La semaine prochaine la vidéo du discours de Jean-Marie Le Pen sera disponible sur votre site FAisne !
samedi 3 mai 2008
Reportage vidéo sur le 1er mai
La semaine prochaine la vidéo du discours de Jean-Marie Le Pen sera disponible sur votre site FAisne !
vendredi 2 mai 2008
Discours du 1er mai par Jean-Marie Le Pen
2 mai 2008.
Hier après-Midi, après le traditionnel défilé du Front National, Jean-Marie Le Pen a prononcé son discours, au cours duquel il a notamment déclaré :
"Oui, depuis 35 ans, nous vivons sous une insupportable chape de plomb, qui prétend consacrer comme vérités officielles les points de vue de l’antiracisme militant. La religion antiraciste transforme certaines opinions en véritables blasphèmes, et ce qu’il faut bien appeler l’idéologie officielle, impitoyable et totalitaire, asservit le peuple français et consacre un véritable recul de civilisation. Non, mesdames et messieurs, la France n’est plus un pays libre, ni d’ailleurs un pays d’hommes libres. Tout le monde se couche, tout le monde s’écrase, tout le monde se tait, pour ne pas offenser les puissants, pour ne pas encourir leurs foudres.
Je me fais une autre idée de l’homme, et une autre idée de ma fonction de tribun du peuple. Non, je ne plierai pas face aux oukases de l’orthodoxie officielle. Non, je ne cracherai pas à la figure de la liberté et de la vérité. Je ne fuirai pas. Je ferai face, conformément à ce que j’ai toujours été, conformément à ce que je crois juste, conformément à ce que je suis.
L’homme n’est homme qu’au travers des principes qu’il se donne et des disciplines auxquelles il s’astreint. "
Pour lire l'intégralité du discours : cliquez ici.
Une petite vidéo sur le 1er mai
jeudi 1 mai 2008
Chronique de l'immigration ordinaire en France (bis)
"Humanitairement, ce n’est pas la France qui va donner des leçons à la Chine. Il y a tellement de Noirs et d’Arabes qui se font incendier en France. Là, les humanitaires ne se lèvent pas” a déclaré l’athlète néo-française fraichement immigrée du Sierra Leone. Source
Chronique de l'immigration ordinaire en France
mercredi 30 avril 2008
Un haut fonctionnaire de l'Etat sarkozien insulte la France en Algèrie !
Ambassadeur de France en Algérie, Bernard Bajolet a qualifié devant des étudiants à Guelma “d’épouvantables massacres” la répression, il y a 63 ans, de manifestations d’Algériens en faveur de l’indépendance.
Ce nouvel acte de repentance s’inscrit dans la politique de criminalisation de l’œuvre coloniale française en Algérie, et tend à légitimer les propos scandaleux du président Bouteflika qui avait qualifié la répression coloniale en Algérie de “génocide”.
Le Front National dénonce le silence des autorités françaises et notamment du ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, face à cette entreprise de falsification de l’Histoire et rappelle que la première mission d’un ambassadeur de France est de défendre les intérêts français à l’étranger et non d’insulter le passé.
L’immigration « choisie » tunisienne
Nicolas Sarkozy a signé avec le gouvernement tunisien un accord d’« immigration choisie », sur le modèle de celui qui avait été signé avec le Sénégal en février dernier.
La France « choisit » ainsi de faire venir des milliers de travailleurs tunisiens pour occuper des postes dans 77 métiers. Cela après les 108 métiers ouverts à l’immigration sénégalaise.
Autrement dit, on régularise les immigrés avant qu’ils viennent. Cela simplifiera certes la tâche des préfets. Mais au fur et à mesure de ces accords (car il va y en avoir d’autres), les emplois français vont être pris par des étrangers peu regardants sur les salaires et les conditions de travail.
Il se confirme que le véritable titre de M. Hortefeux est ministre de l’immigration pour la destruction de l’identité française.
Agression au couteau contre le responsable du FNJ Isère !
Hier après-midi, le responsable du FNJ de l'Isère a été lâchement attaqué par 3 jeunes "chances pour la France" armés d'un couteau !
