vendredi 30 novembre 2007
Deux poids, deux mesures…
Sarkozy est un bateleur de grand talent… Mais...
“Y a-t-il un sentiment anti-Blancs dans les cités?”
jeudi 29 novembre 2007
L'Europe va nous coûter cher, très cher !
Communiqué de presse de Jean-Marie Le Pen
La France assurera la Présidence de l'Union européenne au second semestre 2008. Rien n'est trop beau pour assurer le succès de la Présidence française et faire oublier les échecs en politique intérieure et la faillite de l'Etat reconnue par François Fillon lui-même.
En effet, 190 million d'euros (1,250 milliards de FF) ont été débloqués pour financer les différentes manifestations, à commencer par l'organisation de deux Conseils européens, neuf sommets avec les pays tiers et trente cinq Conseils des ministres européens.
Excusez du peu !
Nous pensons que ces dépenses exorbitantes n'apporteront rien de bon au peuple français et ne contribueront pas à renforcer l'image de la France en Europe et dans le monde. Gesticuler et paraître n'ont jamais remplacé l'action politique.
C'est au tour de Toulouse !
Toulouse s'enflamme à son tour... Remarquez bien le commentaire imbécile du journaliste qui, pour présenter le reportage, ose prétendre que la violence ne s'étend pas [depuis les émeutes de Villiers-le-Bel]... Il faut bien que le système essaye de minimiser les choses n'est-ce pas ?
Rions un peu avec le site www.anpe.fr
Cliquez sur l'image pour l'agrandir.
Les médias se fichent du peuple !
A propos de Villiers-le-Bel voici le commentaire de ce matin sur RTL (éditions du journal parlé de 11 heures) :
"La nuit a été presque normale, seuls quelques dizaines de feux de voitures et de poubelles sont à signaler."
Si une nuit normale c'est quelques dizaines de feux de voitures et de poubelles, qu'est-ce qu'une nuit anormale ? Est-ce donc la norme en France que de bruler chaque nuit des dizaines de voitures et de poubelles ?
Voici d'ailleurs quelques images des émeutes que les médias français n'ont, bien sur, pas diffusé :Par ailleurs les médias nous ont toujours parlé des deux victimes (victimes uniquement d'elles-mêmes et de leur imprudence souvenons-nous en !) comme étant françaises. Pourquoi pas ? Mais alors, pourquoi est-ce que Mohsin et Laramy seront-ils inhumés ''au Maroc et au Sénégal pays de leur parents'' ? (source : RTL à 10h00.)
Autre omission (forcément involontaire) des médias: qui a entendu parler des émeutes qui ont lieux dans le même temps qu'à Villers-le-Bel, à Cergy (Val-d'Oise)
et à Tournon (Ardèche) ?
Source des vidéos : François de Souche.
Imaginez
Imaginez. Imaginez cette scène campagnarde. Imaginez un couple se promenant dans un petit village entouré de vignobles, comme on en trouve tant dans l’Aisne ou la Champagne, en une fin d’après-midi de novembre. Imaginez autour de ce couple deux petits enfants courant, batifolant, riants. Imaginez-les, en ce crépuscule d’automne, entrant dans un café typiquement français qui donnent encore vie à nos petites bourgades.
Imaginez-les, donc, s’y installant pour s’abriter des premiers frimas qui accompagnent la venue de la nuit et prendre en famille un chocolat bien chaud. Imaginez ce café bien de chez-nous avec ses clients au comptoir ‘‘buvant le coup’’, parlant qui de la vigne, qui de l’usine ou du petit dernier de la famille qui commence tout juste à marcher.
Imaginez le patron qui reçoit le couple et les enfants comme s’ils étaient de la famille (il ne les a jamais vus, ils ne sont même pas du village). Imaginez également que cet homme charmant et affable soit l'heureux père de deux petites filles. Imaginez-les, toutes les deux, du haut de leurs 6-8 ans, dessinant, calmement, gentiment, sur une table du fond du bistrot.
Imaginez encore que juste derrière les fillettes se trouvent deux cadres. Imaginez enfin que ces deux encadrements contiennent chacun une grande photo tirée du calendrier des « Dieux du Stade » (calendrier où l’on voit les principaux joueurs de rugby français posant nus). Imaginez que chaque photographie représente un athlète dans sa plus totale nudité et dont la pose laisse parfaitement voir toutes les parties de son anatomie, même les plus intimes…
Comment cela ? Vous ne voulez pas imaginez cette scène des deux petites filles exposées directement à ce spectacle pornographique ?
