldats français l' accompagneront bien à La Mecque :
" Il s'attaque à présent à l'organisation du prochain pèlerinage à La Mecque pour une quarantaine de soldats et une équipe d'aumôniers."
Mais cet article cherche visiblement à rassurer le lecteur :
"Ni barbe ni djellaba, mais une moustache rasée de près et un costume militaire tiré au cordeau (...) Abdelkader Arbi n'a pas non plus de tapis de prière (...) il refuse tout autant d'être récupéré par l'une ou l'autre des grandes fédérations musulmanes dont il a autrefois critiqué les jeux de pouvoir."
Toutefois, certains passages sont très inquiétants sur l'état de nos armées et sur les dangers que pourraient laisser présager à l'avenir cette "islamisation" en douceur :
" La ministre de la Défense venait de réparer une discrimination de plus d'un siècle (...) Une question relancée par l'arrivée massive de jeunes issus de l'immigration dans une armée professionnalisée depuis 1996 (...) En tout, Abdelkader Arbi a recruté douze aumôniers, parmi des civils et des militaires. Et prévoit de porter leurs effectifs à 40 à l'horizon 2010 (...) Il a aussi permis l'ouverture de salles de prière dans cinq unités militaires (...) "il y a une très forte attente chez les soldats musulmans, souvent frustrés d'avoir été si longtemps les seuls privés d'aumôniers. On en a même convaincu beaucoup de rester". Dans certains régiments, la tension n'était pas loin d'être à son comble. MAM lui conseillera même d'envoyer au plus vite un représentant sur le «Charles-de-Gaulle». "La marine est un milieu encore très catho traditionnel", explique-t-il (...)"
"Bien sûr, il recueille parfois le désarroi de soldats que leurs copains traitent de «traîtres». "Il faut leur fournir des réponses. Heureusement, la France n'est pas allée en Irak !" (...) Hervé Morin, "un Normand comme moi. Il m'a fait part de son souci de la visibilité des minorités dans l'armée", se réjouit-il, impatient de contribuer à l'effort de promotion des jeunes issus de milieux modestes aux grades supérieurs (...) L'objectif c'est de pouvoir appeler un jour le général Ben Babrouf ou le colonel Mohamed !"
" Il existe actuellement 168 aumôniers catholiques, 38 protestants, 19 israélites et 12 musulmans (40 à l'horizon 2010). La loi française interdit le décompte des populations sur le critère de la religion, mais on estime à 8 à 10% la part des musulmans pratiquants dans l'armée, soit environ 40 000 militaires sur les 440 555 des effectifs de la défense."
Nous savons donc désormais que les musulmans représentent environ 10% des militaires engagés (et en France ?) et qu'en 2010, au moins 15% des aumôniers seront musulmans (le nombre des aumôniers catholiques devant diminuer). Abdelkader Arbi semble se rassurer que la France ne se soit pas engagée en Irak mais que ce passera-t-il donc en cas d'engagement contre l'Iran ou plus probablement avec l'augmentation voulue par Sarkozy de nos forces combattantes en Afghanistan ?
Le maillot du centenaire de l'Inter Milan n'a pas plu à Baris Kaska. Selon la Gazzetta dello Sport, cet avocat turc, spécialiste de droit européen, a demandé à l'UEFA d'annuler le résultat du dernier Inter - Fenerbahçe (victoire des Milanais 3-0) en raison du maillot porté par les Italiens le 27 novembre. Les joueurs de Roberto Mancini revêtaient à ce moment là leur tunique du centenaire : un maillot blanc barré d'une grande croix rouge. Sel
on l'avocat turc, ce symbole rappelle le temps des Templiers, moines soldats qui ont effectué la première croisade à Jérusalem en 1099. Baris Kaska n'est pas le premier à soulever ce problème puisque le journaliste turc Mehmet Y. Yilmaz en avait déjà parlé dans le journal Radikal au lendemain du match.
V.D.Le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi a appelé samedi les Européens à rembourser les ressources “volées” à l’Afrique pendant la colonisation ou alors à se tenir prêts à accueillir les migrants africains chez eux, selon une source présente dans son discours au sommet UE-Afrique.
“Soit vous nous rendez nos ressources, soit vous nous invitez dans vos pays“, a-t-il dit, selon la source présente dans la salle.
Après le chantage à la bombe, le chantage à l’immigration…
(Bureau audiovisuel francophone)
Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN
Le bilan de la visite d’Etat de Nicolas Sarkozy en Algérie est désastreux pour la vérité historique, pour l‘honneur national, pour la France.
Les faux parallèles qu’il a cru pouvoir établir entre les victimes des deux camps sont cruellement blessants, pour les pieds noirs, pour les soldats français, pour les harkis, pour tous ceux qui ont participé à la défense de ces anciens départements français après avoir participé à sa construction.
Lorsqu’il qualifie le système colonial de « profondément injuste », d’« injuste par nature », il verse dans l’anachronisme, et c’est son jugement qui est profondément injuste. Peut-on lui rappeler que c’est la République qui a élaboré ce système ?
Le message n’est pas équilibré, il est profondément brouillé, lorsqu’en rentrant à Paris il rend hommage aux harkis, à ceux qui ont combattu la barbarie du FLN, juste après avoir rendu hommage, à Constantine, à « ceux qui sont tombés les armes à la main pour que le peuple algérien soit de nouveau un peuple libre ». Et où a-t-il vu que le peuple algérien était libre en 1830 ? Sans parler de sa situation réelle aujourd’hui...
Enfin, cela va sans dire, aucun contrat industriel ou commercial ne peut justifier la falsification de l’histoire et l’humiliation de notre pays
En tenant à accueillir Mouammar Kadhafi, le président de la république montre son vrai visage, celui d'un marchand du temple...
Pour avoir voulu être en haut de l'affiche dans l'affaire des infirmières bulgares, il lui a fallu passer des compromis avec le tyran lybien. Leur contenu, inacceptable, commence à apparaître au grand jour :
- reconnaissance implicite devant le monde entier de la légitimité d'un terroriste. Peu lui importe que cet "interlocuteur privilégié" soit à l'origine de la mort de nombreux français (souvenons nous de l'affaire du Boeing d'UTA);
- regard fuyant et silence sur les déclarations du même Kadhafi qui, gonflé à bloc, en profite pour réclamer des réparations pécuniaires pour la période de la colonisation (et puis quoi encore?);
- vente d'armes de guerre à un chef d'état considéré comme le financier du terrorisme international islamiste.
Bref, pour faire gagner cinq milliards d'euros à ses amis de l'industrie de l'armement, il semble qu'il ait fait sienne la devise qui prétend que "l'argent n'a pas d'odeur".
Mais le plus lamentable dans cette affaire, c'est que ce comportement de marchand bafoue l'honneur de la France.
Et ça, c'est impardonnable!
Christian PENEVERE