Les 3 "jeunes" l'ont agressé alors qu'il attendait son bus, à Meylan en banlieue grenobloise. Malgré le soleil et la chaleur les agresseurs étaient tous les 3 en capuches avec une écharpe dissimulant leurs visages... Coïncidence ou préméditation ?
Les agresseurs ont commencé par insulter le jeune de "sale facho" "sale français" et de "cul blanc", lorsque les coups ont commencé a pleuvoir et que le "sale français" s'est défendu, l'un d'entre eux a exhibé un couteau, dont il n'a pas hésité à se servir en visant le jeune responsable de l'Isère à la tête !!
Notre camarade ayant réussi néanmoins à balancer le voyou armé au sol, les trois agresseurs ont courageusement prit la fuite.
Résultat : un coup de couteau sur l'avant bras gauche d'environ 10 cm avec lequel il s'est protégé le visage (!) et diverses coupures importantes aux doigts. Notre camarade s'est aussitôt rendu à l'hôpital nord de Grenoble.
Une plainte a évidemment été déposée à la Gendarmerie... Sans grand espoir de retrouver les auteurs de cette lâche agression. Et sans que les médias ne parlent de cet acte raciste anti Français.
Mais notre camarade n'est qu'un Français, n'est-ce pas...
mardi 29 avril 2008
Le FN contre les patrons voyous et les clandestins
L’immigration est une chance pour la France, puisqu’ils vous le disent !!!
Admirez cette vidéo rassemblant tous les suppôts du système (Besancenot inclus ; s’il était dangereux pour le système, on ne le verrait pas fanfaronner partout !). Tous sont d’accord sur la question de l’immigration et sur ses bienfaits.
Remarquez bien que tous sont d'accord pour dire que la France à besoin de plus d'immigrés car la population française baisse (idem pour l'Europe car la population européenne baisse également) ; mais qui a tout fait pour que la population baisse d'une manière si dramatique qu'il faille (d'après eux) obligatoirement un arrivage massif de travailleurs sous-payés et corvéables à merci par le patronat et manipulable politiquement par les syndicats gauchistes (car les immigrés ne seront rien d'autres que cela : des outils à la merci des vues politiques d'une certaine oligarchie nauséabonde) ?
Oui, qui à tout fait pour que la population française baisse en faisant en sorte qu'il y ait 220.000 avortements par an (chiffre officiel !) ce qui fait autant de travailleurs et de cotisants en moins pour la société ? Qui a tout fait pour que les femmes et les hommes ne veulent plus fonder de familles nombreuses (maintenant une famille c'est concevoir un enfant, parfois deux, mais quasiment plus jamais trois ou plus) ? Qui a fait en sorte que les familles (si petites soient-elles) ne puissent plus s'en sortir financièrement avec un seul salaire obligeant les deux membres du couple à travailler même si ce n'est pas la volonté d'un des membres de ce couple et par de là ne pas leur permettre de concevoir un grand nombre d'enfants ? etc...
La solution n'est pas dans l'apport massif d'immigrés (qui seront autant d'esclaves modernes exploités par le patronat de droite et leurs amis de gauche, qui sont tous d'accord sur ce sujet) qui submergeront par un effet mécanique notre vielle terre gauloise en y important les coutumes et leurs lois au détriment des nôtres, mais dans une réforme économique et sociale qui donnera l'envie et la possibilité aux Français de fonder des familles nombreuses et ainsi de relancer la natalité et de faire en sorte que, comme tout pays sain, notre société se renouvelle d'elle-même.
Mantes-la-Jolie : Pierre Bédier (UMP) autorise un défilé islamiste turc pour la fête nationale turque
C’est le Parisien du 27 avril qui rapporte l’information. En Turquie, on imagine le sort qui serait réservé aux protagonistes d’un défilé pour la fête nationale arménienne, grecque ou kurde…
Demain, fête nationale turque avec un défilé sur les Champs Elysées ?