Vous avez raison… Ne l’imaginez pas.
Ce serait d’ailleurs inutile puisque ce texte n’est pas œuvre d’imagination mais la triste réalité. Réalité qui s’est produite dimanche 25 novembre dans le petit village de C., pas très loin de chez nous qui habitons l’Aisne…
C.P.
mercredi 28 novembre 2007
Face à la guérilla, assez d’états d’âme !
Jean-Marie Le Pen dans Riposte !
Le Pen chez Moati dans Ripostes
Vidéo envoyée par Pelerin47
Jean-Marie LE PEN était l'invité de Serge MOATI sur France 5 à 17h25 dans une émission spéciale "Ripostes" d'une heure et demie.
Au nom d’Anne-Lorraine
Le 27/11/07, par Frédéric Pons, Rédacteur en chef Monde | Société
"Bouleversé par le meurtre sauvage de notre chère Anne-Lorraine, 23 ans, cet ami m’a appelé : « On devrait manifester, brûler des mosquées turques... ». Je le comprends. Le meurtrier du RER D est un criminel sexuel récidiviste d’origine turque. Il était en liberté, malgré une précédente condamnation ! Faut-il brûler, manifester ? Laissons cela aux Turcs, aux Egyptiens, aux Indonésiens, aux Soudanais, aux Algériens qui martyrisent leurs compatriotes chrétiens et brûlent leurs églises. Laissons cela à nos voyous des cités barbares qui profitent en ce moment de l’impunité scandaleuse que leur offrent des années de laxisme et de démagogie. Oui, la mort atroce d’Anne-Lorraine est révoltante. A Valeurs Actuelles, nous sommes dans la peine : elle fut stagiaire chez nous. Dans la colère aussi. Une nouvelle fois la peine de mort a été appliquée par un loup qui n’aurait pas du se trouver en liberté. On sait pourtant que les délinquants sexuels sont très difficiles à réintégrer, voire impossibles. Le doute est toujours présent, les risques immenses. Mais dans le doute, qui faut-il privilégier ? Le criminel ou la future victime ? N’est-ce pas la responsabilité de la société – les politiques à défaut des juges - d éliminer ses éléments les plus dangereux ? La peine de mort est abolie, sauf pour les victimes innocentes. Il faudra faire le compte un jour des dégâts irréparables commis par tous ces malfaisants remis en liberté. Au nom de la courageuse Anne-Lorraine qui a résisté à son agresseur, réussissant à le blesser (ce qui a permis de l’arrêter), avant de mourir sous les coups. Quand ressortira-t-il de prison ce violeur au couteau ? 8, 10, 15 ans ? Notre société doit avoir le courage de l’éliminer définitivement de la circulation, lui et tous les tueurs et violeurs d’enfants. C’est sa responsabilité. Si elle ne le fait pas, des pères, des frères, des oncles le feront. Au nom de la légitime violence. Cela, je le comprendrais. Au nom d’Anne-Lorraine, jeune fille de France martyrisée, dont le sourire enthousiaste de cheftaine et d’étudiante en journalisme ne me quitte plus."
Le vent tourne...
mardi 27 novembre 2007
Meurtre du RER, le tueur/violeur d'Anne-Lorraine est un récidiviste Turc !
27 novembre 2007.
Meurtre d'une étudiante dans le RER D: le suspect récidiviste avoue
SENLIS (AFP) — Le suspect déjà condamné pour viol, qui avait été interpellé après le meurtre à coups de couteau dimanche d'une étudiante de 23 ans dans le RER D près de Creil (Oise), a reconnu l'avoir agressée pour tenter de la violer, a annoncé lundi le procureur de Senlis.
Il avait déjà été condamné en 1996 par la cour d'assises de l'Oise à 5 ans de prison, dont 2 avec sursis, pour une agression sexuelle qui se serait produite sous la menace d'une arme, sur la même ligne de RER.
Cet homme de 44 ans "est passé aux aveux, des aveux qui restent à confirmer et à détailler", a déclaré le procureur Thierry Pocquet du Haut-Jussé, au cours d'un point de presse.
Le suspect, qui avait un couteau sur lui, a reconnu "une tentative d'agression sexuelle" quand il s'est aperçu que la jeune femme était seule avec lui dans la rame de RER.
