La France compte 6.868.000 immigrés, soit 11% de la population métropolitaine.
L’immigration réduit des deux tiers la croissance du PIB.
Le coût annuel de l’immigration en France est de 71,76 milliards d’euros.
Les recettes annuelles liées à l’immigration en France sont de 45,57 milliards d’euros.
Le déficit annuel dû à l’immigration et supporté par les contribuables est de 26,19 milliards d’euros.
Lorsqu’une personne immigrée ne repart pas dans son pays d’origine à la fin de son contrat de travail, c’est l’Etat (le contribuable) qui prend en charge le coût des prestations sociales.
Les immigrés extra-européens et leurs descendants perçoivent 22% des prestations sociales.
Le coût unitaire des demandes d’asile est de 15.000 euros.
La plupart des dépenses d’immigration ne relèvent pas du ministère de l’Immigration de Brice Hortefeux.
Les dépenses sécuritaires liées à l’immigration s’élèvent annuellement à 5,2 milliards d’euros.
Le travail au noir concerne au minimum 500.000 personnes immigrées et représentent un manque à gagner pour l’Etat de 3,810 milliards d’euros par an.
65 à 90% des prostituées sont étrangères.
Le taux de chômage des immigrés est le double de celui des non immigrés.
Les prestations sociales constituent 14% du revenu moyen des ménages immigrés contre 5% pour les ménages non immigrés.
dimanche 23 mars 2008
Le coût de l’immigration
samedi 22 mars 2008
jeudi 20 mars 2008
L'insécurité au coeur de Soissons
Vendredi 14 mars, un débit de tabac de la rue saint Martin a été dévalisé et les malfaiteurs ont volé pour 35.000 euros de marchandises (et nous ne l’apprenons qu’après le deuxième tour de dimanche dernier …)
De même, ces derniers jours, un bar-pmu situé prés de la gare a été attaqué par deux braqueurs armés d’un pistolet et d’un couteau. Ils ont exigé la caisse et menacé d’égorger une femme. Une centaine de téléphones mobiles a été subtilisée chez France-télécom, boulevard Gambetta.
L’INSECURITE AU CŒUR DE LA VILLE
Que fera Patrick DAY, nouveau maire de Soissons, qui n’est pas du tout favorable à la police municipale ? F. ALLIOT « au nom de la liberté » est, lui, contre le projet de vidéo surveillance. Edith ERRASTI a traité ces 2 dossiers, certes, mais avec mollesse et lenteur. 7 policiers municipaux… c’est peu, trop peu. Quant à la vidéo surveillance, elle n’en était qu’au stade de la promesse électorale.
Tout cela, pendant qu’à Soissons la délinquance augmente.
L’insécurité devient le problème n°1 des commerçants et de leurs clients, clients que nous sommes tous.
Le FRONT NATIONAL a toujours, lui, par l’intermédiaire de Wallerand de Saint-Just, dit la vérité et il aurait agit !!
mercredi 19 mars 2008
Les Familles françaises d'abord !

La vaine inflation des ministres et des intitulés
Le « gouvernement resserré » qu’avait promis Nicolas Sarkozy est de plus en plus dilaté. Avec la nomination de six nouveaux secrétaires d’Etat, il comprend désormais 38 membres.
Sans doute est-ce pour brouiller la perception de cette inflation que les nominations s’accompagnent d’un savant jeu de chaises musicales et d’une valse des attributions, lesquelles sont également victimes de l’inflation, avec sept nouveaux intitulés.
On aimerait se réjouir de voir la famille faire enfin son apparition dans l’organigramme gouvernemental. Mais confier le poste à Nadine Morano relève de la provocation. Cette personne, qui vient d’être sévèrement rejetée par les électeurs de Toul, n’est pas connue pour défendre la famille, mais pour militer en faveur du mariage homosexuel, de l’adoption par les couples homosexuels, de la procréation assistée pour les homosexuels, et de l’euthanasie.
Sans doute échappe-t-on à une nouvelle ouverture à la gauche socialiste. Mais c’est une piètre consolation.
Et en définitive ce très modeste remaniement ministériel, sans rapport avec l’ampleur de la crise, est sans importance : ce qui reste de politique française autonome ne se décide pas au gouvernement mais à l’Elysée.
mardi 18 mars 2008
Il y a trente ans, François Duprat, résistant nationaliste, était lâchement assassiné
Mardi 18 mars, ce jour, à 12 h 30, Jean-Marie Le Pen et une délégation du Front national seront au cimetière Montmartre pour rendre hommage à François Duprat, historien et membre du Bureau politique du FN assassiné en 1978.