(à noter : le drapeau avec croissant islamique sur fond vert, drapeau officiel du Milli Görüs, mouvement islamiste turc militant pour l’édification d’un Califat mondial. De plus, les individus sont habillés en militaires de la Sublime Porte, avec sabre ostentatoire)
suite
lundi 28 avril 2008
Pour le droit au blasphème
"Monsieur Le Pen a tort, la chambre à Gaz n'est pas un détail.
Monsieur Le Pen a profondément tort, la chambre à gaz est tout sauf un point de détail, c'est même aujourd'hui, plus qu'hier encore, la religion, le dogme autour duquel tourne toute l'époque contemporaine. Dans l'ordre du sacrifice fondateur, la chambre à gaz a remplacé la croix du christ.
Pourtant, ou justement pour ça, au nom du droit à la libre pensée face à ceux qui croient et veulent nous obliger à croire, je réclame le droit, pour Jean-Marie Le Pen, de considérer la chambre à gaz comme « un point de détail de la seconde guerre mondiale », comme tant d'autres se donnent le droit de chier sur la croix.
Que ce soit celle d'hier ou d'aujourd'hui, le citoyen libre se doit de lutter contre toutes les inquisitions et leurs cortèges sanglants de bûchers et d'abjurations. Nous, européens, n'avons pas mis trois siècles à nous émanciper du pouvoir temporel du Pape pour en arriver là !
Aujourd'hui, dans ce climat de judéomanie délirante - une judéomanie délirante et suspecte qui tient plus de l'esprit de la Collaboration que du combat pour le bien et l'amour des hommes - plus les souffrances de la guerre s'éloignent, plus c'est la seconde guerre mondiale toute entière qui devient un détail de la chambre à gaz !
50 millions de morts, russes, communistes, polonais, anglais, américains, civils, résistants, japonais et mêmes allemands et, parmi eux, 500 mille morts Français, ce n'est presque plus rien face à la chambre à gaz, ou aux 28 mille enfants juifs que certains voudraient faire assumer pour l'éternité aux écoliers de France innocents.
Dans ma famille de Résistants savoyards où la guerre nous a coûté six morts et la ruine - comme elle coûta son père au petit Jean-Marie -, nous avons nous aussi sauvé des vies ; seulement c'était des Espagnols. Il faut dire qu'en ce temps là si on sauvait des juifs, on ne le faisait pas pour sauver le peuple élu mais pour sauver des êtres humains tout court, menacés par la méchanceté et la violence des hommes. À l'époque, on ignorait que 60 ans plus tard ne seraient plus comptabilisés que les sauvés marqués d'une étoile, et que sur le marché des Justes, ça ne vaudrait plus rien les Espagnols !
De vous à moi, combien cette relecture de la seconde guerre mondiale, cette réécriture théo-différentialiste, à la limite de l'inégalité raciale, va-t-elle encore durer ? Combien de temps encore la Mémoire va-t-elle empêcher l'Histoire ? Au moment du Darfour, de la Palestine, de l'Irak, du Tibet... n'y a-t-il pas d'autres combats à mener pour le salut des hommes ? De massacres, de génocides, d'ethnocides à condamner, à empêcher ? Au moment où la montée en puissance de l'Inde et de la Chine est sur le point de remettre en cause le leadership de notre confortable et dominateur monde post-méditerranéen, les querelles intra-monothéistes sont-elle vraiment notre priorité ?
Qui aura le courage de dire, dans cet inquiétant climat de lynchage pour une petite phrase réitérée dans un obscur follicule breton, que le problème ce n'est pas le détail de Jean-Marie Le Pen. Une petite phrase plus taquine que méchante qui lui a déjà coûté 120 briques (et à ce prix là, on peut comprendre que le peu dispendieux Le Pen ait envie de l'utiliser deux fois). Une petite phrase inattaquable - dois-je le rappeler ? - aux Etats unis d'Amérique, qui ne sont pourtant pas le pays de l'antisémitisme, parce que là-bas le 1er amendement garantit à tous, et pas seulement à Finkielkraut et ses sorties sur les « antillais qui filent un mauvais coton » ou « l'équipe de France black-black-black qui serait la risée de l'Europe », la liberté de pensée et d'opinion.