La victime, résidant à Orry-la-Ville (Oise), près de Senlis, avait été retrouvée dimanche vers 11H50 par deux voyageurs, montés dans le RER à Creil (Oise). Grièvement blessée, elle portait de nombreuses traces de coups de couteau sur le haut du corps et trois blessures profondes, dont une au coeur qui a été mortelle. Elle est décédée peu après l'arrivée des secours.
"La jeune femme a été très courageuse", a déclaré le procureur. La victime s'est défendue âprement: l'agresseur a été blessé à l'aine et n'a pu la violer. Des cheveux et des traces de sang de la jeune femme ont été retrouvés sur lui.
Etudiante à l'école de journalisme du Celsa à Paris et très engagée dans le mouvement scout, elle était l'aînée de cinq enfants. Ses parents l'attendaient dimanche sur le quai de la gare d'Orry-la-Ville pour aller à la messe.
D'après le procureur, l'agression aurait eu lieu entre les stations Louvres et Fosses. C'est pourquoi le parquet de Senlis (Oise) a été dessaisi de l'enquête lundi après-midi au profit de celui de Pontoise, les faits s'étant déroulés dans le Val d'Oise.
Le suspect avait été retrouvé blessé, sans connaissance, à la gare de Fosses, quelques stations avant celle de Creil.
Ses déclarations pour expliquer ses blessures étaient apparues confuses et contradictoires aux enquêteurs. Il avait donc été placé en garde à vue à l'hôpital de Gonesse (Val-d'Oise), où il a continué à être interrogé. Compte tenu de cette hospitalisation, il ne devrait être mis en examen que mardi.
L'antenne de Creil de la police judiciaire de Lille, chargée de l'enquête par le parquet de Senlis, poursuit le visionnage des bandes vidéo enregistrées par les caméras de surveillance sur les quais et dans les gares du RER.
La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a félicité lundi police et gendarmerie pour leur rapidité à interpeller le meurtrier présumé, jugeant que ce drame rappelait la "nécessité d'un suivi très strict des délinquants sexuels".
Avec 520.000 voyageurs par jour en moyenne, la ligne D du RER, exploitée par la SNCF, est la plus fréquentée d'Ile-de-France, qu'elle traverse sur 160 km du nord au sud, avec une soixantaine de stations.
Source : l'AFP
Ce que ne dit pas la dépêche de l'AFP c'est que ce violeur récidiviste est un immigré Turc ; mais il n'y plus la double peine -c'est à dire l'expulsion après la prison- grâce au ministre de l'intérieur (à l'époque) Nicolas Sarkozy qui l'a supprimé.
Et quand le nouveau ministre de l'Intérieur Michel Alliot-Marie rappelle : "la nécessité d'un suivi très strict des délinquants sexuels" nous lui répondons que ce suivi existe déjà et qu'il ne change rien, la preuve.
PEINE DE MORT : SEUL LE FRONT NATIONAL EST POUR !
Les émeutes de Villiers-le-Bel
Ca sent le gaz lacrymogène, le plastique brûlé et la rage. Celle d’une centaine de garçons bien organisés, qui disent vouloir “buter” le moindre “Schtroumpf” – le moindre policier. Lundi 26 novembre, entre 19 h 30 et 22 h 45, cinq rues de la ZAC et du Puy, à Villiers-le-Bel, dans le Val-d’Oise, là où, la veille, deux jeunes garçons de 16 et 15 ans, Larami et Mouhsin, sont morts dans le choc de leur mini-moto contre une voiture de police, ont rejoué des scènes d’une extrême violence.
Restés invisibles tout l’après-midi, les policiers se sont postés en masse, en fin de journée, devant la gare du RER D, après l’incendie d’un camion poubelle. A peine les premiers lampadaires allumés, les jeunes attaquent avec des pavés, des feux d’artifice et des pétards “mammouth” – les plus gros.
Dès qu’un policier est touché, les garçons fêtent ça, les bras levés au ciel. Même cri de victoire quand ils reculent. Ils se hissent sur les toits des voitures, ils se prennent en photo avec les téléphones portables. “Attraper un flic”, un “keuf”, un “porc” : pendant trois heures, une poignée de meneurs répètent ces mots d’ordre : “Restons groupés!”, “Solidaires, les gars !”. Et les émeutiers, disciplinés, suivent les consignes.