Le 18 mars 1978, sur la départementale menant à Caudèbec-en-Caux (Seine-Maritime), une explosion retentit et pulvérise la voiture de François Duprat. Il se rendait au collège où il enseignait l'histoire quand une bombe télécommandée, placée sous le siège du conducteur, explosa. Sa femme, Janine, assise à ses côtés, grièvement blessée, échappera miraculeusement à la mort mais est restée lourdement handicapée.
Cet attentat sera immédiatement revendiqué par deux groupes terroristes inconnus des services de police, le « commando du souvenir habiroux » et le « groupe habiroux révolutionnaire ». Revendications qui furent rapidement jugées fantaisistes par les enquêteurs. Trente ans après sa mort, la vérité sur les commanditaires de cet assassinat n'est jamais sortie du puits et toutes sortes d'hypothèses, souvent contradictoires, ont été avancées: une piste proche-orientale du fait notamment de liens tissés par Duprat avec le parti Baas syrien, une piste barbouzarde puisque le frontiste s'apprêtait à publier un livre contenant des révélations fracassantes sur le financement des partis politiques de droite, intitulé Argent et politique. Cet ouvrage n'est finalement jamais paru. D'autres y ont vu la main de l'extrême gauche ...
Né à Ajaccio le 26 octobre 1940, Duprat entra en politique à l'âge de 16 ans. Secrétaire de Maurice Bardèche, - il dirigera sa revue. Défense de l'Occident -, documentaliste de Roland Gaucher pour son ouvrage L'Opposition en URSS 1917-1967, il militera à Jeune Nation en 1958, créera une section GAS à Toulouse -- ce qui lui vaudra quelques mois d'emprisonnement - rejoindra par la suite les rangs d'Occident puis d'Ordre nouveau avant d'adhérer au FN à sa création en 1972 où il anime la tendance national-révolutionnaire avec Alain Renault.
Diplômé d'études supérieures en histoire, grand spécialiste des mouvements nationalistes français et étrangers, historien anticonformiste doué d'une puissante capacité de travail, Jean-Marie Le Pen garde le souvenir d'un Duprat « hirsute, brillant et myope ».
Assassinat jamais élucidé
Le président du FN souligne aussi que la mort de ce dernier est intervenue en pleine campagne des législatives, à une période de grande violence politique - l'appartement du Président du FN, villa Poirier à Paris, avait été soufflé par une bombe deux ans auparavant, là aussi les auteurs n’ont jamais été retrouvés. « Quelques jours avant l'attentat contre Duprat, je m'étais vu interdire de meeting à Assas par des militants du PFN qui arboraient dans le hall de la faculté une effigie de Duprat pendu à un gibet » se souvient-il encore. « La mort de François Duprat fut un choc pour les militants du FN, d'autant que le bilan de cet attentat aurait pu être beaucoup plus lourd puisque François et Janine devaient prendre dans leur voiture ce jour-là une voisine et sa petite fille qui, coup du destin, ne montèrent finalement pas dans le véhicule parce qu'elles n'étaient pas prêtes » ...
« Pourquoi et par qui a-t-il été exécuté ? Peut-être le saura-t-on un jour, il y a maintenant prescription ... Le sacrifice de François Duprat, victime du terrorisme, mérite de ne pas être oublié, il y a aussi une exigence de justice et de vérité » souligne Jean-Marie Le Pen. Le Président du Front national sera aux côtés des militants et dirigeants parisiens de son Mouvement le mardi 18 mars à 12 h 30 au cimetière Montmartre où il prononcera une allocution au pied de l'ultime demeure de l'historien frontiste, qui repose dans le même carré que le grand cinéaste et ex-député FN Claude Autant-Lara.
Serge OMARA
National Hebdo du 13 au 19 mars 2008
La réaction de Jean-Marie Le Pen aux élections cantonales et municipales
La réaction de Jean-Marie Le Pen en direct sur TF1 :
Un « pôle » présidentiel de propagande
Communiqué de Jean-Marie Le Pen
Face à sa défaite aux élections municipales et cantonales, que fait Nicolas Sarkozy ?