Qui aura le courage, à l'heure où même ses supposés proches : identitaires jaloux et autres apparatchiks en embuscade se désolidarisent du vieux chef comme on se détourne d'un pestiféré, que le problème ce n'est pas le « détail » mais la loi Gayssot ?
Cette loi d'exception contraire à tous les principes démocratiques et républicains, de l'aveu même de tous les politiques et historiens qui comptent, de Simone Veil à feu Vidal-Naquet. Une loi d'exception qui, en instituant par le délit l'Histoire officielle, interdit toute recherche historique et l'Histoire. Dubito ergo sum res cogitans. Nous savons pourtant bien, dans ce pays qui vit naître Descartes, qu'en interdisant le doute, c'est la pensée qu'on interdit. Loi inique, de surcroît fratricide, puisqu'en inaugurant la concurrence des mémoires - et par la jurisprudence dont se réclament déjà les arméniens, les africains, les maghrébins, en attendant les vendéens et les gays, elle incite au communautarise victimaire généralisé, tuant la fraternité française et son universalisme républicain.
Trois siècles de haute philosophie, deux siècles de sécularisation du religieux et un siècle de séparation des Eglises et de l'Etat pour en arriver là ? À ce retour en douce d'une Inquisition qui ne dit pas son nom ? Qui criminalise la dissidence, l'insoumission, le relativisme, le décalage, l'ironie obligeant le rebelle à l'abjuration sous peine de ruine et de prison ?
Devant l'ignoble lynchage des bien pensants et les discrets lâchages, moi le libre penseur, pour rester du côté des opprimés et des faibles dont le sort change avec l'Histoire, j'affirme mon soutien à Le Pen le relaps ; relaps comme Jeanne d'Arc et Giordano Bruno. Par principe, au nom du droit à la liberté jusqu'à la mal-pensance, au nom du petit doigt d'honneur levé devant les puissants botteurs de dèrches et ses cohortes de lèches culs, de faux culs, j'affirme mon soutien à l'insoumis.
Car ma peur, ma vraie peur, ce ne sont pas les provocations ou les lubies d'un vieil homme, mais la peur bien plus grande de voir ce pays sombrer chaque jour plus bas dans l'obscurantisme totalitaire.
Un pays de soi-disant culture et de liberté où la horde des veules, faux courageux, vrais tartuffes et autres pétaino-gaullistes éternellement dans le sens du vent se réjouissent déjà, à l'unisson, au nom bien sur de la démocratie du bon et du bien, que le pays de Voltaire se promette de jeter demain en prison un vieux monsieur de 80 ans parce qu'il refuse de se dédire, parce que têtu jusqu'à la déraison, il refuse de baisser la tête et de faire comme un chien, à coups de pieds au cul comme eux tous, là où on lui dit de faire.
En tant qu'intellectuel français dissident, moi, Alain Soral, qui ne bénéficie même pas des soutiens d'un Soljenitsyne du temps de sa splendeur dans le Vermont (va savoir pourquoi ça s'est gâté depuis), par ce simple texte, je réclame haut et fort, face aux désapprobations tonitruantes et aux silences gênés, le droit au blasphème pour tous, pas seulement pour Houellebecq ou Philippe Val de Charlie Hebdo.
Et, au nom de ce droit sacré en terre laïque, malgré tout ce qui nous sépare : âge, parcours, origine politique, je veux rendre hommage à un grand résistant. Pas un rentier de la Résistance à francisque. Un résistant à cette démocratie totalitaire qui tue la liberté, l'esprit d'indépendance, le sens de l'honneur et de la fidélité. Un résistant à cette République qui, à coup de devoir de mémoire forcé, de repentance obligatoire et autres criminalisations des automobilistes et des fumeurs, transforme peu à peu l'esprit français en catéchisme et le peuple français en bétail.
C'est, en somme, parce que je sais que l'affaire du détail est tout sauf un détail, que je réclame, pour Jean-Marie Le Pen, le droit de se tromper et le droit au détail !
Vive la France libre !"
Deux poids, deux mesures…
Lundi 28 avril 2008.