Les “petits” – certains n’ont même pas 10 ans – jouent les éclaireurs. Ils débusquent les policiers et jettent des cocktails Molotov; les plus grands veillent à ce que la voie soit libre. Pour enflammer voitures et magasins, ils se ravitaillent aux réservoirs de trois voitures du “95″, où sont remplis les jerricans puis les bouteilles de verre. Un gaillard en survêtement noir, talkie-walkie branché sur une fréquence de la police, guide l’équipe.
La troupe sait qu’il ne sert à rien d’attaquer la mairie : elle a fermé ses portes. Le conseil de crise des élus se tient ailleurs, dans un lieu tenu secret.
DES FEMMES JETTENT DE L’EAU DU BALCON
“Anelka !”. Ils se donnent des surnoms de footballeurs, d’animaux (”chameau”) ou de héros de télé (”Frelon”, alias Bruce Lee). Ils cachent aussi leurs visages. Echarpes haut sur le nez, capuches, et même, pour certains, tenues de CRS, avec matraque et bouclier. Un ami, caméra numérique montée sur pied, filme chaque pavé lancé, dans chaque voiture brûlée. Quand certains s’y croient et s’attardent trop devant l’objectif, les meneurs sermonnent : “Oh les gars, c’est pas du cinéma, c’est la guerre !”
“Allez les frères!”, encourage-t-on sur le trottoir, où les anciens, médusés de tant de violence, sont descendus regarder le spectacle, tandis que d’autres tentent de sauver leur voiture. Certaines femmes jettent de l’eau du balcon de leur HLM pour soulager les yeux rougis de leurs “fils”. Quand la police charge, certains étages n’hésitent pas à la “caillasser”.
Au sol, toute arme est bonne à prendre : des multiprises, une épée, un fusil à pompe… Mais la plupart se battent avec des bâtons en bois ou des barres de fer chipées dans les chantiers. On s’approvisionne en bouteilles dans les silos de recyclage du verre. Panneaux d’affichage électoral ou de signalisation, poteaux, arbres servent d’arme ou de bouclier. Des coins entiers se retrouvent dans le noir, comme l’avenue du 8-mai-1945. Parfois, un coup de pied dans les lampadaires crée un court-circuit.
Tas de pierres et de poubelles bloquent certaines routes, comme des check-points de fortune. “La guerre, c’est ça mon pote. C’est faire tourner en rond l’ennemi”, lance un meneur, s’improvisant général. Comme la veille, certains magasins, certaines concessions automobiles passent à travers les flammes : avant de mettre le feu, on discute.
“Celui-là, il est à la famille”, crie une jeune voix devant le pressing du 8-mai-1945. La bibliothèque Louis-Jouvet, le supermarché Aldi, le salon de coiffure, l’auto-école ont moins de chance : pillés et incendiés pour le dernier par un gamin âgé d’à peine 13 ans. “Faut brûler nos amendes”, lâchent-ils en chœur. C’est chose faite à 22h30, lorsque “les impôts” prennent feu.
La jeunesse de Villiers est dehors depuis longtemps. L’après-midi, on a photocopié à la hâte les portraits des deux adolescents “morts pour rien” : le même cri de ralliement qu’après le drame de Clichy-sous-Bois, en octobre 2005, lorsque deux jeunes gens avaient trouvé la mort dans un transformateur électrique. Les collèges et les lycées se sont donnés le mot pour une “marche silencieuse” – si l’on peut dire : dans cette ville proche de Roissy, c’est rare qu’un long-courrier laisse la ville tranquille. Elèves et grands frères, bonnets ou capuches, sacs à dos sur lesquels ils ont fièrement écrit, au Tipp-Ex, le nom de leur cité, entre trois “killer” et deux “fuck the cops”, une masse défile.
Frères, sœurs et copains expliquent : “Les policiers n’avaient pas à partir, on aurait laissé passer les secours!” Un grand râle : “Vous allez voir qu’ils vont lancer le débat sur les mini-motos, pour faire diversion. Mais est-ce qu’on fait une histoire quand à Neuilly un cavalier ne porte pas de casque ?”
Dans la foule tendue et sans larmes, on compte aussi quelques profs, bouleversés, mais un seul élu, sans écharpe, – Rachid Adda, conseiller régional (MRC) d’Ile-de-France – et des responsables associatifs, atterrés par ce nouvel épisode de guerre entre jeunes et police. “Moi j’ai vécu Charonne, le 17 avril 1961. Mais la police, ça restait quand même police secours , rumine ce fonctionnaire de mairie. Aujourd’hui, mes enfants je leur dis : quand tu vois la police, tu t’enfuis .”