Il limoge son porte-parole David Martinon et le remplace par un « pôle politique » de propagande, composé de cinq personnes, chargé d’« expliquer les réformes ».
Le président de la République croit donc que c’est par la magie du verbe qu’il pourra reconquérir les électeurs déçus.
Mais les mots ne remplaceront pas les réformes qui n’existent pas.
Multiplier les caisses de résonnance des effets d’annonce n’aboutira qu’à montrer davantage que ceux-ci ne sont pas suivis d’effet.
Les Français n’attendent pas des mots, ils attendent une politique concrète, et cette politique ne peut être que celle de la défense de la nation face au mondialisme, à l’européisme, aux torrents migratoires.
lundi 17 mars 2008
Le peuple tibétain a le droit à la liberté

Le premier sang
Le samedi 1er août 1914, à 16 heures était décrétée la mobilisation générale. Afin de prévenir tout conflit qui aurait pu servir de prétexte à l’Allemagne pour déclarer la guerre l’ordre avait été donné à nos troupes de rester à dix kilomètres en arrière de la frontière.
Le dimanche 2 août, le caporal Jules-André Peugeot, avec quatre hommes, se trouvait à Joncherey, petit village à une vingtaine de kilomètres de Belfort. Vers dix heures du matin, en patrouille, il aperçut des cavaliers allemands entre deux champs de blé.
La guerre n’étant pas déclarée, le caporal Peugeot s’avance pour lui signifier la violation de la frontière. Mais, l’Allemand, le lieutenant Mayer du Vème chasseur à cheval en garnison à Mulhouse, saisit son revolver et tire à trois reprises sur le caporal français. Un des balles devait atteindre notre soldat, qui, malgrè tout, ajuste quand même son fusil et abat l’agresseur allemand.
Jules-André Peugeot, fait encore quelques pas et s’effondre à son tour sans une parole. Il fut porté à l’ordre de son régiment « pour avoir arrêté et dispersé la première patrouille allemande qui violait le territoire français. »
Jules-André Peugeot était originaire du Doubs, il était né à Etupes le 11 juin 1893. Sa mère était l’institutrice du village, lui-même avait embrassé cette carrière.
Il fut inhumé le 4 août à 14 heures ; au même moment, le Président du Conseil, Monsieur Viviani, se trouvait à la chambre des députés pour annoncer que l’ambassadeur d’Allemagne lui avait remis, la veille, la déclaration de guerre de son gouvernement.
Un monument au mort fut érigé à l’endroit même où le caporal Peugeot tomba ; celui-ci devait être détruit par les Allemands en 1940 et reconstruit en 1959.Honneur à lui.
(source : L’Album de la guerre 1914/1919 de L’illustration -1922-.)vendredi 14 mars 2008
Les frasques de L’Union.
L’édition de L’Union du 12 mars dernier (n°19641) ne manque pas de piquant, mais de rigueur déontologique, comme c’est souvent le cas quand ce quotidien évoque le Front National.
L’on y lit, par exemple qu’un couple prétend avoir été trompé par des membres du FN et se serait retrouvé malgrè lui sur notre liste des municipales à Château-Thierry. Le journaliste jouant faussement les candides en inscrivant comme chapeau de paragraphe :
« Manipulations ? » ; et en poursuivant dans ce dernier :
« Manipulations (remarquez le pluriel de manipulations qui sous-entend qu’il pourrait y en avoir d’autres) pour obtenir 33 noms ou difficultés à assumer son camp politique ? Difficile d’y voir clair. C’est la parole des uns contres celle des autres. » Que ces gens là aient changé d’avis, cela les regarde ; mais quand on sait le nombre de pièces administratives, de justificatifs et de signatures à apposer en main propre pour faire partie d’une liste électorale, la réponse à la question de savoir s’il y a eu manipulation ou non devrait couler de source pour le moins lettré des grouillots d’imprimeries, mais visiblement pas pour le journaliste auteur de cette prose lénifiante.
Mais ce n’est pas tout, sur la même page (annoncée en « Une », s’il vous plait) la charge continue : nous apprenons qu’une dame de Château-Thierry se trouve être un homonyme d’une de nos colistières à l’élection municipale du 9 mars.