Une nouvelle fois, les propos de Jean-Marie LE PEN sur la seconde guerre mondiale créent la polémique dans le landernau politico-médiatique et par voie de conséquence, sèment un certain trouble dans nos rangs militants. La zizanie qui règne sur la toile nationaliste, les propos inqualifiables des identitaires contre LE PEN, les commentaires à la fois insultants, quelquefois interrogatifs, désemparés ou pathétiques que je reçois sur ma boite mail, prouvent que ce sujet est conflictuel et qu'il divise d'une manière très importante notre famille politique et sert d'épouvantail à une grande majorité de Français (ce n'est pas un hasard si plus de 80 % des Français nous jugent dangereux).
Nous sommes un certain nombre de responsables, de cadres, de militants et d'adhérents à ne pas porter sur les évènements de la seconde guerre mondiale le même regard que porte Jean-Marie LE PEN sur ceux-ci. Pour autant, ce sujet ne constitue pas pour nous une ligne de fracture et cela n'enlève rien à la confiance, l'estime, la considération et le respect que nous portons à Jean-Marie LE PEN, à son histoire et à tout ce qu'il représente à nos yeux de clairvoyance, de courage, de ténacité et de dévouement.
Les propos de Jean-Marie LE PEN « n'engagent pas le Front National ». Ils ne constituent en aucun cas une ligne politique. Je rappelle qu'en son temps, Carl Lang concernant les propos de Gollnisch, puis de LE PEN avait utilisé la même formule. La vérité, c'est que nous sommes des hommes libres et que chacun est libre de penser ce qu'il veut, y compris sur ce sujet. Il serait curieux en effet de dénoncer une pensée unique à l'extérieur tout en imposant une pensée unique à l'intérieur du FN !
Après, tout est une question d'opportunité et de crédibilité politique. Chacun juge en son âme et conscience. Celles et ceux qui viennent de mener des campagnes municipales actives, mais difficiles, connaissent la position de l'écrasante majorité des électeurs, y compris nationaux, sur ce sujet. La finalité d'un parti politique est de participer à des élections en se donnant les moyens de rassembler le plus grand nombre pour prendre le pouvoir, stopper la décadence et redonner espoir aux Français.
Dans la situation actuelle marquée par une augmentation de la pauvreté sans précédent, par l'accentuation des flux migratoires, par les dégâts considérables initiés par la mondialisation économique, par l'installation durable d'un islam radical sur notre sol, les Français attendent des solutions concrètes et une vision crédible de l'avenir que nous leur proposons. Dans cette période délicate où se pose la question de l'existence même de la France, nous devons, plus que d'autres, tenir compte des effets de l'immédiateté de l'information et de l'influence de la médiatisation sur les esprits, sur les consciences. Nous devons, plus que d'autres resserrer les rangs et repartir au combat dans l'ordre et la discipline.
La récente manifestation contre les patrons voyous organisée par Marine LE PEN est un exemple à suivre. Il faut créer l'événement sur des sujets immédiatement compréhensibles par les citoyens, palpables par l'opinion. Se servir de l'actualité pour faire l'actualité et rendre crédible notre action.
Le Front National est un parti politique, avec un programme, une organisation, une vie militante. Il a subi des crises et des revers électoraux qui l'ont passagèrement affaibli. Certains en profitent pour le déstabiliser de l'intérieur. Honte à eux ! Ils sont les alliés objectifs de ceux qui le prennent pour cible à l'extérieur.
Tout doit être entrepris pour moderniser l'appareil et rendre plus efficace son action. C'est l'avenir qui compte. Le reste, les propos désobligeants des donneurs de leçons, des jaloux et des aigris, n'est que mauvaise littérature.
Concentrons-nous sur l'essentiel. Les combats électoraux à venir.
Nous ne devons donc pas participer au bal des faux-culs du système, des professionnels de l'antiracisme, des policiers de la pensée et des associations politiciennes « communautaires » ou « communisantes » qui font leur beurre de ce genre de scandale et qui ne vivent que grâce à ça !
