Marine Le Pen à l’entrée de l’usine d’équipement automobile FAURECIA
Communiqué de presse
Ce matin à 5 h, Marine Le Pen, député européen et conseillère municipale d’Hénin-Beaumont, était à l’entrée de l’usine d’équipement automobile FAURECIA à Hénin-Beaumont. Elle a pu rencontrer des dizaines d’ouvriers qui l’ont chaleureusement accueillie. Ils savent que les restructurations et les licenciements massifs qui touchent actuellement le groupe international FAURECIA sont la conséquence directe de l’ultralibéralisme et de la mondialisation organisée par Bruxelles. Les travailleurs Français de FAURECIA ont parfaitement raison d’être inquiets. Toute la classe politique versant des larmes de crocodile alors qu’ils ont tous accompagné une construction européenne destructrice d’emplois. Ainsi, la simple proposition de subordonner des aides publiques à la filiale automobile en contrepartie de l’arrêt des délocalisations et des licenciements a entrainé les foudres des dirigeants de l’Union Européenne. Contrairement à sa posture, Nicolas Sarkozy est largement coupable de cette situation puisqu’il a imposé aux Français, contre leur gré, le Traité de Lisbonne, véritable concentré de dérégulation et d’ultralibéralisme aux effets dévastateurs sur l’industrie Française. Pour le Front National, protéger les travailleurs Français n’est pas un droit, c’est un devoir