Il en a résulté pour cette dame, qui n’a strictement rien à voir avec le Front National de l’Aisne, quelques ennuis avec les bonnes consciences démocrates de son quartier. Le journal précise que cette dame à dû subir des « réflexions blessantes » et des rumeurs sur son compte en raison de l’homonymie. Nous en sommes désolés pour elle. Mais à aucun moment le journaliste ne semble s’interroger sur le véritable fond du problème ; sur le fait qu’une citoyenne puisse être insultée sous le seul prétexte qu’elle aurait été présente aux élections sous l’étiquette Front National (qu’elle soit réellement présente sur une liste du FN, ou que cela soit un malentendu, importe peu en l’occurrence), mouvement politique démocratique et légal dans un pays (en principe) démocratique.
Mais il faut dire que L’Union, comme tous les médias de la grosse presse, s’est toujours fait un malin plaisir à publier, voir à cautionner, les injures et autres mensonges colportés par des adversaires politiques aussi hargneux qu’à court d’argument.
Mais comment s’en étonner outre mesure quand on constate comment L’Union traite certains faits d’actualités dans l’Aisne (voir nos précédents articles en cliquant ici et là) ?
Entendons-nous bien, nous ne demandons pas que L’Union nous favorise dans ces articles, loin de là, mais simplement d’être traité avec toute la rigueur et la neutralité que devrait imposer la déontologie journalistique, ni plus ni moins…
« J’étais convaincu depuis longtemps que les gazettes sont faites uniquement pour amuser la foule et l’éblouir sur le moment, soit qu’une force extérieure empêche le rédacteur de dire la vérité, soit que l’esprit de parti l’en détourne. »
Gœthe, Annales, 1808-1811.
jeudi 13 mars 2008
UN GRAND MERCI !

Merci à elle et un grand merci à tous nos candidats et nos militants qui ont participé et lutté d'arrache-pied pour restaurer la souveraineté française et pour que les Français soient maîtres chez eux !
oui, vraiment : UN GRAND MERCI !
Les "erreurs" de L'Union (bis repetita)
Madame, Monsieur,
Une triangulaire à deux ?
France 3 refuse d’inviter Louis ALIOT
La chaine de télévision publique France 3 refuse d’inviter Louis ALIOT à une émission qu’elle organise ce soir à Perpignan dans le cadre du second tour des élections municipales de cette ville. Le scandale est grand ! Le CSA ne semble pas pouvoir contraindre cette chaine à respecter un minimum de pluralisme. Louis Aliot tente d’obtenir en référé de la part du Président du tribunal de Perpignan une injonction à France 3 de l’inviter. France 3 viole ainsi sans vergogne l’article premier de la loi de 1986 sur la communication audiovisuelle et son cahier des charges. Est en cause ici la liberté publique essentielle que constitue le droit à l’information, surtout dans le cadre électoral. Le citoyen a droit à être informé, il a droit à l’impartialité, particulièrement s’agissant de la société de télévision publique financée par l’impôt de tous !
mercredi 12 mars 2008
Hommage au dernier « poilu »
Jean-Marie Le Pen et le Front National s’associent au président de la République lorsqu’il exprime, avec les mots qui conviennent, « la profonde émotion et l'infinie tristesse de l'ensemble de la nation » devant la mort du dernier « poilu » Lazare Ponticelli.
Et ils se félicitent de l’hommage national qui sera rendu à l'ensemble des combattants de la Grande Guerre.
A voir, ou à revoir, le documentaire sur Verdun déjà diffusé sur notre site FAisne le 16 décembre dernier : ici.
A lire, ou à relire, nos article sur la Grande Guerre :
Nos héros de l'Aisne : Emile Driant (1855-1916) ;
Armistice du 11 novembre 1918 : honneur à nos héros ;
Armistice du 11 novembre 1918 : Honneur et reconnaissance à nos soldats anonymes ;
Les Fantômes.