Pourquoi cachent-ils le texte de la conférence de presse de Jean-Marie LE PEN du 18 septembre 1987 à l’Assemblée Nationale et notamment ces passages :
« Cette réponse était claire et, pour des gens de bonne foi, ne laissait planer aucun doute sur ce que je pense du martyre du peuple juif d'Europe par les nazi et sur la condamnation que je porte sur ce crime….Les camps de concentration où moururent par millions juifs, tziganes, chrétiens et patriotes de toute l'Europe et les méthodes employées pour mettre à mort les détenus : pendaisons, fusillades, piqûres, chambres à gaz, traitements inhumains, privations…Ai-je dit autre chose et honnêtement, oui honnêtement, cela justifie-t-il le procès de sorcier que l’on me fait dans la presse écrite, parlée, télévisée ? Et qui aura la loyauté et le courage de reconnaître s'être ou avoir été trompé ou avoir trompé les autres ? Notre siècle a été celui des pires totalitarismes et des plus affreux génocides raciaux, sociaux ou religieux…Deux idéologies totalitaires et antireligieuses : le communisme et le national-socialisme, d'ailleurs alliés au début de la Seconde Guerre mondiale, ont créé l’abominable système des camps de concentration...J'ai perdu mon père « mort pour la France » pendant la guerre, je sais donc le prix du sang et des larmes, je compatis à la douleur de tous ceux qui ont vu disparaître des êtres chers dans la tourmente…Je voudrais dire aux juifs français, mes compatriotes qu'on a tenté d'effrayer par cette campagne mensongère, que je ne les confonds pas avec ceux qui prétendent parler en leur nom. La France a le même amour pour tous ses fils, quelles que soient leurs races ou leurs religions. »
Notre démocratie est viciée, inégalitaire, totalitaire. Dans tous les domaines, il y a deux poids et deux mesures.
Un exemple emblématique de l'hypocrisie d'Etat ? Le livre de Jacques ATTALI (Fayard 2005) sur François Mitterrand :
Je laisse au lecteur le soin de bien réfléchir à ce qui suit !
«
- Page 374 : Jacques Attali confirme l’entretien entre Jean d’Ormesson et François Mitterrand (cf. Voir « Le rapport Gabriel »)
- Page 374 : Sur la rencontre entre Dumas et Arafat : « encore ces lobbies et ces agents d’Israël qui prétendent faire la Loi à Paris !...Tous les ministres des Affaires Etrangères, depuis Sauvagnargues, sont allés le voir à Tunis…Nous ne sommes pas des israéliens ! La France n’est pas à la merci d’un froncement de sourcils d’un certain nombre d’agents d’Israël ou de différentes associations. »
- Page 375 : François Mitterrand parla d’un Lobby à combattre
- Page 399 : Evocation d’un certain J.P. Martin, ancien directeur de cabinet de Bousquet qui a été directeur de cabinet de Mitterrand sous la IV° république !
- Page 399 : « Il est impossible de comprendre cette époque si on ne l’a pas vécue. »
- Page 400 : René Bousquet a aidé financièrement François Mitterrand dans sa campagne présidentielle de 1965
- Page 401 : Sur Laval : « il était le seul avec Blum et Tardieu, à avoir une véritable stature…. »
- Page 407 : Sur Bousquet « C’était un homme d’une carrure exceptionnelle. Je l’ai trouvé plutôt sympathique…Je le voyais avec plaisir. »
- Page 402 : Sur Goering : ce n’était pas un idéologue, c’était un aventurier »
- Page 402 : Sur Rudolph Hess : « C’était un châtiment un peu inhumain. Vous savez, j’ai vu Hess, j’ai assisté à une séance du procès de Nuremberg. C’était grotesque de voir, devant les juges déguisés comme au spectacle ; ces accusés dont les noms avaient rempli d’horreur l’univers. Des gens terribles, certes, mais certains l’étaient peut-être moins. Et, au milieu de tous, Hess paraissait tout à fait étranger. »
- Page 402 : de Jacques Attali : « De fait, il ne s’indignait jamais explicitement de la monstruosité hitlérienne. »
- Page 411 : Sur les soldats allemands. Discours du 8 mai 1995. , « il admirait le courage de tous les combattant pendant la guerre, y compris celui des soldats allemands. »
- Page 411 : Pour Jacques Attali : on peut donc être admiratif de Laval et Pétain tout en ne cautionnant pas la dérive du régime de Vichy.