Source : Le Mondecommentaire de Jean-Marie Le Pen sur les émeutes de Villiers-le-Bel
«Une surpopulation étrangère» dans les banlieues, c’est le commentaire de Jean-Marie Le Pen au lendemain des incidents survenus à Villiers-le-Bel (Val d’Oise) après la mort de deux adolescents dans un accident.
«Les populations se mobilisent, quelle qu’en soit la raison, et créent des problèmes de sécurité publique, et pèseront d’un poids de plus en plus lourd au fur et à mesure que, comme je le déplore, le poids des immigrés dans notre pays sera de plus en plus grand», a déclaré le président du Front national à l’issue d’un entretien à Matignon sur la réforme des institutions.
«Il y a une surpopulation étrangère dans nos banlieues, il y a un sous-emploi, ce qui fait que beaucoup de gens ont la faculté de se promener, de jouer de la moto ou de toutes sortes d’instruments, souvent avec des voitures volées d’ailleurs», a-t-il poursuivi. «Cela crée des problèmes et en créera de plus en plus malheureusement, tant qu’on n’aura pas touché au fondamental, qui est l’immigration en France».
Congrès du FN : les discours de Jean-Marie Le pen ; Marine Le Pen et Bruno Gollnisch
Intervention de Marine Le Pen
Intervention de Bruno Gollnisch
Le Front National de l'Aisne et le congrès du FN
Communiqué de presse de la Fédération du Front National de l’Aisne
Congrès du Front National
Au congrès du Front National qui s’est tenu à Bordeaux les 17 et 18 novembre 2007, Nathalie Fauvergue – Conseillère régionale - a été élue membre du Comité central à la 70ème place, Franck Briffaut - lui aussi Conseiller régional - a été coopté par le Président du Front National à ce comité central. Le comité central du Front National est une instance nationale qui comporte 100 membres élus et 20 cooptés.
Par ailleurs, Wallerand de Saint Just, qui ne pouvait être candidat puisque président de la commission organisant les votes du congrès, a été de même coopté à ce comité central. Il a été à nouveau nommé membre du bureau politique, mais surtout, il a été nommé vice président du Front National siégeant à ce titre au bureau exécutif.
La Fédération de l’Aisne est donc particulièrement représentée dans les instances nationales du Front National.
lundi 26 novembre 2007
Loi liberticide anti-tabac
COMMUNIQUE DE PRESSE
Dans quelques semaines une liberté de plus sera supprimée. A partir du 1er janvier 2008, la suppression du tabac dans les bars, restaurants, discothèques et tabacs, sera effective !
Cette loi, présentée par les ministres de M. Sarkozy (les buralistes et les fumeurs ont-ils votés pour lui ?), votée par les députés que les Français ont réélus à l’Assemblée Nationale va remettre en question l’existence des lieux populaires et de vie sociale que sont les cafés et tabacs, notamment dans nos petites communes.
Bien sur, le cancer des fumeurs fait des ravages et la santé est primordiale, mais si le tabac est un poison pourquoi ne pas l’interdire totalement ?
Cette hypocrisie gouvernementale devrait d’ailleurs être attaquée en justice.
Pourquoi ne pas proposer aux petits établissements de faire un choix « fumeur » ou « non fumeur » ? Les client choisiraient eux-mêmes leur café-tabac, fumeur ou non.
Cela éviterait que les fumeurs, que la loi n’empêchera pas de fumer, n’enfument beaucoup plus leurs proches à leur domicile !
Michel GUINIOTPrésident du groupe FN
au Conseil Régional de Picardie
Lien : Groupe FN de Picardie.
dimanche 25 novembre 2007
Affaire de l'autodéfense de Plomion : nouveau communiqué du Front National de l'Aisne
COMMUNIQUE
Il faut constater la remise en liberté de Christophe Poirier le boulanger de Plomion dans l’Aisne, mais il faut se scandaliser de ce qu’il ait été mis en examen par un juge d’instruction et placé sous contrôle judiciaire. Il faut exiger l’arrêt immédiat de toutes poursuites de la part de pouvoirs publics incapables d’assurer un minimum d’ordre et de sécurité comme on l’a encore vu à Reims il y a quelques jours avec le viol atroce de deux collégiennes.
Wallerand de SAINT JUST
Secrétaire départemental
Vice-Président du Front national