Comparatif des élections cantonales dans l'Aisne pour le Front National (2001 - 2008)
ELECTIONS CANTONALES 2008
Cantons | Nombre de voix 2008 | % | Candidats | % en 2001 |
Aubenton | 150 | 6,99 | Chabot | 4,63 |
Le Catelet | 486 | 10,29 | Luisetti | 10,71 |
Charly | 636 | 10,01 | Chevet | 12,79 |
Condé | 578 | 13,11 | Chevet | 10,88 |
Coucy | 658 | 10,87 | Dall’Ara | 15,22 |
Crécy | 271 | 6,30 | Pawlowsky | 7,63 |
La Fère | 518 | 9,45 | Roux | 13,49 |
Guise | 697 | 12,67 | Lebrand | 9,01 |
Hirson | 66 | 7,09 | Fournier | 9,59 |
Laon Sud | 659 | 6,81 | Rossini | 5,20 |
Moy | 319 | 6,98 | Phoyu | 8,81 |
Neuilly | 674 | 13,95 | Padieu | 13,11 |
Oulchy | 745 | 26,90 | Henrotte | 6,78 |
Rozoy | 231 | 5,19 | Fauvergue | 9,24 |
St Quentin Sud | 739 | 7,36 | Plonquet | 9,02 |
Saint Simon | 645 | 11,08 | Poulet | 12,06 |
Soissons Nord | 813 | 9 | Dall’Ara | 11,89 |
Soissons Sud | 1103 | 11,66 | WSJ | 13,85 |
Tergnier | 900 | 12,59 | Ruelle | 9,13 |
Villers | 1290 | 19,74 | Briffaut | 16,04 |
Wassigny | 220 | 5,97 | Hunnig | 7,49 |
Communiqué de Wallerand de Saint-Just à propos des résultats des élections dans l'Aisne
La fédération du Front national de l’Aisne se félicite des résultats de ses 21 candidats aux élections cantonales. Dans un contexte de faible participation, l’ensemble de ces candidats recueille 10, 67 % des voix des votants. En 2001, ce chiffre était de 10.45 %. On peut spécialement se féliciter du score de F. Briffaut à Villers Cotteret, il grimpe de 16.04 % à 19.74 % et de M. Padieu à Neuilly saint-Front. L’implantation du Front national est ainsi confirmée dans le cadre de cette élection de « notables » et ceux qui parlent du déclin du Front national prennent leurs désirs pour des réalités. Les responsables de la fédération attendent d’éventuelles nouvelles de candidats de « droite » dans le cadre du second tour : Ont ainsi besoin des voix du Front national, MM Ronsin à Crécy, Deneuville et Degouy à La Fère, Lamant à Laon-sud, Vanstenbergue à Moÿ, Fricoteaux à Rozoy et Foix à Wassigny. Quant à MM. Tordeux, Grandin et Mme Letrillart (ces deux derniers du MPF), il semble que leurs sorts soient scellés. Les responsables de la fédération attendent de voir si ces candidats vont sacrifier leur possible élection sur l’autel du mépris des électeurs du Front national.
Wallerand de SAINT JUST
M. Sarkozy, l’immigration et le Front National
mardi 11 mars 2008
Résultats des cantonales dans l'Aisne
Voilà qui illustre bien la vitalité de votre fédération Front National de l'Aisne.
AUBENTON : M. Pierre CHABOT 6,99%
LE CATELET : M. Jean-Jacques LUISETTI 10,29%
CHARLY-SUR-MARNE : Gilles Chevet 10.01%
CONDE-EN-BRIE : Mme Mireille CHEVET 13,11%
COUCY-LE-CHATEAU : M. Xavier DALL'ARA 10,87%
CRECY-SUR-SERRE : M. Jacques PAWLOWSKI 6,30%
LA FERE : M. Jean-Louis ROUX 9,45%
GUISE : Mme Angélique LEBRAND 12,68%
HIRSON : Mme Anne-Marie FOURNIER 7,09%
MOY-DE-L’AISNE : Arnaud Phoyu 6.98%
NEUILLY-SAINT-FRONT : Dominique Padieu 13.95%
OULCHY-LE-CHATEAU : Mme Elisabeth HENROTTE 26,90%
ROZOY-SUR-SERRE : M. Gaultier FAUVERGUE 5,19%
SAINT-QUENTIN-SUD : Mme Christiane PLONQUET 7,36%
SAINT-SIMON : M. Jean-Jacques POULET 11,08%
SOISSONS-NORD : Mme Michèle DALL'ARA 9,00%
SOISSONS-SUD : M. Wallerand DE SAINT JUST 11,66%
TERGNIER : Mme Evelyne RUELLE 12,59%
VILLERS-COTTERETS : M. Franck BRIFFAUT 19,74%
LAON-SUD : Mme Claire ROSSINI 6,81%
WASSIGNY : Lydie Huning 5.97%