- Page 413 : « Parmi ceux de ses contemporains qui étaient, là-dessus, du même avis que lui, il n’y avait pas que des gens qui, comme lui, s’étaient compromis avec Vichy. Nombre de résistants de la première heure ne voyaient dans leur propre attitude qu’une opposition naturelle à l’envahisseur de leur pays…Même chez le Général de Gaulle, on ne trouve que peu de remarques sur la spécificité de cette troisième guerre franco-allemande ; en particulier, aucune dénonciation du génocide en marche dont il connut pourtant très tôt l’essentiel ; seulement de timides déclarations sur les « illégalités » commises par Vichy contre les Juifs français. Pas un mot contre les persécutions qui frappaient les juifs non français et les autres victimes du racisme fasciste et nazi. Au-delà des cas de François Mitterrand et de Charles de Gaulle, cette faculté de faire illusion avait été très utile à la France…Le général eut ensuite besoin de fonctionnaires d’autant plus zélés qu’ils avaient beaucoup à se faire pardonner : ce fut le cas, entre autres, d’un Maurice Couve de Murville, négociateur vichyssois du pillage allemand, ou d’un Maurice Papon, co-auteur du génocide, dont le général savait tout et dont il fit ses ministres. Enfin, certains Juifs de France, revenus des camps et craignant sans doute d’être perçus comme les miroirs intolérables d’une lâcheté nationale, choisirent de jouer les Sganarelle plutôt que de se dresser en statues du Commandeur.
Est-ce assez clair ? Que peut-on rajouter ? Imaginez un peu si LE PEN avait dit ça !
La vérité, l'énorme scandale et le récent film de Moati le prouve, consiste à avoir caché une vérité (parmi d'autres) tout en s'acharnant sur un homme et un parti politique avec des conséquences dramatiques pour certains militants, certaines familles, certains candidats, certains responsables...
Je ne juge pas l'attitude ou les propos de François Mitterrand. Je suis un partisan de la liberté, de toute la liberté, de toutes les libertés. Mais je constate, amèrement, que notre mouvement politique a payé un lourd tribu à cette diabolisation d'état alors qu'il n'avait aucune responsabilité dans les crimes de la seconde guerre mondiale, ni dans la conduite des affaires du pays.
Il a été un bouc émissaire parfait et il a servi de leurre à un système qui défend ses privilèges par tous les moyens, mais toujours sur le dos du peuple Français.
Alors, c'est vrai, je comprends que les propos de Jean-Marie LE PEN, tels qu'ils sont mis en musique par les chefs d'orchestre du système, puissent choquer. C'est regrettable.
Mais j'invite les Français libres à poser deux secondes leur esprit et à bien réfléchir à tout ce qui précède...
Le combat continue !
dimanche 27 avril 2008
+ Jean-Claude Varanne +
Samedi 26 avril 2008.
Jean-Claude Varanne, PDG de National Hebdo et vieux fidèle de Jean-Marie Le Pen, est mort hier d’une crise cardiaque à l’âge de 78 ans.
Il était en excellente santé, mais était très affecté par les difficultés du journal, et ce qu’il y avait autour.
La rhétorique présidentielle
Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN
Quand la rhétorique devient caricature, sur les positions du Front National en matière d’immigration, c’est odieux.
On aura remarqué aussi quelques beaux morceaux d’hypocrisie, comme sur les clandestins, avec la confusion volontaire entre régularisation et naturalisation, ou sur l’entrée de la Turquie en Europe : Nicolas Sarkozy affirme qu’il ferait un référendum, mais ce n’est pas lui qui sera président le moment venu.
Tant de mots, pour si peu de substance…
Mise au point
Communiqué de presse de Jean-Marie Le Pen
Le magazine « Bretons » publie sous mon nom un interview dont il a d’ailleurs diffusé avant parution des extraits qui se veulent provocateurs.
Non seulement je n’ai pas autorisé « Bretons » à publier cet interview mais je le lui ai interdit expressément par lettre recommandée il y a déjà 15 jours.